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Alger 50ème ville la plus chère au monde

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  • Alger 50ème ville la plus chère au monde

    Alger a été classée en 2006, cinquantième ville la plus chère au monde. La nouvelle a de quoi étonner surtout lorsqu’on apprend qu’au niveau du monde arabe, elle se place juste derrière Dubaï et Abou Dhabi.


    Enquête réalisée par Nawal Imès



    L’enquête réalisée à partir d’un échantillon de 144 villes, sur la base d’une batterie de 200 critères tels le logement, la nourriture, l’habillement, les appareils électroménagers, le transport et les loisirs, a surpris plus d’un. Le cabinet Mercer Human Resource Consulting qui évalue les villes se base sur une série de critères qui sont le coût de l’immobilier, du transport, des produits alimentaires, des produits domestiques (électroménager, meubles, etc.) et les loisirs.

    Dans le monde arabe, Alger est la troisième ville la plus chère derrière les villes de Dubaï (34e) et d’Abu-Dhabi (45e). En Afrique, la capitale algérienne est à la cinquième place, distancée par Douala (Cameroun) qui occupe la 24e place, Dakar (Sénégal) 33e, Abidjan (Côte d’Ivoire) 35e et Lagos (Nigeria) 37e. le cabinet londonien estime que les prix de l’immobilier et du transport sont exorbitants.

    La cherté des produits de large consommation et des loisirs est également mise en relief par l’étude qui sert en général de référence pour les multinationales. Ces dernières évaluent, en effet, le coût de revient de leurs expatriés. Et selon Mercer, Alger devient de plus en plus chère pour les expatriés, en particulier dans l’immobilier. Si ces derniers, payés selon les standards de leurs pays d’origine en arrivent à se plaindre, les nationaux, eux n’ont visiblement plus qu’une seule alternative : s’expatrier dans une ville plus «clémente »…


    Immobilier : la folle envolée



    En quelques années, le marché de l’immobilier a flambé. Il est devenu quasi impossible de se loger à Alger sans se ruiner. Qu’il s’agisse de louer ou d’acquérir un logement en toute possession, la facture est toujours faramineuse. La spéculation a fini par transformer la quête d’un appartement en un véritable parcours du combattant. Avec un budget de 15 000 DA par mois, il est désormais presque impossible de louer un appartement décent à Alger. A ce prix, des propriétaires sans scrupule proposent des taudis mal éclairés et à la propreté plus que douteuse dans les quartiers les moins cotés de la capitale. De quoi encourager les heureux propriétaires d’appartements dits de «standing» à faire monter les enchères.

    Certains n’exigent ni plus ni moins que le paiement du loyer en euro et avertissent que les frais du notaire sont à la charge du locataire. Lorsqu’il s’agit d’acheter, les choses se compliquent davantage. Il n’existe plus d’appartement en-dessous de 250 millions de centimes. A ce prix là, c’est un pas de porte qui est proposé avec tous les risques que comporte cette transaction à la limite de la légalité. Pour prétendre à mieux, il faut au moins doubler la mise. Pour 500 millions de centimes et après d’assidues recherches, il est possible de trouver un appartement ne dépassant pas les 70 mètres carrés de superficie. C’est dire que pour se loger à Alger, il faut payer le prix fort pour un minimum de confort…


    Electroménager et meubles : de plus en plus inaccessibles !



    Si l’acquisition d’un appartement est un processus des plus laborieux, son équipement l’est tout autant. L’électroménager et l’ameublement font partie des critères retenus par le cabinet Mercer pour classer Alger parmi les villes les plus chères. Il suffit de faire un tour dans quelques magasins de la capitale pour s’en convaincre. A moins de se contenter d’un appareil électroménager contrefait venu de Chine, il faut débourser au minimum 30 000 DA pour un réfrigérateur. Ceux qui veulent des appareils de meilleure qualité doivent au moins multiplier par deux leur budget. Même scénario pour ceux qui désirent acheter des meubles. Divans, fauteuils et autres canapés de bas de gamme sont inaccessibles.

