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Bouderbala

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  • Bouderbala

    Cadeau pour Myra21 qui a du mal avec l'histoire :

    Bulletin officiel du gouvernement général de l'Algérie.

    Tribu des Zouatna

    Exécution du Sénatus-consulte du 22 avril 1863 délimitation et répartition du territoire de la tribu des Zouatna (subdivision et province d'Alger)

    N° 40 — RAPPORT A L'EMPEREUR.

    Paris, le 3 mars 1869

    Sire,

    La commission administrative d'Alger a terminé, dans la tribu des Zouatna, les opérations prescrites par les paragraphes 1 et 2 de l'article 2 du Sénatus-consulte du 22 avril 1863, et j'ai l'honneur de placer sous les yeux de votre Majesté le résultat de ces travaux.

    Les Zouatna descendent d'une colonie militaire de Kourourlis que le gouvernement Turc avait installée au XVII e siècle sur des terres achetées aux Khachnas et aux Béni Djâad, sur la rive gauche de Pisser, pour protéger la route d'Alger à Constantine, et qui, à ce titre, était affranchie d'impôts. Maintenue toujours au complet par des recrues, cette colonie contracta des alliances avec des familles du pays et forma bientôt deux fractions qui prirent le nom de Zouatna, d'une rivière voisine. Après 1830, les Zouatna que leur origine séparait des intérêts Kabyles, firent leur soumission à la France. Abd-el-Kader parut chez eux en 1838, et, après avoir vainement essayé de les rallier à sa cause, il ravagea le pays et massacra une partie de la population. Bien que reconstitués depuis 1842, à l'abri de notre protection, les Zouatna ne se sont pas encore relevés de la sanglante razzia de 1838.

    Le territoire, de 8 163 ha 69 a, renferme une population de 2 896 âmes. Le cheptel se compose de 39 chevaux, 154 mulets, 75 ânes, 889 boeufs, 2 267 moutons, 3 137 chèvres. Les Zouatna labourent avec 169 charrues, ont créé 171 jardins et possèdent 140 ruches à miel. La moyenne des impôts des dix dernières années est de 15 937 Fr. 75 c., dont 2 431 Fr. 27 centimes additionnels. Les deux .

    fractions des Zouatna sont séparées topographiquement par une ligne rocheuse escarpée, nommée Drâa- Zuna et qui sépare les eaux du bassin de la Metidja du bassin de !'Isser. Cette configuration du sol, non moins que les liens contractés par les Zouatna avec les Khachna et les Béni-Djâad, tribus rivales, a été un obstacle permanent à la fusion de cette population en un seul groupe.

    Dans cette situation, il a paru convenable de répartir la tribu en deux douars : celui du Nord, limitrophe des Khechna, prendrait le nom de Bou-Derbala ; celui qui avoisine les Béni-Djâad s'appellerait Mosbaha ; ils seraient composés de la manière suivante :


    SUPERFICIE REVENUS
    Douars Population ha a ca Fr C

    Mosbaha 1921 5109 19 ‘’ 1726 92

    Bou-Derbala 975 3054 50 ‘’ 704 35

    Total 2896 8163 69 ‘’ 2431 27



    La colonie de Kourourlis, créée par les Turcs, n'avait rien de commun, en ce qui concerne l'occupa*tion du sol, avec les tribus Maghzen formées au moyen de cavaliers Arabes. Les Kourourlis ont reçu leurs terres en pleine propriété ; le sol est donc détenu chez les Zouatna à titre de melk.

