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Il a divulgué aux enquêteurs anglais des noms de dirigeants algériens :
Après le rejet par la justice britannique de la demande d’extradition présentée par les autorités algériennes en octobre dernier, l’ancien patron du groupe Khalifa, Moumène Khalifa vient d’être remis en liberté, a appris Le Matin auprès de son entourage.
L’ex-milliardaire était détenu dans une prison de Londres depuis 10 mois, en vertu d’un mandat d’arrêt européen délivré le 5 mars 2007 à la demande de la juge de Nanterre, Régine Capra.
Sa remise en liberté fait suite au refus d’Alger de donner suite à des demandes de complément d’information formulées par les juges londoniens.
Selon des sources judiciaires, Alger n’a pas voulu répondre à des questions gênantes et compromettantes posées par les magistrats londoniens. Ces derniers voulaient confirmer auprès du gouvernement algérien des révélations très embarrassantes faites par Moumène Khalifa. Selon ces mêmes sources, l’ex-milliardaire aurait divulgué aux enquêteurs britanniques des noms de dirigeants algériens, dont des ministres et des proches du président, des hauts cadres, des journalistes et divers autres responsables divers impliqués dans le scandale,.
C’est cet éclairage nouveau qui aurait précipité la remise en liberté de l’ancien patron du groupe Khalifa. Elle signifie que l’Algérie comme la France ont été déboutées de leurs demandes respectives d’extradition.
Un second procès Khalifa va s’ouvrir à Blida
S’exprimant dimanche devant la presse, le ministre de la Justice Tayeb Belaïz a soigneusement évité d’aborder le rejet par la justice britannique de la demande d’extradition présentée par les autorités algériennes. Il a en revanche parlé de la seconde partie de l’affaire Khalifa (l’acquisition des stations de dessalement de l’eau de mer, Khalifa Airways, Khalifa Construction et les transferts de devises) pour dire qu’elle se trouve au niveau du tribunal de Chéraga et au niveau de la Cour suprême et qu’elle est en bonne voie.
Le Matin a appris qu’un second procès Khalifa va s’ouvrir devant le tribunal criminel de Blida au printemps 2008.
La Cour suprême a décidé de « fondre » les quatre affaires en instruction (l’acquisition des stations de dessalement de l’eau de mer, Khalifa Airways, Khalifa Construction et les transferts de devises) en une seule, dénommée « transferts illicites de devises. » D’importantes personnalités vont être entendues.
Après le rejet par la justice britannique de la demande d’extradition présentée par les autorités algériennes en octobre dernier, l’ancien patron du groupe Khalifa, Moumène Khalifa vient d’être remis en liberté, a appris Le Matin auprès de son entourage.
L’ex-milliardaire était détenu dans une prison de Londres depuis 10 mois, en vertu d’un mandat d’arrêt européen délivré le 5 mars 2007 à la demande de la juge de Nanterre, Régine Capra.
Sa remise en liberté fait suite au refus d’Alger de donner suite à des demandes de complément d’information formulées par les juges londoniens.
Selon des sources judiciaires, Alger n’a pas voulu répondre à des questions gênantes et compromettantes posées par les magistrats londoniens. Ces derniers voulaient confirmer auprès du gouvernement algérien des révélations très embarrassantes faites par Moumène Khalifa. Selon ces mêmes sources, l’ex-milliardaire aurait divulgué aux enquêteurs britanniques des noms de dirigeants algériens, dont des ministres et des proches du président, des hauts cadres, des journalistes et divers autres responsables divers impliqués dans le scandale,.
C’est cet éclairage nouveau qui aurait précipité la remise en liberté de l’ancien patron du groupe Khalifa. Elle signifie que l’Algérie comme la France ont été déboutées de leurs demandes respectives d’extradition.
Un second procès Khalifa va s’ouvrir à Blida
S’exprimant dimanche devant la presse, le ministre de la Justice Tayeb Belaïz a soigneusement évité d’aborder le rejet par la justice britannique de la demande d’extradition présentée par les autorités algériennes. Il a en revanche parlé de la seconde partie de l’affaire Khalifa (l’acquisition des stations de dessalement de l’eau de mer, Khalifa Airways, Khalifa Construction et les transferts de devises) pour dire qu’elle se trouve au niveau du tribunal de Chéraga et au niveau de la Cour suprême et qu’elle est en bonne voie.
Le Matin a appris qu’un second procès Khalifa va s’ouvrir devant le tribunal criminel de Blida au printemps 2008.
La Cour suprême a décidé de « fondre » les quatre affaires en instruction (l’acquisition des stations de dessalement de l’eau de mer, Khalifa Airways, Khalifa Construction et les transferts de devises) en une seule, dénommée « transferts illicites de devises. » D’importantes personnalités vont être entendues.
vu qu'ily a eu des "transferts" à l'étranger ...eh bien ceci expliquant cela..
Et à tous ceux qui ont la mémoire courte et qui semble oublier que l'état algérien n'est pas aussi blanc qu'il voudrait le faire croire........
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