Le président français Nicolas Sarkozy a réitéré sa volonté de combattre l’immigration clandestine en France, tout en réaffirmant l’amitié qu’il porte « au président Bouteflika que je soutiens de peur qu’un régime de Talibans s’installe en Algérie ».
Sarkozy a reconnu dans une conférence de presse tenue hier à l’Elysée, « je me suis trompé lorsque j’ai demandé, précédemment, à Brice Hortefeux, de traiter moins sévèrement les immigrés clandestins, au moment où ce dernier voulait expulser le plus grand nombre d’immigrés provenant de plusieurs pays pauvres, et voulant s’installer en France de manière illégale ».
Nicolas Sarkozy a révélé, à l’occasion, qu’il avait reçu récemment une proposition du Premier ministre espagnol Jose Luis Zapatero et de son homologue italien Romano Prodi, pour élaborer un plan d’expulsion commun d’immigrés clandestins. Sarkozy a également abordé sa dernière visite en Algérie, et la polémique qu’ont provoquée les déclarations du ministre des Moudjahidines, Chérif Abbès, à propos des origines juives de Sarkozy. Le président français a répondu directement à ceux qui lui demandaient d’annuler sa visite en Algérie, en déclarant : « Je suis fier de ma visite en Algérie, l’un des plus grands partenaires économiques de la France ».
El Khabar
Sarkozy a reconnu dans une conférence de presse tenue hier à l’Elysée, « je me suis trompé lorsque j’ai demandé, précédemment, à Brice Hortefeux, de traiter moins sévèrement les immigrés clandestins, au moment où ce dernier voulait expulser le plus grand nombre d’immigrés provenant de plusieurs pays pauvres, et voulant s’installer en France de manière illégale ».
Nicolas Sarkozy a révélé, à l’occasion, qu’il avait reçu récemment une proposition du Premier ministre espagnol Jose Luis Zapatero et de son homologue italien Romano Prodi, pour élaborer un plan d’expulsion commun d’immigrés clandestins. Sarkozy a également abordé sa dernière visite en Algérie, et la polémique qu’ont provoquée les déclarations du ministre des Moudjahidines, Chérif Abbès, à propos des origines juives de Sarkozy. Le président français a répondu directement à ceux qui lui demandaient d’annuler sa visite en Algérie, en déclarant : « Je suis fier de ma visite en Algérie, l’un des plus grands partenaires économiques de la France ».
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