    Les revendications domaniales portent sur deux massifs boisés, l'un de 12 ha l'autre de 70 ha, situés tous les deux dans le douar de Bou-Derbala. Un grand nombre de particuliers ont formulé des contre-revendicactions, et la Djemâa a fait opposition à toutes les prétentions qui ne constituent en réalité que des droits d'usage communs au douar. Dans ces conditions, eu égard au peu d'étendue de ces massifs et à leur éloignement de toute forêt domaniale, il convient d'en faire abandon au douar, comme bois communaux, soumis au régime forestier. Un article du projet de décret de répartition stipule l'abandon des droits de l'Etat à la Djemâa qui pourra, en cas d'action judiciaire, s'appuyer sur cette cession.
    Sont classés, en outre, dans les biens communaux :

    1°- cinq parcelles de culture, provenant de donations et affectées à l'entretien des mosquées et à l'assistance publique : 34 ha 82 a
    2° - un emplacement de marché, dit Souk-er-Rendj, cédé à la Djemâa par le propriétaire : 0 ha 80 a 3°- 15 cimetières ou mosquées, occupant une superficie totale de 17 ha 82 a. ces terrains ont été également cédés à la Djemâa par leurs propriétaires.
    Le domaine public comprend une étendue de 451 ha 89 a 95 ca.

    Ces diverses propositions étant conformes aux décrets et instructions sur l'application du Sénatus-consulte, j'ai l'honneur de prier votre Majesté de daigner les sanctionner en signant les deux projets de décrets ci-annexés.
    Le sol étant détenu à titre de melk, les transactions immobilières restent libres sur ce territoire. Je suis, etc....



    Le Maréchal de France
    Ministre secrétaire d'état au département de la guerre,
    Signé : NIEL
    Approuvé :
    Signé : NAPOLEON.
    Dernière modification par zwina, 05 janvier 2008, 16h32.
    Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

  • #2
    N° 41. DECRET DE DELIMITATION DU 3 MARS 1869.



    NAPOLÉON, par la grâce de Dieu et la volonté nationale, Empereur des Français.



    A tous présents et à venir, Salut !

    * Vu le Sénatus-consulte du 22 avril 1863 et le règlement d'administration publique du 23 mai suivant, relatifs à la constitution de la propriété en Algérie, dans les territoires occupés par les Arabes;

    * Vu les instructions générales du 11 juin 1863 ;

    * Vu la loi du 15 juin 1851 sur la constitution de la propriété en Algérie ;

    * Vu le décret du 7 octobre 1866, qui désigne la tribu des Zouatna, annexe, subdivision et province d'Alger, pour être soumise aux opérations prescrites par les paragraphes 1 et 2 de l'article 2 du Sénatus-consulte du 22 avril 1863 ;

    * Vu les instructions du Gouverneur Général de l'Algérie, en date du 1er mars 1865, qui ont fixé la composition des commissions et sous- commissions chargées de l'exécution dudit Sénatus-consulte ;

    * Vu le rapport de la commission administrative, en date du 1er mai 1868, sur l'ensemble de l'opération de la délimitation ; Vu le procès-verbal de bornage de la tribu ;
    * Vu le plan périmétrique à l'appui ;
    * Vu l'arrêté constitutif de la Djemâa de la tribu ;
    * Vu le procès-verbal établi par le président de la commission administrative et constatant l'exécution de publications prescrites par l'article 1er du règlement d'administration publique du 23 mai 1863;
    * Vu l'état statistique de la tribu ;
    * Vu l’avis du conseil du gouvernement ;
    sur le rapport de notre ministre secrétaire d'état au département de la guerre et sur les propositions du gouverneur général de l'Algérie ;



    AVONS DECRETE ET DECRETONS CE QUI SUIT :



    Art. 1er. Le territoire de la tribu des Zouatna, annexe, subdivision et province d'Alger, comprenant une superficie de huit mille cent soixante trois hectares soixante-neuf ares (8 163 ha 69 a), est définitivement délimité conformément aux indications contenues dans les divers documents ci-dessus visés.

    Art. 2. Notre ministre secrétaire d'état au département de la guerre et le Gouverneur général de l'Algérie sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent décret. Fait à Paris, le 3 mars 1869.