    Que dire alors des produits estampillés « design » qui sont hors de prix. Ce n’est d’ailleurs pas par hasard que les magasins qui vendent à crédit pullulent et rivalisent d’ingéniosité pour appâter des clients peu regardants sur les prix affichés. Même s’ils savent que les appareils vendus par facilité coûtent 50% plus chers, les consommateurs n’ont d’autre choix que de se rabattre dessus faute de pouvoir s’offrir mieux…


    Hôtellerie : un «luxe» !


    Pour les personnes de passage à Alger pour un séjour d’affaires ou de loisirs, les hôtels fréquentables sont quasiment inaccessibles. Les quelques hôtels de standing qui se trouvent au niveau de la capitale proposent des chambres à plus de 10 000 DA la nuitée. Il faut compter entre 3000 et 4000 dinars pour avoir une chambre plutôt potable au centre ville dans des quartiers où le banditisme flirte avec la «petite» délinquance.

    Ces hôtels, généralement hérités du colonialisme sont fortement déconseillés par le guide du routard qui estime qu’ils «ont mal vieilli». En réalité, le rapport qualité-prix y laisse vraiment à désirer. Si les étrangers profitent de la faiblesse de notre monnaie et peuvent se payer des séjours dans les établissements hôteliers, pour les nationaux de passage dans la capitale, les choses se compliquent. Beaucoup d’entre eux sont obligés de squatter chez de la famille ou se rabattre sur des établissements qui n’ont d’hôtels que l’appellation.


    Les loisirs : un choix limité et coûteux !



    Epinglé par le cabinet Mercer Human Resource Consulting pour les prix prohibitifs exercés en matière de logement et d’hôtellerie, Alger l’est également pour les prix qu’elle affiche en matière de loisirs. Déjà que la capitale n’offre pas un panel très varié d’activités, les rares distractions qu’elle concède ne sont pas à la portée de tous. Un ticket de cinéma à 100 DA, ça peut paraître dérisoire mais pour la majorité des Algériens, cela reste un luxe sans parler des discothèques où l’entrée n’est possible qu’après s’être acquitté de la somme de 1000 DA au minimum. Les amateurs de lecture ne sont également pas gâtés.

    Les livres sont hors de prix dans les quelques librairies qui résistent tant bien que mal à l’invasion des fast-food. Les petits budgets doivent se contenter du parc zoologique de Ben Aknoun où l’entrée est à 50 DA mais là encore, il faut compter avec d’autres frais comme ceux des tours de manège ou des friandises qui se vendent généralement dans ce genre d’endroits. Déjà qu’il n’est pas évident de s’éclater à Alger mais en plus pour y avoir un minimum de distraction, il faut dépenser un maximum…


    Transports : prix maxi, service mini !


    Le transport ! voilà un sujet qui déchaîne les passions. Tout le monde a une histoire à raconter sur un taxi qui lui a fait payer une course quatre à cinq fois plus cher que ce qui est prévu par la réglementation. Se déplacer à Alger est un véritable casse-tête qui revient souvent trop cher. En l’absence d’un réseau de transport urbain bien étoffé, les usagers sont obligés de se rabattre sur des clandestins qui sans scrupules, n’hésitent pas à imposer leurs tarifs. Le ministère des Transports promet depuis plusieurs années un nouveau plan qui n’a jamais vu le jour.

    Il était prévu d’instaurer un système similaire à celui de l’ARTP et qui permet de choisir son mode de transport avec un seul ticket, sans compter les formules spéciales qui ouvrent droit à des réductions conséquentes. En attendant que cette formule devienne réalité, en attendant le métro dont le chantier avait démarré dans les années 1980, les usagers continuent de payer le prix fort pour un service des plus médiocres…

    Alimentation : de plus en plus chère !



