Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Quand Abdelaziz Bouteflika accueille le « Chacal » Carlos sur le Tarmac d’Alger

Réduire
Cette discussion est fermée.
X
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Quand Abdelaziz Bouteflika accueille le « Chacal » Carlos sur le Tarmac d’Alger

    Exclusif : Quand Abdelaziz Bouteflika accueille le « Chacal » Carlos sur le Tarmac d’Alger
    Ecrit par Khalid Ibrahim Khaled
    24-12-2007

    Bouteflika et Carlos

    Encore une fois, c’est une image exceptionnelle que nous proposons à nos lecteurs, avec un retour en arrière qui permet d’éclairer un peu plus le conflit du Sahara. Cette image, datée du 23 Décembre 1975, montre le Président algérien, Abdelaziz Bouteflika, accueillant le terroriste d’origine vénézuélienne Ilich Ramírez Sánchez, plus connu sous le nom de « Carlos ». Le terroriste vient d’atterrir à Alger avec quarante deux otages suite au kidnapping des ministres du Pétrole lors de la réunion de l’OPEP à Vienne. La complicité entre les deux hommes est évidente au vu de ces photographies. Selon le témoignage de Hans-Joachim Klein,ancien lieutenant de Carlos, qui a été grièvement blessé lors de la prise d’otage : « On nous a logé dans une villa d’état, une villa immense, et servis comme des rois…Le chef des services secrets algériens venait chaque jour, des fois avec le chef de la police d’Alger. Et là, j’ai commencé à réfléchir un petit peu, le chef de la police d’Alger savait que j’étais allemand, et il me dit : « Hitler, c’était un good man, hein ? ». Là je l’ai regardé et je me suis dit : « pauvre FLN… ». On a même mangé avec Bouteflika, à cette époque, il était ministre des affaires étrangères… ».

  • #2
    Trés interessant cet article et les photos sont eloquentes,je comprend mieux pourquoi les attentats contre les algeriens ne le genent pas outre mesure.
    Dernière modification par rodmaroc, 08 janvier 2008, 00h02.

    Commentaire


    • #3
      Exclusif : Qui est Carlos ??


      .../...

      Le matin du 26 décembre 1976, á la tête d’un commando, Ilich pris d’assaut le siège de l’OPEP á Vienne.Ils prirent en otages 62 personnes, entre les ministres des pays membres de cette organisation, le personnel administratif et les gardes de sécurité.

      L’opération avait pour objectifs d’attirer l attention de l’opinion internationale sur la cause palestinienne, dénoncer l’oppression israélienne et américaine ainsi que l’attitude complice des gouvernements d’Arabie Saoudite, des E.A.U, du Qatar et de L’Iran du Shah Reza Pahlevi.

      Apres un affrontement qui fit trois morts, le commando et ses otages s’envolèrent d’abord pour l’Algérie et finalement, après un périple par plusieurs pays du Maghreb, ils retournèrent en Algérie où, après avoir atteint ses objectifs, le commando mit fin a l’opération, libera les otages et disparu pour réintégrer les files de la Resistance palestinienne.

      Suite au succès et á la portée médiatique de l’opération de Vienne, les medias créèrent le mythe d’Ilich, en le surnommant « le Chacal » afin de le dénigrer. Ils lui imputèrent plusieurs actions armées en défense de la cause palestinienne, entre elles, le détournement d’un avion d’Air France vers Entebbe, en Ouganda, Opération qui fut déjouée par l’intervention d’un commando israélien. Ilich ne faisait, de fait, pas partie de cette opération.

      A partir de 1977, Ilich es ses collaborateurs internationaux participèrent activement et intensément a la guerre entre Orient et Occident, arabes et sionistes, opprimés et oppresseurs, au Moyen-Orient et en Europe, et avaient comme principaux ennemis, les services secrets israéliens et américains, ainsi que ceux de leurs alliés.

      Donc Ayoub avant de dénoncer ou de dénigrer des Hommes qui ont servi la cause la plus noble de la nation Arabe, commence par dénoncer les agissements et les coups bas des traitres qui étaient et qui restent toujours des alliés et exécutants de leur maitres les sionistes et les américains et dont est issu le blog-torchon dont tu fais référance.

      Commentaire


      • #4
        Exclusif : Qui est Carlos ??
        une vermine,un tango,une saleté de terroriste.

        Commentaire


        • #5
          Envoyé par rodmaroc
          une vermine,un tango,une saleté de terroriste.
          Mais pas pire que H2 et son rejeton, des esclaves des sionistes...