    Signé : NAPOLÉON.
    Par l'Empereur :
    Le Maréchal de France,
    Ministre secrétaire d'état au département de la guerre,
    Signé : NIEL.
    Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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    • #3
      N° 42. DECRET DE REPARTITITON DU 3 MARS 1869.



      NAPOLÉON, par la grâce de Dieu et la volonté nationale, Empereur des Français,



      A tous présents et à venir, Salut !

      * Vu le Sénatus-consulte du 22 avril 1863 et le règlement d'administration publique du 23 mai suivant, relatifs à la constitution de la propriété en Algérie, dans les territoires occupés par les Arabes;

      * Vu les instructions générales du 11 juin 1863 :

      * Vu la loi du 16 juin 1851 sur la constitution de la propriété en Algérie ;

      * Vu le décret du 7 octobre 1866 qui désigne la tribu des ZOUATNA, annexe, subdivision et pro*vince d'Alger, pour être soumise aux opérations prescrites par les paragraphes 1 et 2 de l'article 2 du Sénatus-consulte du 22 avril 1863 ;

      * Vu les instructions du Gouverneur Général de l'Algérie, en date du ler mars 1865, qui ont fixé la composition des Commissions et Sous-commissions chargées de l'exécution dudit Sénatus-consulte ;

      * Vu le décret, en date de ce jour, qui fixe la délimitation du territoire de la tribu ;

      * Vu le rapport de la commission administrative, en date du ler juin 1868, sur la répartition de ce territoire en Douars et la reconnaissance des différents groupes de terrains ;

      Vu le procès-verbal de bornage des Douars ;

      * Vu les plans d'ensemble à l'appui ;

      * Vu l'arrêté constitutif des Djemâas des Douars ;

      * Vu les bulletins portant détermination des différents groupes de terres contenues dans la tribu ;

      * Vu l'avis du Conseil de Gouvernement ;

      Sur le rapport de notre Ministre Secrétaire d'Etat au département de la guerre et sur les propositions du Gouverneur Général de l'Algérie ;



      AVONS DECRETE ET DECRETONS CE QUI SUIT :



      ART. 1er. -Le territoire des ZOUATNA, annexe, subdivision et province d'Alger, territoire délimité par notre décret en date de ce jour, est réparti, conformément aux propositions contenues dans l'ensemble des documents susvisés, de la manière suivante, entre les deux douars ci-après:

      Douars
      Melk (privé)
      Communaux Domaine public Totaux
      Cimetières Bois Marchés, réserves diverses

      Mosbaha 4684 35 35 11 06 ‘’ ‘’ ‘’ ‘34 95 ‘’ 378 82 65 5109 19 ‘’

      Bouderbala 2892 66 70 6 76 ‘’ 82 ‘’ ‘’ ‘’ ‘’ ‘’73 07 30 3054 50 ‘


      Art. 2. Sont abandonnés au douar Bou-Derbala, pour être constitués en bois communaux soumis au régime forestier,les massifs boisés de Ighil Oussouel et de Dra bou Nedas, de 82 hectares de superficie.



      Art. 3. Notre ministre secrétaire d'état au département de la guerre et le gouverneur général de l'Algérie sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent décret.

      Fait à Paris, le 3 mars 1869.



      Signé : NAPOLÉON.
      Par l'Empereur :
      Le Maréchal de France,
      Ministre secrétaire d'état au département de la guerre,
      Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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      • #4
        Zwina .
        je te remercie pour ton sujet qui n,est pas faux
        mais il n,est aussi explicite.
        parceque c, est vrai qu il ya un douar qui se nomme
        beni zouatna, mais ils se trouve de l,autre cote de l,oued c,est pour ca
        que sur un autre sujet je t,ai dit que bouderbala parlait Kabyle et de
        l,autre cote de l,oued on parlait arabe.
        D,ailleurs les habitants de LAKHDARIA on les appelles jusqu a maintenant
        les BENI DJAAD ou DJAADA.
        LES Zouatna ne represente presque rien comme population a peine
        0,001 des habitants de la commune de lakhdaria.