    Le coût de la vie est souvent calculé en fonction des prix des produits alimentaires. Un touriste, qui arrive dans une ville prend souvent «la température» en s’informant sur les prix des produits de base qui donnent en général une idée sur la cherté de la vie. A Alger, s’il est possible de prendre un café à 10 DA, il faut cependant multiplier la somme par dix pour un sandwich à la qualité plus que douteuse. Avec les augmentations qui n’ont épargné aucun produit, les choses ne cessent d’empirer. Les dernières statistiques en date sont à ce titre effarantes.

    Le rythme d'inflation moyen en Algérie a atteint 3,5% au cours des onze premiers mois de l'année en cours. L’inflation a touché essentiellement les produits alimentaires, notamment les fruits frais (+19,5%), la pomme de terre (+53,1%) et les légumes (+3,4%). D'autres produits du groupe alimentation ont connu, durant cette période, des hausses remarquables. C'est le cas du poisson frais (+14,3%), des huiles et graisses (+9,5%), café, thé et infusions (+7,2%), viande de poulet (2%), les boissons non alcoolisées (+3,6%), lait, fromage et dérives (+4,30%) et enfin le pain et céréales avec 5,90%. Avec cette tendance qui ne semble pas fléchir, Alger a toute les chances de figurer en bonne position dans le classement des villes les plus chères au monde.

    N. I.
    Le Soir d'Algérie le 30 Déc 2007.
    Dernière modification par l'imprevisible, 30 décembre 2007, 08h55.
    “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

  • #2
    Correction de titre

    Tu ferais bien de corriger ton titre qui laisse pantois lorsque l'on regarde cela dans l'index

    Cela même en cinquantième position cela doit être faux

    Salut

    Henri Thoa
    Rien n'est pire que de passer dans la vie et de rester inaperçu

    Henri Thoa

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    • #3
      henri thoa

      Ce n'est pas Mon titre mais celui de l'article du soir d'Algérie.

      La source de l'article


      Si l'information est fausse il convient de revoir le classement et de laisser un message au journaliste sur le site du quotidien.

      Je ne m'approprie pas l'article, je respecte ce qu'on appel "la propriété intellectuelle".

      NB: Je change le titre en attendant de vérifier le classement.
      Dernière modification par l'imprevisible, 30 décembre 2007, 11h39.
      “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

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      • #4
        ...c'est surtout l'immobilier ce casse-tete "chinois" qui prévale dans ce "classement" ..les prix affichés sont égaux à ceux de Paris!...sans prendre en compte "les critères" les plus élémentaires soit les commodités (transports, centres de soins,écoles et autres services de proximités! )..les prix varies dans un meme quartier d'un prix au décuple!)..et dire qu'il y a 700.000 logements vides!...sans écarter ces programmes de logements obsolètes...en mélangeant tout ça on obtient un farcis de l'équipe: "Abdelaziz et les 40 farceurs" ...
        La pire chose pour l'Homme, serait qu'il meurt idiot.
        De grâce épargnez-moi la prolixe, la syntaxe et la chiffrerie à tout va
        .
        Merci.
        " TOUCHE PAS A MA NAPPE ALBIENNE "

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        • #5
          Ces bouriques qui nous gouvernent , qu'ils cessent de vendre des terrains à des particuliers dans la région de l'Algeroi , la seule parade à cette crise de logement et de créer des villes tout entière , pourtant l'argent ne manque pas d'apres ce qu'ils disent.
          ... « La douleur m’a brisée, la fraternité m’a relevée, de ma blessure a jailli un fleuve de liberté » Mémorial de Caen .

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          • #6
            si on parle que de l'imoubilier,

            lorsque le prix de loyer d’un studio dépassent le revenu mensuel d’un salarié, un studio a Alger centre coûte environs 20.000da/ mois or qu’il touche bien moins !!! et le hic c’est de payer une année d’avance+ caution + frais du notaire
            Alors travailler pour payer le loyer !!!et de koi vivre !!!!

            Elle est où la solution pour ça !!!!?
            une chose n'a pas de valeur parce qu'elle est chère, mais elle est chère parce qu'elle a une valeur!

