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DEPUIS QUELQUES MOIS, LE RETRAIT DE LEMIRATI SAMA DUBAI (FILIALE DE DUBAÎ HOLDING) DU PROJET DE LA VALLÉE DU BOUREGREG À RABAT N’ÉTAIT QU’UNE SIMPLE RUMEUR. AUJOURD’HUI, LINFORMATION SEMBLE SE CONFIRMER.
Coup de blues sur le projet de réaménagement de la vallée du Bouregreg. Selon Challenge Hebdo, Des sources proches du dossier parlent d’un courrier qu’aurait adressé l’Agence d’aménagement do Bouregreg à son partenaire émirati Sama Dubaï, l’informant de la résiliation du contrat entre les deux parties, portant sur le développement de la deuxième séquence Amwaj. Les raisons de l’annulation de la collaboration avec Sama Dubaï sont multiples d’après la même source. Les ardeurs des Émiratis auraient été refroidies par le refus des Marocains de faire de cette séquence uniquement une affaire juteuse de spéculation immobilière. L’agence aurait été très pointilleuse quant au respect du cachet marocain authentique du projet et au respect des délais. Les émiratis sont restés sourds aux multiples relances de l’Agence. Aujourd’hui, il aurait été décidé d’aller de l’avant en se passant de l’aide des investisseurs Emiratis qui allaient participer dans le financement de la séquence Amwaj qui devait coûté, selon le planning initial, 3 milliards de dollars. Malgré cette mauvaise nouvelle, l’Agence continue de baliser le terrain. Ainsi tous les autres éléments du projet notamment ceux qui portent sur l’infrastructure avancent au pas de géant. Il en est ainsi de la décharge d’Oum Azza déjà opérationnelle, du tunnel des oudays, du nouveau pont Moulay Hassan et du tramway qui ont dépassé le stade premier des études et qui verront vraisemblablement le jour dans les temps impartis. Demeure cependant une question fort logique. Si le désengagement des Emiratis se confirme, qu’ils seraient les éventuels remplaçants et la séquence Amwaj serait-elle revue ?
Il faut rappeler que cette deuxième séquence est l’une des plus importante et plus complexe du projet puisqu’elle s’étend entre le pont Moulay Hassan et le pont ONCF, et devrait assurer la liaison entre les deux villes et les relations entre les monuments historiques de l’estuaire (Qasbah des Oudayas. médinas de Rabat et Salé) d’une part et ceux de vallée proprement dite (Tour Hassan, Mausolée et Chellali). Cette zone qui a été jusqu’à aujourd’hui laissée à l’abandon offre pourtant un paysage remarquable, est bien desservie par les réseaux de voirie et offre des vues saisissantes aussi bien sur la silhouette de Rabat et Salé que sur l’estuaire et la plaine. Ce nouvel épisode vient après les informations qui ont circulé sur le retrait de l’Emirati Eemar de l’Algérie après avoir annoncé des investissements colossaux de l’ordre de 35 milliards de dollars. Maintenant, les autorités doivent revenir sur les engagements pris par Sama au Maroc pour savoir où ils en sont et pour que les projets annoncés puissent aboutir sinon changer de destinataire avant que les chose ne se compliquent d’avantage.
http://www.dev-export.com/detailsafr...numafrique=822
08-01-2008 @2007 Dev-export.com
Coup de blues sur le projet de réaménagement de la vallée du Bouregreg. Selon Challenge Hebdo, Des sources proches du dossier parlent d’un courrier qu’aurait adressé l’Agence d’aménagement do Bouregreg à son partenaire émirati Sama Dubaï, l’informant de la résiliation du contrat entre les deux parties, portant sur le développement de la deuxième séquence Amwaj. Les raisons de l’annulation de la collaboration avec Sama Dubaï sont multiples d’après la même source. Les ardeurs des Émiratis auraient été refroidies par le refus des Marocains de faire de cette séquence uniquement une affaire juteuse de spéculation immobilière. L’agence aurait été très pointilleuse quant au respect du cachet marocain authentique du projet et au respect des délais. Les émiratis sont restés sourds aux multiples relances de l’Agence. Aujourd’hui, il aurait été décidé d’aller de l’avant en se passant de l’aide des investisseurs Emiratis qui allaient participer dans le financement de la séquence Amwaj qui devait coûté, selon le planning initial, 3 milliards de dollars. Malgré cette mauvaise nouvelle, l’Agence continue de baliser le terrain. Ainsi tous les autres éléments du projet notamment ceux qui portent sur l’infrastructure avancent au pas de géant. Il en est ainsi de la décharge d’Oum Azza déjà opérationnelle, du tunnel des oudays, du nouveau pont Moulay Hassan et du tramway qui ont dépassé le stade premier des études et qui verront vraisemblablement le jour dans les temps impartis. Demeure cependant une question fort logique. Si le désengagement des Emiratis se confirme, qu’ils seraient les éventuels remplaçants et la séquence Amwaj serait-elle revue ?
Il faut rappeler que cette deuxième séquence est l’une des plus importante et plus complexe du projet puisqu’elle s’étend entre le pont Moulay Hassan et le pont ONCF, et devrait assurer la liaison entre les deux villes et les relations entre les monuments historiques de l’estuaire (Qasbah des Oudayas. médinas de Rabat et Salé) d’une part et ceux de vallée proprement dite (Tour Hassan, Mausolée et Chellali). Cette zone qui a été jusqu’à aujourd’hui laissée à l’abandon offre pourtant un paysage remarquable, est bien desservie par les réseaux de voirie et offre des vues saisissantes aussi bien sur la silhouette de Rabat et Salé que sur l’estuaire et la plaine. Ce nouvel épisode vient après les informations qui ont circulé sur le retrait de l’Emirati Eemar de l’Algérie après avoir annoncé des investissements colossaux de l’ordre de 35 milliards de dollars. Maintenant, les autorités doivent revenir sur les engagements pris par Sama au Maroc pour savoir où ils en sont et pour que les projets annoncés puissent aboutir sinon changer de destinataire avant que les chose ne se compliquent d’avantage.
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08-01-2008 @2007 Dev-export.com
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