Un parti de l'alliance présidentielle suggère que « le temps de Bouteflika est terminé
Important parti de l’alliance présidentielle, le MSP propose pour l’année 2008 « la composition de nouvelles alliances politiques en dehors de la cour du pouvoir. » Autrement dit, en dehors du cercle de Bouteflika qu’il estime « fini ». S’exprimant de la bouche de Abdelmadjid Menasra, son vice-président, le MSP va plus loin et se dit hostile à la reconduction de Bouteflika. « Je crois qu’une option de troisième mandat est un recul sur un acquis démocratique » a affirmé Menasra. Et la révision constitutionnelle ? « Ce n’est pas une priorité », tranche-t-il. Il cite l’exemple de présidents de par le monde qui ont préféré respecter la constitution de leurs pays respectifs : au Liban, au Venezuela, en Russie et en Turquie. Saluant par là l’esprit démocratique avec lequel ces présidents ont obéi à la limitation de mandat , Menasra a affirmé que « si révision il y a, elle devra se faire autour d’un dialogue et qu’elle émane d’une volonté de réforme de la Constitution pour plus d’équilibre entre les institutions et non pas obéir à des visées partisanes ou personnelles. » Le vice-président du MSP félicite tous ceux qui ont exprimé leur vœu de se porter candidat aux prochaines élections présidentielles. « Nous encourageons tous les candidats et disons que la position du MSP dépendra de l’annonce et de la nature de la révision constitutionnelle à venir », dira-t-il.
le matin
Important parti de l’alliance présidentielle, le MSP propose pour l’année 2008 « la composition de nouvelles alliances politiques en dehors de la cour du pouvoir. » Autrement dit, en dehors du cercle de Bouteflika qu’il estime « fini ». S’exprimant de la bouche de Abdelmadjid Menasra, son vice-président, le MSP va plus loin et se dit hostile à la reconduction de Bouteflika. « Je crois qu’une option de troisième mandat est un recul sur un acquis démocratique » a affirmé Menasra. Et la révision constitutionnelle ? « Ce n’est pas une priorité », tranche-t-il. Il cite l’exemple de présidents de par le monde qui ont préféré respecter la constitution de leurs pays respectifs : au Liban, au Venezuela, en Russie et en Turquie. Saluant par là l’esprit démocratique avec lequel ces présidents ont obéi à la limitation de mandat , Menasra a affirmé que « si révision il y a, elle devra se faire autour d’un dialogue et qu’elle émane d’une volonté de réforme de la Constitution pour plus d’équilibre entre les institutions et non pas obéir à des visées partisanes ou personnelles. » Le vice-président du MSP félicite tous ceux qui ont exprimé leur vœu de se porter candidat aux prochaines élections présidentielles. « Nous encourageons tous les candidats et disons que la position du MSP dépendra de l’annonce et de la nature de la révision constitutionnelle à venir », dira-t-il.
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