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Le stress, mal être des prochaines décennies ?

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  • Le stress, mal être des prochaines décennies ?

    Le stress, quel est-il ? Comment le gérer ?
    Qu’est-ce que cet état de fait ?
    Comment le reconnaître ?
    Que pratiquer pour le canaliser ?

    C’est parait-il le ’mal du siècle’ ! Par chacun des nombreux moyens de communication qu’il soit écrit, écouté ou vu (journaux, revues, émissions radiophoniques ou télévisuelles, cinéma, théâtre, colloques, courants d’idées, sectes...) tous ne nous parlent que de cela. Mais le stress ce mot si vulgarisé qu’il en perd même de son importance, quel est-il réellement ? Comment vient-il en nous ?

    Ce mal insidieux ne se reconnaît que lorsqu’il nous tient bien en laisse.

    D’après les encyclopédistes, ce serait un sentiment d’agression de l’organisme qui influe sur l’état émotionnel prenant le dessus de notre ressenti le rendant plus fragilisant ; sensibilité éxacerbée, sensiblerie éxagérée, recherche de performance positivement accrue en période de signature de contrats, émotivité intense venant en général du ventre ou de la gorge suivant l’individu. Le stress peut donc être soit positif, soit négatif ou très vague en sa définition.

    Son côté positif nous le rend dynamique : pour les recherches estudiantines ou laborantines, l’aboutissement d’affaires fructueuses, prendre un ticket de loterie, explosion de joie quand il se trouve gagnant, monter sur le podium ou l’estrade, arriver à maintenir une foule en haleine... Cet état de fait peut revêtir la forme de triomphe, de richesse tant culturelle que financière, d’émoi collectif ou individuel, suivant les circonstances. C’est l’envie de vivre à cent à l’heure, le désir d’être reconnu, l’égo qui ressort à la face de tous s’appelle une montée d’adrénaline. Mais cette dynamique peut se révéler néfaste dans son positif de départ s’il est relié à un moyen autre (café, alcool, tabac, drogue...). L’association à longue échéance peut se révéler désastreuse.
    Le côté négatif nous permet deux choix possibles : celui de nous expanser vers autrui par couches successives de colère, celui de nous effondrer intérieurement. Le premier point fait de nous des êtres emplis de rage contenue, nous rendant imbuvables, colériques et très impulsifs. Le second point provoque une grande déprime, une dépression de surface via une névrose. Ces deux facettes connues de toutes et tous permettent l’évacuation du ’mal être’, l’identification de ce sentiment de ’fatigue psychologique’. Le simple mot de stress reste synonyme de psychologie globale de l’individu moderne, malheureux terme en soi, profondeur inexplorable de l’âme humaine.

    Le stress est dû en fait à différentes causes physiologiques (réactions intensifiées de joie ou de désillusions face à la situation) et psychologiques (émotions face à la peur, la colère, le chagrin) ainsi que physiques (surmenage, compétition à outrance). On redevient ’animal’ dans l’instinct du danger (courage ou fuite), on montre son vrai ’visage’ intérieur, son moi ou son identité personnelle ; ce terme signifie surtout qu’un choc qui se produit et que l’on n’attend pas provoque cet état (état de choc est son synonyme le mieux adapté).

    Cette raison est donc essentiellement dûe à la nouveauté, au choc imprévisible : mort accidentelle du conjoint ou du père (mère), annonce d’une séparation innattendue ou d’un divorce à la suite d’une forte dispute ou remise en cause... ou au contraire suite à un mariage, à une naissance, à une compétition, à un poste acquis. L’individu doit savoir assimiler, accepter et réagir tranquillement s’il ne veut pas se retrouver avec des désordres ou inconvénients psychiques voire neurologiques. D’où en certains cas, conduite ’forcée’ psychologique : après une incarcération, une prise d’otages, un acte en évènements ’extraordinaires’ ou climatiques.

    Qui dit choc ou stress dit également adaptation au fait puis réactivité à la souffrance (négatif) ou à l’ admiration (positif) ce qui découle parfois sur les défenses mises en alerte : joie ou tristesse, bonheur ou malheur. La respiration est mise ’à contribution’ en s’accélérant, une diminution de l’alimentation ou au contraire une boulimie de manque (affectif, professionnel ou autre), la sueur sur le front, diverses apparitions de ’boutons, de furoncles sur certaines parties ducorps et notamment sur la figure, les tempes bourdonnantes, la faculté de voir tout en noir... sans oublier bien évidemment l’accélération du rythme cardiaque !

    N’omettons pas que le bruit répétitif et intense à proximité peut développer une forme de stress ambiant, la répétition de gestes semblent en prendre le même chemin ; les individus ne réagissent cependant pas de la même façon aux différentes agressions : maladies physiologiques (liées aux membres, au squelette, aux éléments du corps), physiques (coeur, courbatures, surmenage), psychologiques (harcèlement, sentiment de persécution, névrose, dépression). Le surdosage de café en journée, d’alcool en milieu d journée, de tabac tout au long du jour, de drogue oumédicaments en soirée et voilà le bon cocktail explosif de courte ou de longue durée, suivant son taux de résistance.

