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"Enième manipulation de la presse marocaine"

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  • "Enième manipulation de la presse marocaine"

    "ENIEME MANIPULATION DE LA PRESSE MAROCAINE
    Même les félons s’en indignent"

    Suite à une interview imaginaire que s’est autorisée la Gazette du Maroc dans sa folie démentielle de manipulation de l’opinion marocaine et internationale, le colonel Samraoui, un ex-officier des services de sécurité algériens, en désertion à l’étranger, a fait parvenir à la presse nationale la mise au point que le Courrier d’Algérie a décidé de publier intégralement :

    Je tiens à dénoncer avec la plus grande vigueur la manipulation du journal La Gazette du Maroc qui publie dans son édition du 8 juin 2005, une prétendue interview sous le titre : Les généraux algériens sont capables de provoquer la guerre contre le Maroc, que j’aurais soi-disant accordé à ce journal.
    La seule et unique interview donnée à un journal marocain (Maroc Hebdo Inernational) remonte à fin 2003.
    Je déclare solennellement et sans équivoque être étranger aux propos qui me sont prêtés.
    Ce quotidien a, certes, cherché à me contacter par l’intermédiaire d’un ami, mais le style suspect de la demande, plus proche des officines occultes que d’un journal digne de ce nom et la conjoncture actuelle marquée par une tension entre les deux pays, ont renforcé mes doutes quant aux véritables intentions des auteurs.
    La publication d’une fausse interview est la meilleure preuve des agissements malhonnêtes de la Gazette du Maroc, démontrant indubitablement les agissements d’une certaine presse du royaume, sans éthique ni déontologie, où l’on distingue : amalgames, mensonges et manœuvres. Je rappelle à ceux qui ne l’auraient pas encore compris que Mohammed Samraoui ne sera ni un Hamid Karzaï, ni un Ahmed Chalabi, ni un Iyad Allaoui et que mon combat s’inscrit dans le cadre strictement algéro-algérien dont les mots d’ordre sont : La rupture totale avec le régime criminel et corrompu, la justice, la liberté et la dignité.

    Mohammed Samraoui

    Source: Courrier d'Algérie"

  • #2
    Oui d'accord, mais n'est il pas de son droit d'attaquer ce journal en justice pour diffamation? à moins qu'il l'a faite et on ne le sait pas...
    Moussa Elhadj---Elhadj Moussa.

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    • #3
      Djanoub, je te parle d'une machination que les marocains ont monté et que d'autres personnes utisent sur ce forum pour répendre le mensonge et toi , comme une fleur tu écrits cela.

      no comment !

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      • #4
        algerino- J'ai bien compris, et je suis d'accord avec toi...il y a bien machination, manipulation... ce que je voulais savoir si Samraoui a porté plainte. Sinon pour moi lui et La gazette c'est Kif kif.

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        • #5
          On présente un démenti comme si c'était l'affaire du siècle, donc rien de passionnant. C'est devenu une habitude dans cette presse dite "libre" d'inonder le lecteur marocain de tout et de n'importe quoi à propos de l'algérie, de ses institutions et même à son peuple.

          Cette presse continue de brasser le vent à faire tourner une éolienne à plein régime...

          Une piqure de moustique tout au plus.
          Dernière modification par citoyen, 08 juin 2005, 22h54.

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          • #6
            les marocains se font discret ce soir

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            • #7
              Voici un article du Quotidien d'Oran appotant un éclaicissement sur cette affaire.

              MOHAMED SAMRAOUI DEMENT L’INTERVIEW PUBLIEE PAR LA GAZETTE DU MAROC

              A quoi joue la presse marocaine?



              La Gazette du Maroc vient, une fois n’est pas coutume, de faire réagir Mohamed Samraoui. L’ancien officier déserteur de l’armée algérienne, dissident et membre du MAOL, dénonce «avec la plus grande vigueur la manipulation» du journal marocain, qui a publié dans son édition du 8 juin une interview qu’il lui aurait soi-disant accordée, intitulée «Les généraux algériens sont capables de provoquer la guerre contre le Maroc».

              Dans les colonnes de La Gazette du Maroc, Mohamed Samraoui, selon les déclarations qui lui sont prêtées, s’en prend au pouvoir algérien et aux généraux qu’il accuse d’être derrière les blocages et les tensions existantes dans les relations algéro-marocaines, ainsi qu’à l’origine des derniers développements au Sahara Occidental. Néanmoins, dans un communiqué donné hier, Mohamed Samraoui se défend d’avoir tenu de telles déclarations. «La seule et unique interview donnée à un journal marocain, Maroc Hebdo International, remonte à fin 2003. Je déclare solennellement être étranger aux propos qui me sont prêtés», précise-t-il.