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        • #5
          Il s'agit ici de Bouderbala pas de Lakhdaria qui s'appelait anciennement Palestro.
          Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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          • #6
            BOUDERBALA se trouve dans la commune de palestro
            qui je te le rappel bouderbala n,est pas un village
            c,est un douar ou il n,y a presque plus personne
            a part queque maison en terre et quelque vieux
            les jeunes sont tous en ville (LAKHDARIA BOUMERDES).

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            • #7
              SWINA
              je te signal que moi je n,utilise que ma memoire
              et je n,ai aucun livre a ma disposition et je ne fait pas
              de recherche sur INTERNET donc la memoire des fois peu
              lachee.

              P.S: je te trouve assez SYMPAT...
              Surtout la maniere dont tu jure
              il y a qu a alger qu on jure comme ça.
              Dernière modification par myra21, 05 janvier 2008, 17h12. Motif: rajouy

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              • #8
                Myra

                Ce n'est pourtant pas ce qu'affirmait Zidane El Mekhfi qui était le chef des patriotes de Bouderbala qui affirmait compter au moins 400 hommes avec lui.

                ps : merci, tu sembles l'être aussi
                Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                • #9
                  C,est vrai que c,est etendu de l,oued isser
                  jusque en haut dans lamontagne

                  CHEIKH ZIDANE allah yarhmou,recruter dans les villages
                  environnants (GUERROUMA ?MAGHCHEN c,est une region
                  montagneuse ou il y a plein de douar, donc 400 personnes
                  dans une regions qui comptes 60000 personnes.

                  Commentaire


                  • #10
                    Myra

                    Même l'Humanité parle de lui et de son combat contre l'intégrisme :

                    le 25 février 1995
                    Riposte au terrorisme

                    Correspondance particulière.

                    « EN 1991, à Beni-Mered (Blida), Abassi Madani (le chef du FIS) déclarait que, si lutte armée il y a, elle commencera à Lakhdaria. Aujourd’hui, je dirai que le terrorisme a commencé à Palestro, et c’est ici qu’il sera enterré », confiait récemment Cheikh el-Mekhfi au journal « le Soir d’Algérie ». Cet homme est un ancien moudjahid (combattant de la guerre d’indépendance). Il a décidé avec ses compagnons et des habitants du village de Bouderbala d’assurer la sécurité dans la montagne de Zbarbar (région de Palestro, à 50 kilomètres d’Alger).

                    El-Mekhfi, selon « le Soir d’Algérie », a commencé par prendre la parole dans la mosquée et les cafés du village pour inciter les gens « à se réveiller », dit-il. En août 1994, avec deux fusils de chasse et quelques bâtons, la population de Bouderbala a réussi à chasser un groupe du GIA venu investir le village. Suite à cet acte, les autorités se sont finalement décidées à fournir aux villageois dix fusils de chasse. Depuis lors, El-Mekhfi est devenu la cible du GIA et de l’AIS.

                    Alerté par un ancien maquisard de Khemis el-Khechna, ville distante de 30 kilomètres de Bouderbala, de la présence d’un groupe terroriste, El-Mekhfi et douze autres villageois se préparent. « Nous avons marché toute la nuit », raconte-t-il. « Au petit matin, nous étions en position d’embuscade et nous avons attendu. » Vers 16 heures, El-Mekhfi et ses hommes voient arriver deux Toyota remplies de terroristes. Le combat s’engage. Il dure deux heures. Trois terroristes sont tués ; les survivants s’enfuient en abandonnant les deux Toyota et une partie de leurs armes. Pour El-Mekhfi, cette opération a permis « le réveil de la population comprenant qu’avec un minimum de courage et d’organisation, on peut venir à bout des terroristes ».