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            • #7
              du monde????on parle de la meme alger?ou est passer NewYork,Paris,Los Angeles,Tokyo,Berlin,Londre!!!!
              Se tromper est humain, persister dans son erreur est diabolique. (Saint Augustin)

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              • #8
                Le classement .

                Douala, la ville la plus chère d’Afrique


                Libreville (Gabon) Douala, la capitale économique du Cameroun, est la ville africaine où le coût de la vie est le plus élevé pour les expatriés, selon un classement mondial établi par le cabinet canadien Mercer human Ressource Consulting dont une mouture est parvenue jeudi APA à Libreville.

                Douala vient cependant à la 24ème place mondiale, la première étant occupée par Moscou et la seconde par Londres. En plus de la capitale économique camerounaise, quatre autres villes africaines figurent au nombre des 50 villes les plus chères du monde. Il s’agit de Dakar (33ème), Abidjan (35ème), Lagos (37ème) et Alger (50ème).

                En 2003, le période britannique The Economist avait établi que Libreville était la 4ème ville la plus chère du monde et la première au niveau du continent.

                Cette année, la capitale gabonaise n’est curieusement pas prise en compte dans l’étude publiée par le cabinet canadien qui s’est basée essentiellement sur les biens et services importés, trois critères qui justifient l’absence de la première ville du Gabon du palmarès mondial.

                Toutefois, une précédente étude publiée en décembre 2006 par ECA classait Libreville au 9ème rang mondial et au 4ème rang africain des villes les plus chères.

                Le classement établi par Mercer a pour but de fournir les données nécessaires aux compagnies internationales et aux représentations diplomatiques sur le coût de la vie dans 143 pays de la planète, à partir de 200 produits et services, notamment le logement, les transports, la nourriture, les vêtements et les sorties.

                L’étude sert de référence aux multinationales et aux gouvernements pour déterminer les compensations financières devant être attribuées aux travailleurs expatriés et aux délégations en mission. Elle aide également les grandes entreprises à établir les barèmes des primes et des salaires en fonction de la cherté de la vie pour les expatriés en poste pour une longue durée.

                Selon l’étude 2007 du cabinet canadien Mercer, les produits importés uniquement sont vendus plus chers dans la capitale économique du Cameroun que partout ailleurs en Afrique.

                Voici le classement des 50 villes les plus chères du monde:


                1-Moscou(Russie),
                2-Londres(Grande-Bretagne),
                3-Séoul (Corée du sud),
                4-Tokyo (Japon),
                5-Copenhague (Suède),
                6-Genève (Suisse),
                7-Osaka (Japon), Zurich (Allemagne),
                8-Oslo (Norvège),
                9-St Petersbourg (Russie),
                10-Paris (France),
                11-Singapour (Chine),
                12-New York (Etats-Unis),
                13-Dublin (Irlande)
                13-Tel Aviv (Israël),
                14-Rome (Italie),
                15-Vienne (Autriche),
                16-Pékin (Chine),
                17-Sydney (Australie),
                18-Helsinki (Finlande),
                19-Douala (Cameroun),
                20-Amsterdam (Pays-Bas),
                21-Madrid (Espagne),
                22-Shangai (Chine), Kiev (Ukraine), Athènes (Grèce),
                30-Almatv,
                31-Barcelone (Espagne),
                32-Bratislava (Slovaquie),
                33-Dakar (Sénégal),
                34 Dubaï (EAU),
                35-Abidjan (Cote d’Ivoire),
                36-Glasgow (Ecosse),
                37-Lagos (Nigeria),
                38-Istanbul (Turquie),
                39-Munich (Allemagne),
                40-Frankfort (Allemagne),
                41-Birmingham (Grande-Bretagne),
                42-Los Angeles (Etats-Unis),
                43-Luxembourg ( Luxembourg),
                44-Bruxelles (Belgique),
                45-Abou Dabi (Abou Dabi),
                46-Berlin (Allemagne),
                47-Dusseldorf (Allemagne),
                48-Tiapei (Taiwan),
                49ème Prague (République Tchèque),
                50-Alger (Algérie).