              Le quotidien aurait cherché, selon Mohamed Samraoui, à le contacter par l’intermédiaire d’un ami. «Mais le style suspect de la demande, plus proche des officines occultes que d’un journal digne de ce nom, et la conjoncture actuelle marquée par une tension entre les deux pays ont renforcé mes doutes quant aux véritables intentions des auteurs», ajoute-t-il. La publication d’une «fausse» interview est la meilleure preuve, selon lui, des «agissements malhonnêtes» de La Gazette du Maroc.

              Elle démontre aussi «indubitablement les agissements d’une certaine presse du royaume sans éthique ni déontologie, où l’on distingue amalgames, mensonges et manoeuvres», relève Samraoui. Il rappelle à cet effet que son «combat s’inscrit dans le cadre algéro-algérien». Mohamed Samraoui a exigé du journal un droit de réponse et se réserve le droit de porter plainte.

              Cette nouvelle polémique intervient alors que le Maroc est sous les feux des projecteurs depuis les manifestations pacifiques des Sahraouis dans les territoires occupés et la répression sauvage perpétrée par les forces de l’ordre marocaines qui les ont suivies. Opposant du pouvoir, Samraoui fait partie du «Mouvement algérien des officiers libres» (MAOL) qui s’est illustré par des révélations se voulant fracassantes et fervent partisan de la thèse du «qui tue qui ?».

              Longtemps, on avait supposé en Algérie que des Etats hostiles encourageaient et finançaient même ce genre de révélations en protégeant leurs auteurs. L’entretien publié par La Gazette du Maroc est instructif à plus d’un titre de par le lien qu’il établit aujourd’hui avec Mohamed Samraoui et dans lequel ce dernier critique la ligne politique intérieure et extérieure de l’Algérie. Ce fait nouveau est doublement édifiant. Si l’interview a réellement été réalisée, contrairement à ce qu’affirme Mohamed Samraoui, cela conforterait le lien et les contacts établis avec les anciens officiers algériens dissidents du pouvoir. Dans ce cadre, le Maroc serait partie intégrante du vaste réseau de soutien aux opposants algériens. Dans le cas contraire, celui où cet entretien n’aurait jamais été accordé par Mohamed Samraoui tel qu’il le défend, il reste quand même éclairant. Du fait même que l’on n’hésite plus aujourd’hui au sein de la presse marocaine en général et à La Gazette en particulier, à faire du «journalisme fiction». Et donc à faire dire à Mohamed Samraoui, à cause de son statut d’opposant, le discours voulu ou attendu.

              Il y a aujourd’hui quelque chose d’important au-delà de la personnalité ambiguë et trouble de Mohamed Samraoui, auteur d’un livre flop, dans lequel l’auteur rapporte des témoignages sur des évènements où il n’était pas présent. C’est la première fois qu’un membre du MAOL dénonce publiquement des propos qui se rapprochent des déclarations habituelles et de la thèse du «qui tue qui ?». C’est la première fois également qu’il rappelle que «son combat est algéro-algérien». La théorie la plus probable dans ce cas est que Mohamed Samraoui est dans le vrai : cet entretien n’a jamais été accordé et les chapitres du livre ont été utilisés pour construire les réponses les plus attendues de Samraoui. Cette «vraie-fausse» interview renseigne, plus que nécessaire, sur la vision qu’ont les responsables politiques et les médias marocains sur les facteurs de blocage de la normalisation entre Alger et Rabat. La responsabilité incombe, pour eux, à l’armée algérienne, aux services et aux généraux. Une vision dépassée qui n’a plus cours ni en Algérie ni auprès de la communauté internationale. D’autant que l’attention internationale est plus focalisée ces derniers jours sur ce qui se passe en territoire sahraoui. Le Maroc n’a pas hésité à interdire l’accès des territoires aux parlementaires espagnols et à la presse internationale. En position défensive sur cette question, un palier supplémentaire vient d’être franchi en remettant sur le tapis des officiers dissidents algériens pour témoigner de soi-disant agissements de l’Algérie officielle contre le Maroc. Apparemment, si Samraoui dit vrai, La Gazette du Maroc vient de glisser sur un terrain extrêmement sensible. Et la presse marocaine vient de s’illustrer de belle manière. Car, malgré l’intérêt que peuvent avoir pour les médias algériens les déclarations de Driss Basri, ancien ministre de l’Intérieur du royaume et opposant actuel, nul ne penserait à lui faire dire et encore moins publier des propos qu’il n’a pas tenus.

