Pas facile de refuser l'offre d'Etisalat, au moment ou les Emiratis et les Egyptiens investissent en masse en Algérie
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La pression monte sur le gouvernement pour lancer la privatisation de l’opérateur historique
Dans la perspective de la privatisation d’Algérie Télécom, qui pourrait intervenir en 2008, les grands opérateurs internationaux se positionnent. Après le PDG de France Télécom, début décembre, c’est autour du géant émirien Etisalat, de réaffirmer son intérêt pour une prise de participation dans le capital de l’opérateur historique algérien.
Dans une déclaration, dimanche 30 décembre, au journal Al-Khaleej, le directeur général des investissements internationaux au sein d’Etisalat a indiqué que l’opérateur envisageait de se porter acquéreur de 51% du capital d’Algérie Télécom. On ignore d’où provient le chiffre de 51% avancé par Etisalat : selon nos sources, aucune décision n’a été prise concernant la part du capital qui serait cédée au futur acquéreur ni d’ailleurs la date de lancement de l’opération de privatisation. En janvier 2007, le président d’Etisalat avait annoncé l’intention de son groupe de débourser au moins trois milliards de dollars pour s’emparer d’Algérie Télécom.
Selon les observateurs, Etisalat serait le mieux placé pour remporter une éventuelle privatisation d’Algérie Télécom en 2008. Le groupe bénéficie en effet du soutien de l’État des Émirats arabes unis qui entretient de bonnes relations avec le président Bouteflika. « Bouteflika ne peut rien refusé aux Émiriens », souligne une source diplomatique arabe. Etisalat est aussi l’un des rares groupes de télécommunication arabe à ne pas être présent en Algérie. Enfin, pour des raisons de sécurité nationale, le gouvernement algérien préférerait voir Algérie Télécom, qui gère une grande partie des communications des services de sécurité et de l’armée, entre les mains d’un opérateur arabe qu’entre celles d’un groupe occidental.
source Tout sur l'Algerie
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La pression monte sur le gouvernement pour lancer la privatisation de l’opérateur historique
Dans la perspective de la privatisation d’Algérie Télécom, qui pourrait intervenir en 2008, les grands opérateurs internationaux se positionnent. Après le PDG de France Télécom, début décembre, c’est autour du géant émirien Etisalat, de réaffirmer son intérêt pour une prise de participation dans le capital de l’opérateur historique algérien.
Dans une déclaration, dimanche 30 décembre, au journal Al-Khaleej, le directeur général des investissements internationaux au sein d’Etisalat a indiqué que l’opérateur envisageait de se porter acquéreur de 51% du capital d’Algérie Télécom. On ignore d’où provient le chiffre de 51% avancé par Etisalat : selon nos sources, aucune décision n’a été prise concernant la part du capital qui serait cédée au futur acquéreur ni d’ailleurs la date de lancement de l’opération de privatisation. En janvier 2007, le président d’Etisalat avait annoncé l’intention de son groupe de débourser au moins trois milliards de dollars pour s’emparer d’Algérie Télécom.
Selon les observateurs, Etisalat serait le mieux placé pour remporter une éventuelle privatisation d’Algérie Télécom en 2008. Le groupe bénéficie en effet du soutien de l’État des Émirats arabes unis qui entretient de bonnes relations avec le président Bouteflika. « Bouteflika ne peut rien refusé aux Émiriens », souligne une source diplomatique arabe. Etisalat est aussi l’un des rares groupes de télécommunication arabe à ne pas être présent en Algérie. Enfin, pour des raisons de sécurité nationale, le gouvernement algérien préférerait voir Algérie Télécom, qui gère une grande partie des communications des services de sécurité et de l’armée, entre les mains d’un opérateur arabe qu’entre celles d’un groupe occidental.
source Tout sur l'Algerie
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