NOUARA
La femme est l’éternelle perdante au jeu de l’amour et de la vie.
Mais l’ordre ancien est détruit, l’ordre nouveau se penche encore et dans une société qui n’est ni traditionnelle, ni occidentale, ni orientale.
La femme est au centre de tous les bouleversements. Elle aspire désormais à assumer ses responsabilités et ses droits et c’est un cri de révolte que lance NOUARA dans :
"TECHNAM"
Vous avez tous chanté ma beauté,
Chanté aussi ma bonne civilité
Nul, ne s’est souvenu de mes droits
Suis considérée comme bétail sans foi
Maintenant que s’ouvrent mes yeux
Je demande justice, c’est mon vœu
Je me dis que ma vie est errante,
Je devins comme une passante,
Vous ne pensez qu’à vous assouvir,
Quand il s’agit de vous servir.
Jusqu'à quand cela durera-t-il ?
Quand mon soleil se lèvera-t-il ?
Jusqu'à quand l’injustice sera-t-elle éloignée ?
Quand viendront les lendemains heureux ?
Quand donc parlera la vérité ?
Quand sortirai-je de ce trou hideux ?
"THAKEMMICHT"
Mais je détiens toujours son âme éternelle
En quelque lieu que tu sois, maintenant,
Jamais, je n’accepterais son extinction,
Si étrange que soit ta langue maternelle
Tu auras ta part en héritage
Tu laisseras une belle image
La femme est l’éternelle perdante au jeu de l’amour et de la vie.
Mais l’ordre ancien est détruit, l’ordre nouveau se penche encore et dans une société qui n’est ni traditionnelle, ni occidentale, ni orientale.
La femme est au centre de tous les bouleversements. Elle aspire désormais à assumer ses responsabilités et ses droits et c’est un cri de révolte que lance NOUARA dans :
"TECHNAM"
Vous avez tous chanté ma beauté,
Chanté aussi ma bonne civilité
Nul, ne s’est souvenu de mes droits
Suis considérée comme bétail sans foi
Maintenant que s’ouvrent mes yeux
Je demande justice, c’est mon vœu
Je me dis que ma vie est errante,
Je devins comme une passante,
Vous ne pensez qu’à vous assouvir,
Quand il s’agit de vous servir.
Jusqu'à quand cela durera-t-il ?
Quand mon soleil se lèvera-t-il ?
Jusqu'à quand l’injustice sera-t-elle éloignée ?
Quand viendront les lendemains heureux ?
Quand donc parlera la vérité ?
Quand sortirai-je de ce trou hideux ?
"THAKEMMICHT"
Mais je détiens toujours son âme éternelle
En quelque lieu que tu sois, maintenant,
Jamais, je n’accepterais son extinction,
Si étrange que soit ta langue maternelle
Tu auras ta part en héritage
Tu laisseras une belle image
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