Tweet
Des centaines de projets en gestation
Nette amélioration dans le domaine de la recherche scientifique en Algérie, notamment durant ces dernières années. Près de 474 nouveaux projets sont actuellement en période de valorisation et d’expertise par des comités spécialisés dans le domaine de la recherche scientifique. Tel est le constat établi, hier à Alger, par le directeur général de l’Agence nationale de valorisation des résultats de la recherche et du développement technologique (Anvrdet), M.Mohamed Taïbi, en marge de l’ouverture d’un atelier de valorisation du projet de la boîte blanche et le réseau de télégestion intégrale des trafics, routier, ferroviaire, maritime et aérien.
Par ailleurs, plus de 50 projets innovants ont été valorisés par l’Agence en attendant de les breveter par l’Institut national algérien de la propriété industrielle (Inapi). Notamment, la valorisation relève de l’importance pour l’innovation et la création ainsi que le développement de la recherche scientifique qui a connu diverses difficultés durant plusieurs années.
La recherche scientifique en Algérie a été marquée par la fuite des cerveaux (plus de 40.000 cadres entre 1987 et 2001). L’Algérie ne disposant, en effet, que de 18 centres de valorisation de la recherche scientifique, en activité dans tout le pays. Un progrès insignifiant pour la relance de ce domaine qui est resté durant des années négligée. A noter que l’Algérie est nettement loin derrière ses voisins qui sont en avance dans le domaine de la recherche scientifique. L’amélioration de la valorisation a touché le secteur de la recherche scientifique universitaire qui travaille en parallèle avec les acteurs économiques, ajoute le directeur de l’Anvrdet.
Plusieurs programmes ont été initiés en la matière, comme la convention signée entre les ministères, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique et celui des Petites et Moyennes entreprises et de l’Artisanat, visant à la création de pépinières dans les universités. Selon le directeur de l’Agence, 14 pépinières seront installées dans les grands pôles industriels. Enfin, pour assurer la coordination et le suivi entre les deux axes, entreprise-université ainsi que le développement de la recherche scientifique en Algérie, l’Agence organise plusieurs activités, notamment les forums université-industrie, selon M.Taïbi.
A noter qu’un colloque international sera organisé par l’Agence en mai prochain pour aborder la question sur le thème. «La recherche, le développement, l’innovation et le monde économique» en Algérie ainsi que les différents rôles des acteurs dans le secteur de la nouvelle stratégie industrielle, a ajouté le directeur de l’Agence.
L'expression
Nette amélioration dans le domaine de la recherche scientifique en Algérie, notamment durant ces dernières années. Près de 474 nouveaux projets sont actuellement en période de valorisation et d’expertise par des comités spécialisés dans le domaine de la recherche scientifique. Tel est le constat établi, hier à Alger, par le directeur général de l’Agence nationale de valorisation des résultats de la recherche et du développement technologique (Anvrdet), M.Mohamed Taïbi, en marge de l’ouverture d’un atelier de valorisation du projet de la boîte blanche et le réseau de télégestion intégrale des trafics, routier, ferroviaire, maritime et aérien.
Par ailleurs, plus de 50 projets innovants ont été valorisés par l’Agence en attendant de les breveter par l’Institut national algérien de la propriété industrielle (Inapi). Notamment, la valorisation relève de l’importance pour l’innovation et la création ainsi que le développement de la recherche scientifique qui a connu diverses difficultés durant plusieurs années.
La recherche scientifique en Algérie a été marquée par la fuite des cerveaux (plus de 40.000 cadres entre 1987 et 2001). L’Algérie ne disposant, en effet, que de 18 centres de valorisation de la recherche scientifique, en activité dans tout le pays. Un progrès insignifiant pour la relance de ce domaine qui est resté durant des années négligée. A noter que l’Algérie est nettement loin derrière ses voisins qui sont en avance dans le domaine de la recherche scientifique. L’amélioration de la valorisation a touché le secteur de la recherche scientifique universitaire qui travaille en parallèle avec les acteurs économiques, ajoute le directeur de l’Anvrdet.
Plusieurs programmes ont été initiés en la matière, comme la convention signée entre les ministères, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique et celui des Petites et Moyennes entreprises et de l’Artisanat, visant à la création de pépinières dans les universités. Selon le directeur de l’Agence, 14 pépinières seront installées dans les grands pôles industriels. Enfin, pour assurer la coordination et le suivi entre les deux axes, entreprise-université ainsi que le développement de la recherche scientifique en Algérie, l’Agence organise plusieurs activités, notamment les forums université-industrie, selon M.Taïbi.
A noter qu’un colloque international sera organisé par l’Agence en mai prochain pour aborder la question sur le thème. «La recherche, le développement, l’innovation et le monde économique» en Algérie ainsi que les différents rôles des acteurs dans le secteur de la nouvelle stratégie industrielle, a ajouté le directeur de l’Agence.
L'expression