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poème maladroit

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  • poème maladroit

    J’ai voulu ici explorer, une maladresse moyenâgeuse ....

    Que je n’eusse été maladroit
    Durant cette nuit d’été
    Pris de je ne sais qu’elle état
    Que j’en étais tombé si bas
    Qu’une rumeur déjà
    Me pris dans une paroi
    Mes mains si courtois
    Qu’elles imaginaient parfois
    Jongler avec narquois
    Telle une joie aux éclats
    Que je dus renoncer aux patois
    D’une langue si délicate
    Que j’en oublié ma foie
    Et gaver comme une oie
    Que je n’eusse été maladroit
    Dernière modification par ammi_moussa, 01 janvier 2008, 10h08.

  • #2
    que je n'eusse été maladroit
    d'avoir ecris cella
    d'avoir pensé que peut-être
    vous auriez aimé ça
    ...
    Mais apparement ce n'est pas le cas...

    Commentaire


    • #3
      Que je doute
      Que l'on ait perçu
      Ta complainte
      Narrant compendieusement
      Ton périple de cette nuit fatale
      D'un âge lointain
      Que j'eusse défié
      Qu'elle ne suscitât
      Ni esprit ni verve
      Mais que l'on eût retenu
      De ton impair
      Une foi et une oie
      Et un patois disparu

      Que je te dise
      Que tu n'aies pas été
      Maladroit mais preux
      D'être venu nous composer
      Cette strophe
      T'exaltera dans un proche avenir
      A venir nous expose avec bravoure
      D'autres couplets
      Tout aussi "maladroits" ?

      « La voix de la mer parle à l'âme. Le contact de la mer est sensuel et enlace le corps dans une douce et secrète étreinte. »

      Commentaire


      • #4
        Dans une quelconque conversation
        J’eu été prompt à laisser tomber
        Mais devant tant de talent
        Je m’incline et te donne vie
        heureux de te compter ami.
        Dans ce quatrain honnête
        tel un banquet ou gît festin
        ce donjon ou respire fête
        ou seul risque est l’entrain
        j’irai avec ta verve danser en salle.
        Ou seul vocabulaire serait bruit
        dans les couloirs ou autres dédales
        que le vent charrie cheminé et suie
        .qu’avant minuit je me retire
        qu’avant carrosse et puis charrue rustique
        transforme mon pauvre moi

        En valet de pique
        Me laisserais-tu Roi
        Que ce songe interrompre
        Il est tard heure et fin le loisir
        D’un bonheur perdu en plaisir
        Qu’une âme vile essaie de corrompre

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        • #5
          Que le rêve reste tien
          Que le dernier coup
          Ne soit point fatal
          Que le carrosse brille
          De mille feux
          T'illuminant sentiers
          Bois et ravins.

          Bonne Année !

          « La voix de la mer parle à l'âme. Le contact de la mer est sensuel et enlace le corps dans une douce et secrète étreinte. »

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          • #6
            Merci pour cette joute verbale

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            • #7
              Bien qu’il s’en moqua :
              pour rien au monde il n’en manqua;
              enragé tel un chien,
              lui qui pourtant n’avait rien,
              meme pas un maître.
              qui pourrait l’emmener paître.
              dans un lointain pré
              meme contre son gré.
              dans cette verdure enfin
              apaiser sa faim,

              meme si ce n’est pain.»

              Gouter ce moment
              qui enivre meme entre dents.
              m’est-elle venu à l’ oreille :
              je prend ton conseil
              meme dans le sommeil ;
              et jusqu’au réveil,
              pour peu et meme beaucoup.»
              dévorer tel un loup
              celle qui me conseille
              au matin s'éveille ;
              ouverte dans sa mâchoire :
              peine à le croire,

              tu es certes pour moi un remède.

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