Encore des charges à supporter par les patients, pour la santé. Le système se santé français, couté cher, certes, mais ce n’est pas en augmentant indéfiniment les dépenses qu’ils vont y arriver. L’enjeu : réduire les couts.
----------------
A compter du 1er janvier 2008, les Français supporteront un reste à charge sur les médicaments, les actes paramédicaux et les transports sanitaires. Le mode d'emploi détaillé est disponible sur le site de l'Assurance maladie.
Les franchises médicales s'appliqueront à partir du 1er janvier sur les boîtes de médicaments, les actes paramédicaux et les transports sanitaires, a rappelé mercredi dans un communiqué la Caisse nationale d'assurance maladie (Cnam). Instaurées par le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS), les franchises médicales, qui laissent à la charge des patients une partie des frais médicaux, ont fait l'objet de fortes oppositions d'associations, de professionnels de santé et de syndicats. Les bénéficiaires de la couverture maladie universelle (CMU) les enfants et les femmes enceintes en sont exonérés.
Déduite d'un remboursement ultérieur en cas de tiers payant
Le montant de la franchise, rappelle la Cnam, est de 50 centimes d'euros par boîte de médicaments et par acte paramédical, et de 2 euros par transport sanitaire, et ne pourra excéder un plafond global de 50 euros par an. En pratique, cette somme sera déduite au fur et à mesure des remboursements effectués par les caisses d'assurance maladie, explique le communiqué. Quid en cas de tiers-payant ? Vous n'avez alors rien à payer au pharmacien. Comment vous est prélevée la franchise ? "Sur vos prochains remboursements", répond l'assurance maladie.
Un plafond journalier a été mis en place pour les actes paramédicaux et les transports sanitaires : le montant restant à la charge du patient sera au maximum de 2 euros par jour sur les actes paramédicaux (la franchise sera donc appliquée au maximum sur 4 actes paramédicaux, au-delà la franchise n'est plus appliquée) et de 4 euros par jour pour les transports sanitaires (2 transports sanitaires par jour supporteront la franchise, soit l'aller-retour, au-delà, la franchise disparaît).
lesechos.fr
----------------
A compter du 1er janvier 2008, les Français supporteront un reste à charge sur les médicaments, les actes paramédicaux et les transports sanitaires. Le mode d'emploi détaillé est disponible sur le site de l'Assurance maladie.
Les franchises médicales s'appliqueront à partir du 1er janvier sur les boîtes de médicaments, les actes paramédicaux et les transports sanitaires, a rappelé mercredi dans un communiqué la Caisse nationale d'assurance maladie (Cnam). Instaurées par le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS), les franchises médicales, qui laissent à la charge des patients une partie des frais médicaux, ont fait l'objet de fortes oppositions d'associations, de professionnels de santé et de syndicats. Les bénéficiaires de la couverture maladie universelle (CMU) les enfants et les femmes enceintes en sont exonérés.
Déduite d'un remboursement ultérieur en cas de tiers payant
Le montant de la franchise, rappelle la Cnam, est de 50 centimes d'euros par boîte de médicaments et par acte paramédical, et de 2 euros par transport sanitaire, et ne pourra excéder un plafond global de 50 euros par an. En pratique, cette somme sera déduite au fur et à mesure des remboursements effectués par les caisses d'assurance maladie, explique le communiqué. Quid en cas de tiers-payant ? Vous n'avez alors rien à payer au pharmacien. Comment vous est prélevée la franchise ? "Sur vos prochains remboursements", répond l'assurance maladie.
Un plafond journalier a été mis en place pour les actes paramédicaux et les transports sanitaires : le montant restant à la charge du patient sera au maximum de 2 euros par jour sur les actes paramédicaux (la franchise sera donc appliquée au maximum sur 4 actes paramédicaux, au-delà la franchise n'est plus appliquée) et de 4 euros par jour pour les transports sanitaires (2 transports sanitaires par jour supporteront la franchise, soit l'aller-retour, au-delà, la franchise disparaît).
lesechos.fr