          Commentaire


          • #6
            Mais pas pire que H2 et son rejeton, des esclaves des sionistes...
            je ne sais pas quoi te repondre wallah,en fait je n'ai pas la force de repondre à tes elucubrations.tale3 niveau chuia yerham babak on est sur un forum serieux pas sur le forum de beur fm.

            Commentaire


            • #7
              Bonsoir

              Où sont les photos ?

              Commentaire


              • #8
                http://***************************/i...id=23&Itemid=1

                Commentaire


                • #9
                  Carlos est un dangereux terroriste

                  voici un tres bon article du journal l'humanité qui date de 1994
                  ----------------------------------------------------------------

                  ILLITCH RAMIREZ SANCHEZ, alias Carlos, quarante-quatre ans, incarne depuis vingt ans une véritable légende vivante du terrorisme international.
                  International, Carlos l’est d’abord par son histoire : de son enfance aisée au Venezuela à sa semi-retraite syrienne, « l’Insaisissable », comme on l’a souvent surnommé, a sillonné le monde d’Amérique latine en Europe de l’Est, du Proche-Orient en Europe de l’Ouest.
                  Derrière le visage rond et les lunettes noires que montrent ses rares photos, Carlos est un homme aux multiples visages : terroriste, l’auteur de la tuerie de la rue Toullier et de l’attentat de la rue Marbeuf, surnommé « le Chacal », s’est aussi forgé l’image d’un grand amateur de femmes avant d’épouser, en 1985, Magdalena Kopp, une ancienne de la Fraction armée rouge, le groupe terroriste allemand.
                  Illitch Ramirez Sanchez est né le 12 octobre 1949 à Caracas. Son père, riche avocat communiste, lui a donné l’un des prénoms de Lénine.
                  Carlos débute sa carrière de terroriste, le 30 décembre 1973, à Londres. Il tire trois balles sur Joseph Edward Seif, de confession juive et frère du président de la chaîne de magasins Marks & Spencer, qui échappe à la mort. Le mois suivant, une bombe explose devant une banque londonienne qualifiée de sioniste. Illitch se réfugie en France. Carlos est né.


                  En 1974, il revendique une série d’attentats à Paris : explosions à la voiture piégée devant les locaux parisiens de « l’Aurore », de « Minute » et de « l’Arche » en 1974, puis, le 15 septembre, attentat contre le drugstore Publicis Saint-Germain, qui a fait deux morts et trente-quatre blessés. La Direction de la surveillance du territoire (DST) est sur la piste du terroriste.
                  Le 27 juin 1975, trois inspecteurs du contrespionnage sonnent à la porte d’un jeune Vénézuélien au 9 de la rue Toullier, dans le quartier latin. Carlos ouvre le feu, tuant deux policiers et en blessant un troisième. Il prend la fuite.
                  Quelques mois plus tard, le 21 décembre 1975, il signe l’un de ses faits d’armes les plus marquants : à la tête d’un commando, il retient en otage, pendant vingt-quatre heures, dix des treize ministres de l’OPEP qui participaient à une réunion de l’organisation pétrolière à Vienne. Bilan, trois morts.
                  Recherché par toutes les polices occidentales comme un terroriste impitoyable, Carlos se met au vert. A la fin des années soixante-dix, certains le tiennent pour mort, jusqu’au 26 février 1982, et à l’arrivée d’une lettre à l’ambassade de France de La Haye. Authentifiée par deux empreintes digitales de son pouce, la missive exige la libération de Bruno Breguet, son bras droit, et de Magdalena Kopp, sa compagne, arrêtés dix jours auparavant à Paris avec plusieurs kilos d’explosifs. Carlos reprend du service.
                  Le nom de Carlos est cité dans l’attentat contre le train le « Capitole » le 29 mars 1982 (cinq morts) et celui de la gare Saint-Charles à Marseille (deux morts), en décembre 1983.
                  Le 22 avril 1982, une voiture piégée explose devant les locaux du magazine « Al-Watan al-Arabi », rue Marbeuf, à Paris. Bilan, un mort et soixante-trois blessés. L’attentat, jamais revendiqué, est attribué au terroriste vénézuélien. Carlos retrouve Magdalena Kopp en 1985 à Damas. Avec leur fille Evita, le couple coule une semi-retraite dans un quartier résidentiel de la capitale syrienne. Mais il se révèle un hôte dérangeant pour le régime syrien qui tente de retrouver une place dans le concert des nations. En 1991, Tripoli refuse de recevoir Carlos.
                  Le 1er juin 1992, il est condamné par contumace, en France, à la réclusion à perpétuité pour l’affaire de la rue Toullier, et la mort de deux hommes de la DST.

                  http://www.humanite.fr/1994-08-16_Ar...-international

                  Commentaire

                  Chargement...
                  X