                    Les exactions commises par le GIA dans cette région, notamment le viol suivi de l’assassinat d’une femme, de deux de ses fillettes et d’un ancien maquisard à El-Hachimia, à quelques kilomètres de Bouderbala, ont provoqué une réaction de la population : les habitants de cette région pauvre ne veulent plus se laisser faire.
                    Un peu partout, et pas seulement en Kabylie, de plus en plus de citoyens s’organisent pour résister aux groupes terroristes. Les travailleurs d’abord, comme dans la zone industrielle de Rouiba (banlieue est d’Alger), qui ont empêché à maintes reprises le sabotage et la destruction de l’outil de travail. Par le passé, ils avaient empêché le Syndicat islamique du travail de s’implanter.

                    La résistance à l’intégrisme épouse diverses formes. Tout a commencé le 22 mars 1993. La veille, la centrale syndicale UGTA et plusieurs autres organisations lançaient un appel à une marche de dénonciation du terrorisme. Plusieurs centaines de milliers d’Algériennes et d’Algériens répondaient à cet appel. Le 22 mars 1994, les associations de femmes organisaient une marche mobilisant près de 100.000 femmes dans Alger. A l’appel de l’UGTA, un arrêt de travail était suivi massivement dans toute l’Algérie en signe de protestation à la fois contre le terrorisme et les accords avec le FMI.

                    Un peu partout à travers le pays, à l’appel d’associations inconnues du public, se déroulaient des marches de dénonciation. Ainsi, lors des obsèques du dramaturge Alloula, en mars 1994 à Oran, une femme en pleurs lançait un appel aux Algériens à « rester debout ». Le lendemain à l’autre extrême est de l’Algérie, à Souk-Ahras, devant plus de 30.000 personnes, un orateur répondait à cette femme qui hurlait sa douleur devant les caméras de télévision, en déclarant qu’il y avait encore des hommes dans ce pays pour s’opposer à la terreur intégriste.

                    Et que dire de cet élan de solidarité de la population d’Alger, le jour de l’attentat à la voiture piégée ? Elle s’est spontanément présentée à l’hôpital Mustapha pour faire don de son sang et pour aider les pompiers, les services de sécurité à dégager les corps et à aider les blessés. Une population qui, le lendemain, a observé cinq minutes de silence à la mémoire des victimes sur les lieux de travail et dans les rues de la capitale.

                    Il n’y a pas que les journalistes, les femmes, les syndicalistes et les intellectuels, cibles privilégiées du terrorisme. C’est tout un peuple que les intégristes veulent prendre en otage. Mais l’Algérie dispose d’un énorme potentiel de résistance au terrorisme. Il ne demande qu’à s’exprimer massivement et de manière organisée, ce que ne permet pas la désunion actuelle des forces démocratiques. Toute la question est là.

                    HASSANE ZERROUKY
                    Tu vois qu'il existe des gens dans cette région qui ont combattu et combattront encore l'intégrisme
                    Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

                    Commentaire


                    • #11
                      Je ne parlais pas de l,integrisme
                      je disais qu ces regions sont profondements musulmans
                      et croyants,et c,est pour ça que je pense qu,ils sont plus
                      facile a convaincre pour voter pour un partie islamique
                      que pour un partie comme le RCD par exemple.

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                      • #12
                        Myra

                        Relis ce qui a déjà été ecrit, c'est toujours ça de pris.
                        Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

                        Commentaire


                        • #13
                          Zwina
                          excuse moi ,mais quan d tu fais un copier-coller
                          tu fais en sorte que ce soit la veritée vrai
                          1/ABDELKADER n,a jamais de razzia dans la region.
                          2/LA RAZZIA a été faite par le grand EL-MOKRANI
                          et ce n,etait pas contre les habitants mais contre
                          les français qui venaient de s,installer dans la region
                          parceque c,est une region qu il ne fallait surtout la laisser
                          sans controle
                          3/AHMED KARA ,c,etait un notable de GUERROUMA qui
                          a levée une troupe qui est allez rejoindre EMIR ABDELKADER
                          a MEDEA en 1838.qui est l,arriere grand pere du GRAND chirugien
                          mohamed seghir kara.