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              • #8
                juste pour vous expliquer la situation, la gazette du maroc est un journal du palais (le prince rachid pour etre plus precis), le directeru kamal lahlou etait un journaliste sportif a la tele marocaine (un analphabete de 1ere classe), et un proche du prince rachid (un amateur d'alcool et de drogue). donc il ne faut pas s'etonner de ce qui s'ecrit dans ce journal qui un jour fait l'eloge de boutef et le lendemain le casse.

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                • #9
                  il y a eu pire encore comme manipulation.
                  l agence de presse officelle marociane avait cité un quotidien Algérois qui aurait annoncé que l ANP aurait atatqué 400 FAR .
                  Et cette agence de presse d accuser la presse Algérienne de faire de l intox .
                  oui mais ce quotidien Algérois n a jamais existé autrement que dans la tete de ces manipulateurs de l agence de presse marocoaine.
                  inventer un mensonge come celui ci c,faut vraiment,mais vraiment etre un gros tordu .
                  Inevnter une information qui aurait été le fruit d un journal que l on a soit meme invneter afin de discréditer l autre ,faut le faire .
                  Encore un autre coup tordu du Makhzen .

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                  • #10
                    Je vous joins un article d’un journal marocain ou ils font un reportage sur l’ambassadeur marocain en Irak et dans la phase de questions réponses avec celui-ci on comprend pourquoi le Maroc participât à la guerre du Golf version 1991, du coté américain bien sûr…POUR PAYER MOIN CHERE LE PETROLE ! Edifiant

                    «Le sahara est marocain»

                    Abdul Muhsin Saeed, ambassadeur de l'Irak au MarocNommé, il y a quatre mois environ, au poste d'ambassadeur de la République d'Irak au Maroc, Abdul Muhsin Mohamed Saeed est un diplomate de carrière, avec une quarantaine d'années d'expérience. Dans cette interview accordée à ALM, il revient sur les principaux axes de la coopération entre le Maroc et l'Irak.


                    ALM : Comment peut-on qualifier les relations entre les deux pays, essentiellement depuis la chute de l'ancien régime et l'avènement d'une nouvelle classe politique en Irak ?
                    Abdul Muhsin Mohamed Saeed : Les relations entre nos deux pays sont séculaires. Elles ont été, dès l'indépendance du Royaume en 1956, un modèle du genre, puisque l'amitié, la fraternité et l'entente a toujours caractérisé les relations entre le Maroc et l'Irak. En un mot, je peux vous assurer que les rapports entretenus par nos deux pays seront caractérisés par la continuité dans tous les domaines. Qu'il s'agisse de l'économie, l'agriculture, le pétrole ou la politique. D'ailleurs, sur ce dernier point, le Maroc et l'Irak ont toujours défendu les mêmes idées au sein de la Ligue arabe, de l'Organisation de la Conférence Islamique et du Comité Al Qods dont l'Irak est un membre très actif.
                    A ce titre, je tiens à vous annoncer que notre administration nous a demandé d'activer la commission mixte maroco-irakiennne. La dernière réunion du genre s'est tenue en 2002 à Rabat et nous espérons très prochainement la reprise de ces réunions de manière régulière.

                    Vous avez parlé du secteur pétrolier. En vertu d'accords bilatéraux, l'Irak s'est engagé à vendre au Maroc du pétrole à des prix préférentiels. Qu'en est-il aujourd'hui ?
                    Bien évidemment, le principe est toujours maintenu et il n'est pas question de le remettre en cause. Vous soulevez la question du pétrole, mais sachez également que le gouvernement irakien achetait des produits de consommation marocains et les mettait sur le marché irakien à des prix subventionnés. Cependant, comme vous le savez, la situation sécuritaire en Irak est telle que la fluidité des marchandises se trouve souvent perturbée. C'est le cas pour le pétrole également. Les pipe-lines font régulièrement l'objet de sabotage. C'est la raison pour laquelle l'Irak trouve, dans les conditions sécuritaires actuelles, des difficultés à assurer un approvisionnement régulier à des pays comme le Maroc par exemple.

