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Le continent souche de l'humanité , l'Afrique, est entrain de terminer tragiquement et en silence sa longue descente vers les abîmes. Son certificat de décès est sur le point d'être paraphé. Le "noir" Banania qui souriait à pleines dents blanches pour les mérites d'un chocolat esclavagiste et raciste se retrouve en fin de parcours. Edenté et ruiné par la malédiction de ses propres gouvernants actuels et par les ravages d'une colonisation qui en a fait un sous homme corvéable à souhait. Aujourd'hui le sida, les guerres civiles éthniques et religieuses ont pris le relais, terminant la sale besogne d'une façon méthodique. L'Afrique noire risque de disparaître d'ici peu des écrans de contrôle de la conscience humaine. Le sourire noir n'est plus photogénique donc plus rentable!..D'où la totale indifférence!!
Au même moment, d'autres sont entrain de sourire jaune devant la déferlante chinoise, un rouleau compresseur qui a fait de la mondialisation son cheval de bataille. Préoccupé uniquement par les rentrées en devises, les anciens adorateurs de Mao traitent leurs masses ouvrières en véritables esclaves. La Chine est en marche, oui sans l'ombre d'un doute et le nier serait pure héresie. Mais à quel prix? Rentabilité et discipline de fer sont les deux seules devises proposées en plus de celle qui glorifie le billet vert. Si tu refuses cette loi...fais toi un hara-kiri..mais à la sauce chinoise de préférence! Car nos fervents communistes hommes d'affaires sont toujours aussi pointilleux sur les questions qui touchent à leur nationalisme.
Tout ceci pour dire que nous avons deux mondes différents en présence. Celui de la pauvreté et du renoncement pour l'un et croissance et "prospérité" pour l'autre.Mais a bien y voir, ils sont semblables. Car l'homme, avec ou sans sourire, est réduit malgré lui à l'état de zombie.
Au même moment, d'autres sont entrain de sourire jaune devant la déferlante chinoise, un rouleau compresseur qui a fait de la mondialisation son cheval de bataille. Préoccupé uniquement par les rentrées en devises, les anciens adorateurs de Mao traitent leurs masses ouvrières en véritables esclaves. La Chine est en marche, oui sans l'ombre d'un doute et le nier serait pure héresie. Mais à quel prix? Rentabilité et discipline de fer sont les deux seules devises proposées en plus de celle qui glorifie le billet vert. Si tu refuses cette loi...fais toi un hara-kiri..mais à la sauce chinoise de préférence! Car nos fervents communistes hommes d'affaires sont toujours aussi pointilleux sur les questions qui touchent à leur nationalisme.
Tout ceci pour dire que nous avons deux mondes différents en présence. Celui de la pauvreté et du renoncement pour l'un et croissance et "prospérité" pour l'autre.Mais a bien y voir, ils sont semblables. Car l'homme, avec ou sans sourire, est réduit malgré lui à l'état de zombie.
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