Mon âme traverse tous les esprits vagabonds de cet aire
Ne laissant pénétré que la douleur du chant des oiseaux migrateur
Leurs ailes bafouille les éclats de brise d’air
Tel que le silence de la vallée qui honte nos demeure
Qui Fait passé en elle la violence du vent perdu
Ressentir bafouer la misère des grands loups affamés
Un paysage enchanteresse qui savoure l’éclat de la cendre brûlé
Tel qu’un enfant privé de la plus belle douceur de la vie
louanges du savoir ou est tu passé
Je m’éclipse devant toi pour trouver le bonheur des gens lésés
Partout et nul part sans trouver refuge à tes ressources
Savoir de la vie je t’en supplie monte et ramène un peu des sillons du paradis
Vogue dans les ténèbre et adouci la chaleur des cœur enflammés
Leurs chaires s’étale sur les murs de la vie...
Renaissance
Ne laissant pénétré que la douleur du chant des oiseaux migrateur
Leurs ailes bafouille les éclats de brise d’air
Tel que le silence de la vallée qui honte nos demeure
Qui Fait passé en elle la violence du vent perdu
Ressentir bafouer la misère des grands loups affamés
Un paysage enchanteresse qui savoure l’éclat de la cendre brûlé
Tel qu’un enfant privé de la plus belle douceur de la vie
louanges du savoir ou est tu passé
Je m’éclipse devant toi pour trouver le bonheur des gens lésés
Partout et nul part sans trouver refuge à tes ressources
Savoir de la vie je t’en supplie monte et ramène un peu des sillons du paradis
Vogue dans les ténèbre et adouci la chaleur des cœur enflammés
Leurs chaires s’étale sur les murs de la vie...
Renaissance
Commentaire