                Agence de Presse Africaine.


                PS: Désolée pour la 1er erreur.
                Dernière modification par l'imprevisible, 30 décembre 2007, 11h33.
                “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

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                • #9
                  L'article que t'as posté est OK, l'imprevisible. Au Soir, ils sont plutôt "sérieux".
                  Le journaliste reprend l'étude du groupe Mercer et Alger est bien la 50e ville la plus chère du monde en 2007 (51e en 2006) : http://www.mercer.com/costofliving

                  Alger est ainsi la 5e ville la plus chère en Afrique. Douala (Cameroun) est la championne d'Afrique de la cherté de la vie.

                  Le classement d'Alger reflète la situation de la capitale. Les autorités n'ont pas été en mesure de "repenser" la ville et ses services pour faire face à la hausse de la population et l'afflux de nouveaux résidants. Sans oublier la quasi anarchie qui y règne dans le secteur de l'immobilier.

                  Commentaire


                  • #10
                    de passage

                    5-Copenhague (Suède),
                    ... Une autre erreur !
                    « La voix de la mer parle à l'âme. Le contact de la mer est sensuel et enlace le corps dans une douce et secrète étreinte. »

                    Commentaire


                    • #11
                      Alger 50ème ville la plus chère au monde


                      Oui. Mais il faut juste replacer cette enquete dans son contexte. C'est à dire la chereté de la vie pour les expartriés.
                      « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

                      Commentaire


                      • #12
                        50 eme place et what else?

                        ce classement peut changer à tt moment, j'aurais préféré le classement macdonalds. par contre dans le classement de l'imprévisible singapoor n'est pas en chine.

                        Commentaire


                        • #13
                          Envoyé par bledard_for_ever
                          replacer cette enquete dans son contexte
                          Le contexte? Penses-tu que les locaux ont un pouvoir d'achat plus élevé que les expatriés des multinationales?
                          Je pense que cette étude est valable pour tout le monde, locaux et expatriés. Elle mesure le coût de la vie dans chaque grande ville étudiée.

                          Si rien n'est fait pour "repenser" Alger, la capitale deviendra de plus en plus inaccessible aux revenus modestes. C'est déjà le cas dans plusieurs grandes villes de la planète.

                          Commentaire


                          • #14
                            Petite mise au point

                            Pour information .

                            L'imprévisible n'est pas en droit de toucher au contenu des articles qu'elle met en ligne, du coup je n'ai aucune responsabilité quant aux erreurs qui peuvent figurées dans les écrits.

                            Donc ce n'est pas le Classement de l'imprévisible mais plutôt celui de du groupe Mercer.

                            Les erreurs qui sont dans l'article de l'agence de presse africaine sont du ressors du journaliste de l'agence en Question .


                            Autre choses?

                            @Blédard.

                            Tu t'imagine bien que si le référant c'est l'expatrié, si on venait à démarrer du porte monnaie du résident ça ne serait plus la 50ème mais elle serait la ville la plus inaccessible au monde.


                            Open your mind.
                            “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

                            Commentaire


                            • #15
                              Le contexte? Penses-tu que les locaux ont un pouvoir d'achat plus élevé que les expatriés des multinationales?
                              Nassim,

                              il suffit de lire l'intro du journaliste.

                              La cherté des produits de large consommation et des loisirs est également mise en relief par l’étude qui sert en général de référence pour les multinationales

                              ou encore

                              Certains n’exigent ni plus ni moins que le paiement du loyer en euro

                              ou encore

                              Pour les personnes de passage à Alger pour un séjour d’affaires ou de loisirs, les hôtels fréquentables sont quasiment inaccessibles

                              Cela est du principalement à la modesteté de l'offre tout simplement.

                              Cette étude est valable pour tout le monde, locaux et expatriés. Elle mesure le coût de la vie dans chaque grande ville étudiée.
                              Du tout. pas pour les locaux. Car je ne pense pas que Dakar (33e) soit plus chère qu'Alger pour les locaux.
                              « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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