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Le Makhzen perd patience vis-à-vis des jeunes militants amazighs de Boumalen n Dades. Et c’est le moins qu’on puisse dire. Croyant que leur mouvement de protestation quasiment continus pour la libération des détenus politiques amazighs, qui croupissent encore et toujours dans ses terribles prisons de Meknès et Errachidia, vont incessamment prendre fin, le régime on ne peut plus raciste et amazighophobe de Rabat a eu tout faux.
Car les jeunes militants ont décidé de ne jamais relâcher leur pression sur le Makhzen car armés d’une volonté de fer. Ainsi dans cette petite localité de Boumalen n Dades, dans cet immense Sud-Est quasiment condamné à une exclusion tous azimuts, les autorités arabo-makhzeniennes, aux méthodes coloniales et sanguinaires bien connues, sont intervenues avec une barbarie sans pareil pour casser, impitoyablement, le sale Chleuh, chez lui et même à l’intérieur de sa maison.
À en croire plusieurs témoignages, elles ont carrément violé les foyers des pauvres militants soupçonnés d’avoir pris part aux manifestations pacifiques du mouvement amazigh. Résultats : plusieurs blessés graves et autant d’arrestations dont la première estimation est de 25 victimes innocentes.
Après donc le ramassage la semaine dernière du journal Tawiza où son fameux et non moins caustique éditorialiste Mohamed Boudhan a eu le courage de suggérer que si le PDAM devait être dissous en raison de son ethnicisme amazigh, la première des institutions qu’il faut impérativement dissoudre, c’est la monarchie alaouite. Car tirant sa légitimité uniquement de son appartenance raciale saoudienne. Ce qui a valu à l’intéressé d’être emmené manu militari dans les locaux de la police terroriste du Makhzen en vue d’enquêter avec lui. A ce jour, on ne sait pas s’il a été mis aux arrêts.
Tout indique donc que le Makhzen impérialiste et fasciste est bien décidé à en découdre avec le peu d’Amazighs qui bougent. Mais il ne sait pas que, avec ses méthodes plus que brutales, il va réveiller les millions qui dorment. En tous les cas, les descendants de Yugurten et autre Massinissa ne doivent plus se contenter de revendications formelles, mais de revendications concrètes, à savoir leur liberté et leur indépendance sur leur terre depuis des temps immémoriaux.
Traités chez eux en parias et réprimés à tout bout de champs, les Amazighs, les vrais bien évidemment, se rendent de plus en plus compte qu’ils sont encore et toujours colonisés. S’ils veulent encore rester eux-mêmes, il faut impérativement qu’ils renouent avec la liberté. Ne dit-on pas qu’ils sont des hommes libres ?
Car les jeunes militants ont décidé de ne jamais relâcher leur pression sur le Makhzen car armés d’une volonté de fer. Ainsi dans cette petite localité de Boumalen n Dades, dans cet immense Sud-Est quasiment condamné à une exclusion tous azimuts, les autorités arabo-makhzeniennes, aux méthodes coloniales et sanguinaires bien connues, sont intervenues avec une barbarie sans pareil pour casser, impitoyablement, le sale Chleuh, chez lui et même à l’intérieur de sa maison.
À en croire plusieurs témoignages, elles ont carrément violé les foyers des pauvres militants soupçonnés d’avoir pris part aux manifestations pacifiques du mouvement amazigh. Résultats : plusieurs blessés graves et autant d’arrestations dont la première estimation est de 25 victimes innocentes.
Après donc le ramassage la semaine dernière du journal Tawiza où son fameux et non moins caustique éditorialiste Mohamed Boudhan a eu le courage de suggérer que si le PDAM devait être dissous en raison de son ethnicisme amazigh, la première des institutions qu’il faut impérativement dissoudre, c’est la monarchie alaouite. Car tirant sa légitimité uniquement de son appartenance raciale saoudienne. Ce qui a valu à l’intéressé d’être emmené manu militari dans les locaux de la police terroriste du Makhzen en vue d’enquêter avec lui. A ce jour, on ne sait pas s’il a été mis aux arrêts.
Tout indique donc que le Makhzen impérialiste et fasciste est bien décidé à en découdre avec le peu d’Amazighs qui bougent. Mais il ne sait pas que, avec ses méthodes plus que brutales, il va réveiller les millions qui dorment. En tous les cas, les descendants de Yugurten et autre Massinissa ne doivent plus se contenter de revendications formelles, mais de revendications concrètes, à savoir leur liberté et leur indépendance sur leur terre depuis des temps immémoriaux.
Traités chez eux en parias et réprimés à tout bout de champs, les Amazighs, les vrais bien évidemment, se rendent de plus en plus compte qu’ils sont encore et toujours colonisés. S’ils veulent encore rester eux-mêmes, il faut impérativement qu’ils renouent avec la liberté. Ne dit-on pas qu’ils sont des hommes libres ?
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