    Plusieurs méthodologies peuvent se mettre en place mais seulement si le ’patient’ en demande l’établissement puis se met en demeure de l’effectuer consciencieusement, car personne ne peut le faire pour lui (elle). Si ce syndrôme est lié à une souffrance (mort d’un conjoint ou d’un parent, peur terrible ou culpabilité dans un accident, sentiment d’injustice pendant l’enfance...) un ’programme’ élaboré par un professionnel avec un grand suivi est indispensable ainsi qu’une ordonnance d’anti-dépresseurs. Si c’est un état de choc ’léger’, on fait appel à une cellule psychologique simple voire agrémentée d’homéopathie ou phytothérapie délivré par des médecins ’parallèles’ qui agrémentent leurs diagnostics par des séances de relaxation, magnétisme ou hypnose et acupuncture. Les gyms douces ou de disciplines tels que yoga, reiki ou de développement intérieur sont d’une belle aide si c’est pris dans les premiers temps de la formation de stress identifiée.

  • #2
    Le stress : pourquoi ne pas tenter de l’apprivoiser ?
    Qu’est ce que le développement intérieur ?
    Quand, comment ou pourquoi le pratiquer ?
    Qu’est ce que la relaxation ?
    Quelles sont les différences entre relaxation, méditation, concentration ?
    Pourquoi parler de recherche de sa propre respiration ?

    Tout autant de questions globales mais importantes pour ne pas faire trop d’excès d’un côté comme de l’autre ! Positif, de performances, négatif, de combats d’introspection : d’abord aller vers où votre intuition première vous porte ! Certains s’orienteront vers des professionnels (psychiatres, psychologues, paramédicaux tels qu’ostéopathes, relaxologues, sophrologues...), d’autres préfèreront les initiations de typologies asiatiques (disciplines physico-psychiques : yoga, reiki et autres cours en salle ou en individuel), d’autres encore se détendront par des séances de relaxation pure, au son d’une musique spécifique afin de créer un ’vide en soi’... seul(e) grâce à des livres ou supports de cours, quelques-un(e)s par téléphone ou en cabinet privé face à un conseiller ou coatch en bien-être... divulguant quantité de points forts ou de savoir-faire très facile à utiliser de chez soi.

    Pour les personnes stressées, parler devient presque une évidence, écouter pour se materner presque une obligation : l’équipe qui se forme alors reste des plus puissantes thérapies que le monde moderne ait pu mettre en place. Le temps manque pour dialoguer, pour s’affirmer, pour se défrustrer, se déculpabiliser : les gens entre eux ne prennent plus d’espace pour se rencontrer vraiment, pour se connaître, voire se reconnaître. Le marché s’ouvre entre voyance (passé, présent, futur) et bien-être (développement personnel, recherche du mal d’être, apprentissage de méthodes douces, faciles d’accès et d’un grand bienfait intérieur.

    Le développement intérieur s’appuie sur la base du moi profond et de l’espace ambiant : certaines questions seront posées qui seront d’ordre intimiste afin de bien cibler la zone à faire progresser. Prendre en compte une consultation, c’est dans un premier temps é-cou-ter puis donner quelques directives très simples. La recherche de sa propre respiration devient essentielle pour aller vers une bonne relaxation. Si le sujet est là pour entrer en communication avec lui-même pour le faire s’accepter tel qu’il est et non pas ce qu’il montre aux autres, il devra savoir aussi pratiquer le ’vide’ ainsi que le ’plein’ pour la concentration via une méditation bien ciblée. Savoir si vous voulez vous re-connaître pour mieux vous ressentir et appréhender certaines réactions est un beau chemin.

    Vouloir se lancer à corps perdu dans la recentralisation de soi devient une belle alternative.

    Mais quelle que soit votre volonté de découvrir cet aspect caché de vous-même, il vous faudra l’entamer puis persévérer : ce ne sera que grâce à ce sentiment de ténacité que vous pourrez alors soit vous ’sauver’ de la déprime ou de la petite dépressivité soit de vous aimer. Pour aimer autrui, il faut savoir s’aimer en premier : attention à ce que l’Ego reste normal, sans l’amplifier sinon cela ne servira à rien, ce serait dans la négativité et dommagerait la perspective d’un mieux être intérieur. C’est notamment pour cela que les coatchs en cette discipline sont présents : garder un bon équilibre sans lequel vous vous enliseriez sans vraiment vous en rendre compte.

    Faire une enquête par plusieurs questions ciblées donne l’avantage de progresser rapidement : environnement climatique, familial immédiat, espace personnel, choix et ambiance de travail, activités voulues ou imposées, problèmes de poste, d’avancement, financier ou sentimental...
    mal être intérieur sont autant de signaux d’alarme qui amèneront la recherche au point culminant de la réussite finale.

    Le stress devient alors plus facile non seulement à identifier, à reconnaître, à canaliser puis surtout à enlever définitivement : de longues séances d’exercices spécifiques vous y aideront convenablement. Il s’insinue, vous le combattrez dès son approche, tel un félin devant sa chasse avec patience, connaissance du terrain et ardeur. L’harmonie progressivement deviendra votre quotidien et vos véritables qualités seront mises à jour. Pour les timides, les curieux, les inquiets, rien de mieux que de se découvrir ! Une nouvelle vie aux multiples perspectives peut ainsi commencer !

    - Agoravox

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