                          Commentaire


                          • #14
                            Myra

                            En 1838, El Mokrani était bien jeune pour faire quoi que ce soit et c'est bel et bien Abdelkader qui a fait une razzia dans cette région car justement il soupçonnait la population de s'être alliée aux français. Peut être pas faux d'ailleurs d'après ce qu'on lit dans la lettre du marechal Niel. Quand au Ahmed kara qui s'est illustré pendant la guerre d'Algérie, il est né en 1923 et aurait donc eu bien du mal à être au côté de l'emir AbdelKader en 1838.

                            Revois ton histoire, trop d'erreurs encore
                            Et tu aurais mieux lu le début, le Marechal Niel fait reference à cette razzia de 1838 et c'est bel et bien AbdelKader :

                            Après 1830, les Zouatna que leur origine séparait des intérêts Kabyles, firent leur soumission à la France. Abd-el-Kader parut chez eux en 1838, et, après avoir vainement essayé de les rallier à sa cause, il ravagea le pays et massacra une partie de la population. Bien que reconstitués depuis 1842, à l'abri de notre protection, les Zouatna ne se sont pas encore relevés de la sanglante razzia de 1838.
                            Si en plus tu ne lis pas correctement, tu risques de t'éloigner encore plus de tes ancêtres et de leur histoire réelle.
                            Dernière modification par zwina, 21 janvier 2008, 18h11.
                            Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

                            Commentaire


                            • #15
                              Myra

                              Et Mohamed seguir Kara n'est pas un grand chirurgien mais un ministre


                              nom : KARA

                              prénom : Mohamed Seghir

                              date et lieu de naissance : 16 avril 1949 à Lakhdaria

                              Formation et Diplômes :
                              Licence en sciences politiques, de l'information et des relations internationales

                              Expérience professionnelle :

                              1969-1970 : Stage au sein de la télévision, de la radiodiffusion et conseiller en communication au ministère de l'Information
                              1970-1972 : Membre fondateur, journaliste à la revue "Echabab" et porte-parole de la jeunesse au FLN.
                              1972-1974 : Service national à l'Académie interarmes de Cherchel.
                              1975-1979 : Président du bureau de l'APS de la wilaya de Bouira.
                              1975-1977 : Secrétaire de l'union de wilaya de l'UNJA de la wilaya de Bouira, chargé du département information et culture
                              1977-1979 : Secrétaire général de l'UNJA de la wilaya de Bouira
                              1979-1981 : Secrétaire général de l'UNJA chargé de la formation professionnelle et des affaires sociales
                              1981-1986 : Secrétaire général chargé de l'information et de la presse et directeur général desrevues: El-Wihda (hebdomadaire en arabe), le supplément bimensuel en français, El-Wihda culturel bimensuel, El-Wihda sportif mensuel, El-Riadh: mensuel spécialisé pour enfants, l'imprimerie : publication de livres, brochures dépliants, affiches...etc.)
                              1986-1989 : Secrétaire de la Mohafadha du FLN de la wilaya de Mila.
                              1989-1991 : Président du comité provisoire de la Mohafadha de la wilaya de Bouira.
                              1991-1995 : Directeur du palais de la culture de Kouba (Alger)
                              1995-1996 : Directeur général adjoint à la Bibliothèque nationale d'El-Hamma (Alger)
                              Et comme tu peux le constater, il n'est absolument pas chirugien ; c'est là que l'on voit l'importance de vérifier ses informations avant d'écrire quoi que ce soit....Il vaut mieux un copié collé qui reflète la vérité qu'un écrit fantaisiste qui s'avère totalement faux.
                              Dernière modification par zwina, 21 janvier 2008, 18h50.
                              Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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