«Nous avons des inquiétudes sérieuses. La chaîne de commandement au Pakistan n'est peut-être plus intacte.» Telle était la conclusion du scénario d'une simulation militaire - les fameux war games - tenue à la fin de 2006 au Centre d'études stratégiques et internationales, à Washington.
La «chaîne de commandement» dont il est question, c'est celle qui assure la sécurité de la cinquantaine de bombes nucléaires pakistanaises. Si la guerre civile s'étend et menace l'autorité du général Pervez Musharraf, il est possible que les bombes tombent en des mains ennemies, peut-être même celles d'Al-Qaeda ou des talibans.
Dans la simulation de la fin 2006, le scénario envisageait un attentat taliban contre le président afghan Hamid Karzaï, suivi par une offensive américaine puis pakistanaise contre les refuges talibans de l'ouest du Pakistan.
Une guerre civile s'ensuivait.
- AFP
La «chaîne de commandement» dont il est question, c'est celle qui assure la sécurité de la cinquantaine de bombes nucléaires pakistanaises. Si la guerre civile s'étend et menace l'autorité du général Pervez Musharraf, il est possible que les bombes tombent en des mains ennemies, peut-être même celles d'Al-Qaeda ou des talibans.
Dans la simulation de la fin 2006, le scénario envisageait un attentat taliban contre le président afghan Hamid Karzaï, suivi par une offensive américaine puis pakistanaise contre les refuges talibans de l'ouest du Pakistan.
Une guerre civile s'ensuivait.
- AFP
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