                    Que pensez-vous de l'attitude marocaine officielle à l'égard du nouveau régime en Irak ?
                    Sincèrement, les réactions positives marocaines, officielles et populaires, mettent du baume au cœur des Irakienss. Personnellement, j'ai souvent l'occasion de parler à des responsables marocains, et à chaque occasion, ils m'affirment que le Maroc est prêt à soutenir l'Irak. La lettre que Sa Majesté le Roi a adressé à Son Excellence le président irakien est claire. De même pour les lettres du Premier ministre, Driss Jettou, envoyées à ses homologues irakiens.

                    Ceci dit, le Maroc n'a pas encore désigné d'ambassadeur en Irak. C'est un chargé d'affaires qui représentent Rabat à Bagdad. Comment percevez-vous cela en Irak ?
                    Il est clair que les deux pays traitent au niveau des deux ambassades. Si le Maroc n'a pas encore désigné d'ambassadeur à Bagdad, cela ne veut pas dire qu'il dévalorise l'Irak. Bien au contraire. Je saisis cette occasion pour vous rappeler que le ministère irakien des Affaires étrangères tient à remercier fermement le gouvernement marocain d'avoir laissé ouverte son ambassade en Irak, malgré les difficultés. Et il ne faut pas oublier que le chargé d'affaires marocain en Irak est un ministre plénipotentiaire. D'ailleurs, à part le Bahreïn, si ma mémoire est bonne, aucun pays arabe n'a encore désigné d'ambassadeur en Irak.

                    Le gouvernement irakien vient d'ouvrir un bureau d'attaché militaire au Maroc. Quel sera son rôle ?
                    Ce bureau s'intéressera à l'expérience militaire marocaine. Vous savez, l'Irak est un pays qui reprend pratiquement tout depuis le début. Dans le secteur militaire, nous sommes ainsi intéressés notamment par les aspects de l'entraînement et de l'aménagement.
                    Mais à côté du domaine militaire, il faut rappeler que le Maroc aide énormément l'Irak. Ainsi, une quinzaine de cadres du ministère irakien des Affaires étrangères sont venus dernièrement en formation, ici au ministère marocain des Affaires étrangères. Aussi l'Institut Agronomique et Vétérinaire Hassan II de Rabat a reçu 38 ingénieurs et vétérinaires irakiens qui sont venus parfaire leur formation dans le domaine agronomique et vétérinaire.

                    On parle d'une éventuelle participation des forces marocaines aux côtés des forces multinationales en Irak. Qu'en est-il au juste?
                    Officiellement, il n'en est pas question. D'ailleurs, la lettre de SM le Roi Mohammed VI est claire. Nous aurions aimé que seules des armées arabes soient présentes sur le territoire irakien, mais il en a été autrement.

                    Avez-vous des regrets?
                    C'est une période dépassée. Aujourd'hui, on ne peut plus faire marche arrière.

                    Y a-t-il, à votre connaissance, des combattants marocains détenus en Irak à Abou Ghraïb?
                    J'ai lu des informations dans ce sens dans la presse française. Mais comme vous le savez, les centres de détention en Irak sont gérés par les forces américaines. Elles peuvent vous donner plus d'informations.

                    Quelle est la position de l'Irak sur la question du Sahara ?
                    Depuis toujours, l'Irak était pour l'intégrité territoriale du Maroc. Cette position est constante et elle ne changera pas.

                    Pensez-vous que le secteur privé marocain a la possibilité de participer à la reconstruction de l'Irak ?
                    Nous espérons d'abord le retour de la paix. Certes, les infrastructures de base en Irak sont fortement endommagées. Et l'expertise marocaine peut-être d'un grand intérêt. Mais il ne faut pas oublier que des paysans marocains sont toujours présents en Irak. Malgré toutes les difficultés, ils ont refusé de quitter leurs terres et l'Irak.
                    Je profite également de cette occasion pour souligner que la communauté Irakienneau Maroc est également fort importante. Il y a des universitaires, des commerçants, des médecins et même une école irakienne. Et ils donnent, tous, une très bonne image de l'Iraq.

                    aujourdhui.ma
                    Dernière modification par algérino.jersey, 09 juin 2005, 16h55.

