Des feuilles dans la bourrasque (La hojarasca)
Son premier roman, on y trouve déjà la verve truculente de l'auteur
Pas de lettre pour le colonel (El coronel no tiene quien le escriba)
Dans ce 2e roman, l'auteur ne cache plus son engagement politique.
La mala hora (La mala hora)
Histoire sud Américaine, humour percutant.
Les Funérailles de la grande Mémé (Los funerales de la Mamá Grande)
Humour sardonique. Humour Colombien.Folklore et mythes.
Les Yeux de chiens bleus (Ojos de perro azul)
Lourd comme roman. Pas aimé.
Cent ans de solitude (Cien años de soledad)
Le meilleur pour moi.
Le réalisme magique à son meilleur.
Purée, comme j'ai regretté ne pas lire l'espagnol en lisant ce roman !
L'incroyable et triste histoire de la candide Erendira et de sa grand-mère diabolique (La increíble y triste historia de la cándida Eréndira y de su abuela desalmada)
On ne reconnait plus l'auteur dans cet ouvrage selon moi, raté.
L'Automne du patriarche (El otoño del patriarca)
Un autre roman du siècle.
En passant, dans ce roman, on trouve une phrase qui fait 50 pages.
Chronique d'une mort annoncée (Crónica de una muerte anunciada)
C'est ce qui lui vaut le Nobel...
Mais selon moi, ce n'est pas son meilleur.
L'Amour aux temps du choléra (El amor en los tiempos del cólera)
Meilleur que le précédent...
Fanstatique. Magique.
Le Général dans son labyrinthe (El general en su laberinto)
L'auteur se surpasse en humour...
Un humour tout à fait latino américain.
Douze Contes vagabonds (Doce cuentos peregrinos)
Un navet...
Vivre pour la raconter (Vivir para contarla)
Ce sont des mémoires de l'Écrivain.
Si on n'a pas lu les romans et les nouvelles de l'auteur, on risque de ne pas aimer.
Gabriel José de la Concordia García Márquez, un des écrivains hispanophones majeurs du XXe siècle. Il est Colombien, romancier et novelliste, lauréat du prix Nobel de littérature.
Son premier roman, on y trouve déjà la verve truculente de l'auteur
Pas de lettre pour le colonel (El coronel no tiene quien le escriba)
Dans ce 2e roman, l'auteur ne cache plus son engagement politique.
La mala hora (La mala hora)
Histoire sud Américaine, humour percutant.
Les Funérailles de la grande Mémé (Los funerales de la Mamá Grande)
Humour sardonique. Humour Colombien.Folklore et mythes.
Les Yeux de chiens bleus (Ojos de perro azul)
Lourd comme roman. Pas aimé.
Cent ans de solitude (Cien años de soledad)
Le meilleur pour moi.
Le réalisme magique à son meilleur.
Purée, comme j'ai regretté ne pas lire l'espagnol en lisant ce roman !
L'incroyable et triste histoire de la candide Erendira et de sa grand-mère diabolique (La increíble y triste historia de la cándida Eréndira y de su abuela desalmada)
On ne reconnait plus l'auteur dans cet ouvrage selon moi, raté.
L'Automne du patriarche (El otoño del patriarca)
Un autre roman du siècle.
En passant, dans ce roman, on trouve une phrase qui fait 50 pages.
Chronique d'une mort annoncée (Crónica de una muerte anunciada)
C'est ce qui lui vaut le Nobel...
Mais selon moi, ce n'est pas son meilleur.
L'Amour aux temps du choléra (El amor en los tiempos del cólera)
Meilleur que le précédent...
Fanstatique. Magique.
Le Général dans son labyrinthe (El general en su laberinto)
L'auteur se surpasse en humour...
Un humour tout à fait latino américain.
Douze Contes vagabonds (Doce cuentos peregrinos)
Un navet...
Vivre pour la raconter (Vivir para contarla)
Ce sont des mémoires de l'Écrivain.
Si on n'a pas lu les romans et les nouvelles de l'auteur, on risque de ne pas aimer.
Gabriel José de la Concordia García Márquez, un des écrivains hispanophones majeurs du XXe siècle. Il est Colombien, romancier et novelliste, lauréat du prix Nobel de littérature.
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