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La balance commerciale de l’Algérie, qui subit toujours les contrecoups de la montée de l’euro, a encore diminué de 4,86 milliards de dollars durant les onze premiers mois de l’année en cours par rapport à la même période de 2006. De janvier à novembre 2007, le solde de la balance commerciale s’est établi à 26,74 milliards de dollars, contre 31,23 durant les onze premiers mois de l’exercice précédent, selon les chiffres provisoires communiqués hier par le Centre national de l’informatique et des statistiques (CNIS) relevant des douanes.
Cette baisse importante s’explique essentiellement par les fortes importations, dont plus de 55 % provenant de la région européenne sont libellés en euro. En hausse de 23,7 %, les dépenses de l’Algérie ont atteint 24,33 milliards de dollars au cours des onze premiers mois de l’année, alors qu’elles étaient à 19,67 milliards de dollars durant la même période de l’année dernière.
Par contre, les recettes des exportations ont quasiment stagné durant cette période. En effet, constituées à 98 % des hydrocarbures, les ventes de l’Algérie à l’étranger sont passées à 51 milliards de dollars, contre 50,90 milliards durant les onze premiers mois de l’année précédente, soit une hausse infime de 0,35 %.
Le taux de couverture des importations par les exonérations est de 238 %, selon la même source. Fortes dépenses pour les véhicules, les biens alimentaires et les outils de construction Les achats de l’Algérie en machines et équipements industriels viennent toujours en tête de ses importations.
Durant la période considérée, leur proportion a représenté 36,52 % de la structure globale des importations avec une facture de 8,88 milliards de dollars. Cette hausse de 12,61 % est attribuée surtout aux exportations de véhicules et autres équipements de transport.
La facture des importations a également été alourdie par les achats des biens alimentaires qui pèsent de plus en plus sur le budget de l’Etat. Ainsi, la facture alimentaire de l’Algérie a atteint 4,27 milliards de dollars, contre 3,46 milliards de dollars durant les onze premiers mois de 2006.
Une augmentation substantielle qui s’explique notamment par la hausse des prix des produits de base sur le marché mondial tels le blé, la poudre de lait, les huiles végétales, le café et bien d’autres produits de large consommation.
Les biens destinés à l’outil de production et de construction, tels les barres en fer et en acier, le bois, le rond à béton et les partie de construction, ont également augmenté de 36,19 %, totalisant un montant de 6,115 milliards de dollars, reflétant ainsi la croissance du secteur de construction dans notre pays.
source : le jeune indépendant
Cette baisse importante s’explique essentiellement par les fortes importations, dont plus de 55 % provenant de la région européenne sont libellés en euro. En hausse de 23,7 %, les dépenses de l’Algérie ont atteint 24,33 milliards de dollars au cours des onze premiers mois de l’année, alors qu’elles étaient à 19,67 milliards de dollars durant la même période de l’année dernière.
Par contre, les recettes des exportations ont quasiment stagné durant cette période. En effet, constituées à 98 % des hydrocarbures, les ventes de l’Algérie à l’étranger sont passées à 51 milliards de dollars, contre 50,90 milliards durant les onze premiers mois de l’année précédente, soit une hausse infime de 0,35 %.
Le taux de couverture des importations par les exonérations est de 238 %, selon la même source. Fortes dépenses pour les véhicules, les biens alimentaires et les outils de construction Les achats de l’Algérie en machines et équipements industriels viennent toujours en tête de ses importations.
Durant la période considérée, leur proportion a représenté 36,52 % de la structure globale des importations avec une facture de 8,88 milliards de dollars. Cette hausse de 12,61 % est attribuée surtout aux exportations de véhicules et autres équipements de transport.
La facture des importations a également été alourdie par les achats des biens alimentaires qui pèsent de plus en plus sur le budget de l’Etat. Ainsi, la facture alimentaire de l’Algérie a atteint 4,27 milliards de dollars, contre 3,46 milliards de dollars durant les onze premiers mois de 2006.
Une augmentation substantielle qui s’explique notamment par la hausse des prix des produits de base sur le marché mondial tels le blé, la poudre de lait, les huiles végétales, le café et bien d’autres produits de large consommation.
Les biens destinés à l’outil de production et de construction, tels les barres en fer et en acier, le bois, le rond à béton et les partie de construction, ont également augmenté de 36,19 %, totalisant un montant de 6,115 milliards de dollars, reflétant ainsi la croissance du secteur de construction dans notre pays.
source : le jeune indépendant