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                    • #11
                      la citation de monsieur l ambassadeur d irak au maroc
                      Quelle est la position de l'Irak sur la question du Sahara ?
                      Depuis toujours, l'Irak était pour l'intégrité territoriale du Maroc. Cette position est constante et elle ne changera pas.

                      et kand on sait ke la position du nouveau gouvernement d irak sur les kestions etrangeres epouse celui des etats unis je crains ke ceci cree des angoisses chez certains de nos amis algeriens sympathisants du polisario

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                      • #12
                        Franchement, parfois la bêtise ne peut pas connaitre de limites. CASABLANCAIS mon ami qu'est-ce que l'Irak à avoir avec le sujet ici ? Et puis penses-tu que de toute façon, un représentant d'un gouver,nement fantoche placé par les GI's puisse avoir la moindre importance, pas même morale qui puisse nous remplire la tête sur une cause que nous defendons par principe ?
                        En réalité ce genre de considération importent plutôt a votre gouvernement qui leche les parquet du monde entier pour avoir le moindre petit soutient a gauche ou a droite, nous nous nous contentons de l'essetiel mon ami.
                        "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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                        • #13
                          pour te dire mon cher harrachi
                          primo le gouvrnement irakien est aux yeux des etats unis et du monde entier mille fois plus credible ke n importe kel gouvernement arabe
                          secundo le maroc au moins use de sa legitimite et de sa diplomatie pour valoir ses droits contrairement a l algerie ki achetetait dans les anees70 les reconnaissances des republikes bananieres pour le polisario contre le petrodollar

                          Commentaire


                          • #14
                            Ah bon on a paye tout les etats du monde je savais pas qu'on etait aussi riche

                            Commentaire


                            • #15
                              Au Maroc, le ridicule ne tue pas. On le sait.

                              L'opinion internationale émet des réserves quant aux déclarations de Semaroui, qu'elles soient faites sur le site du MOAL avec lequel il disait en 2002 n'avoir aucun rapport (aujourd'hui, il en est membre) ou qu'elles aient été transcrites sur son ouvrage (les années de sang).

                              En outre, toutes les informations concernant l'Algérie et susceptibles d'intéresser certains services de renseignements d'Etats étrangers (USA, Espagnes etc..) ont été données par Samraoui.

                              La gazette du Maroc a trouvé le fil à couper le beurre!.

                              Il est notoire que les services de renseignements marocains sont plus ou moins médiocres quand ils tentent de semer la zizanie à travers certains de leurs journaux .

                              Le meilleure exemple est celui de 1994 où, l'on informait l'opinion internationale que les attentas du Maroc étaient un fait Algérien. Le résultat! On le connait.

                              Second exemple, et plus récent: Celui de la ''prétendue'' déclaration du Ministère algérien des affaires étrangères sur le sahara occidental avant l'ouverture du sommet de l'UMA qui a entrainé son repport du fait du sentiment de ''lèse majesté'' ressenti par M6.

                              L'acharnement du Maroc, l'insite à aller puiser ses informations à une source qui n'est plus d'actualité, ni en Algérie, ni internationalement d'ailleurs.

                              Je ne sais pas quel calcul a du faire ce journal et ceux qui sont derrière cette idée, mais en tout cas c'est un calcul assez obselète : celui de victimiser le maroc (cet allié si précieux de l'occident) et de diaboliser l'Algérie (ce pays foyer du terrorisme et de généraux menacçant la sécurité su Maghreb). C'est un jeu bien connu.

                              Ce genre d'attitudes s'accroit au rythme des relations que tisse actuellement l'Algérie avec l'OTAN, l'armée US et d'autres, qui risque de remettre en cause la place de premier allié militaire qu'a pu avoir le Maroc dans le bassin méditéranéen avec les forces occidentales.

                              Je pense que les connaisseurs, après plusieurs années de huit clos algériens, commencent à entrevoir de manière claire le conflit maroco-sahraoui, et la position (officielle) de l'Algérie dans ce conflit.

                              Je pense aussi que les échéances commencent à arriver pour un réglement de ce conflit qui gêne aussi les pays occidentaux ayant des vues plus ou moins pacifiques et surtout commerciales du maghreb.

                              Ces échéances irritent le royaume qui croit probablement en la possibilité d'un immobilisme immuable de la situation.

                              Quand on sait tout cela, je crois qu'il n' y a pas lieu de donner au mensonge, ou même si c'était une réalité (interview accordée), le ton grave que le maroc souhaite semer au travers de ce journal.

                              Ce fait divers doit être considéré à sa juste valeur: Le ridicule qui ne tue pas.

                              Maintenant que Samraoui démente ou non, quelle pertinence devons nous donner à ses éventuelles déclarations, nous en tant qu'Algériens?

                              En l'état actuel des choses, il serait fort étonnant que l'Algérie puisse penser attaquer un voisin. (Quand Boumedienne avait la capacité et les raisons de la faire, il s'en est abstenu... dès lors...le Maroc ne viverait 'il pas encore avec l'ombre de ce dernier....
                              Qui béné amat béné castigat

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