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Selon vous, l'Afrique va-t-elle se développer ?

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  • Selon vous, l'Afrique va-t-elle se développer ?

    Qu'en pensez vous! ?



    Science actualité !
    34
    1 . Oui évidemment, la Chine et l’Inde ont bien réussi !
    8,82%
    3
    2 . Oui, mais selon un modèle qui reste à inventer
    32,35%
    11
    3 . Non, elle a trop de handicaps à surmonter.
    44,12%
    15
    je ne sais pas !
    14,71%
    5
    Dernière modification par absente, 13 janvier 2008, 10h04.

  • #2
    sincerement non.....

    et meme si on se develope,on restra toujours au dessous des autres car ils vont pas nous attendre, donc on aura toujours ce sentiment d'inferieurité...

    sinon pour que ça commence,il faudra avant tout que les présidents africains (ga3 inclut) soient elus démocratiquement

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    • #3
      Répondre à ce sondage , en oubliant pas que l'Algérie est en Afrique!

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      • #4
        tout à fait d'accord andaloussia !

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        • #5
          Répondre à ce sondage , en oubliant pas que l'Algérie est en Afrique!
          raison de plus pour voter non

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          • #6
            bah ,non pourquoi,je dirais qu'au contraire ,on a quand même pas mal avancé...c'est vrai qu'il reste encore beaucoup à faire ,mais on reste néanmoins sur la bonne voix !
            et puis c'est à nous d'y croire et de faire en sorte que ça se réalise...une cause n'est perdu d'avance que lorsque on ne fait rien pour se battre pour elle .

            je dirais alors que tout est possible,nous sommes algeriens et malins en plus !

            Commentaire


            • #7
              hors mi l'Algérie, je doute fort que ça arrivera
              .

              La mesure de l'amour c'est d'aimer sans mesure...

              Commentaire


              • #8
                Bonjour à tous.

                L'art de poser des questions, l'approche qu'on peut-avoir vis-à-vis d'une problématique est primordiale.

                Ici l'article part du rôle que joue l'électricité comme vecteur de "développement".

                De plus le concept du "développement" est relatif.

                Les choix proposés par le sondage sont très aventureux, ce n'est pas aussi simple que ça , comparé la Chine à l'Afrique, ou encore l'inde ou un autre pays dit "émergent" rentre dans un contexte de superposition d'évènements et de phénomènes économiques.

                C'est comparé l'incomparable.

                Pour un simple petit rappel l'Afrique est un continent et non pas un pays.


                Voici l'article en question.



                ELECTRICITÉ EN AFRIQUE :
                le courant passe mal



                L'Afrique est le continent le plus faiblement électrifié et c'est tout son développement qui en pâtit. Pourtant, les ressources existent - que ce soit le charbon, le gaz, les cours d'eau aménageables ou le soleil - mais elles ne sont pas suffisamment exploitées, faute de financements. Le point à l'occasion de l'ouverture de l'exposition de Science Actualités, « Quand l'Afrique s'éveillera… », le 26 juin à la Cité des sciences.

                500 millions d’Africains non connectés


                Pas de développement sans électricité. Comment conserver les aliments, sans frigidaire ? Comment communiquer avec les villes voisines, si l'on ne peut pas recharger son téléphone portable ? Comment développer une activité économique, si les machines peuvent s'arrêter à tout moment, victimes de coupures d'électricité intempestives ? Comment se soigner, si l'on ne peut pas conserver les médicaments et les vaccins, ou éclairer le dispensaire ?

                Or, l'Afrique subsaharienne est bien mal pourvue : seule 23% de la population a accès au réseau électrique, selon l'Agence internationale de l'énergie (AIE). Ce sont ainsi 500 millions d'Africains qui sont dépourvus d'électricité, ou obligés de la produire localement au prix fort, grâce à des groupes électrogènes alimentés en carburant ou, plus rarement, à des panneaux photovoltaïques. Les zones rurales sont bien sûr les moins bien loties, avec 8% seulement d'habitants reliés au réseau. Et même pour les connectés, les nombreuses coupures de courant nuisent aux activités domestiques et économiques, et imposent parfois de s'équiper en groupes électrogènes pour pallier les déficiences du réseau.

                Des ressources inexploitées

                Pourtant, l'Afrique ne manque pas d'atouts énergétiques. La première source d'électricité est de loin le charbon, qui fournit 65% de la production électrique d'Afrique subsaharienne, suivie de l'hydroélectricité (21%), et loin derrière, du pétrole, du gaz et du nucléaire (environ 4% chacun).

                Les autres sources (éolien, biomasse, géothermie, solaire) représentent moins de 1% de l'électricité commercialisée. Le pétrole et le gaz se trouvent essentiellement au centre et à l'ouest de l'Afrique, notamment au Nigeria, en Angola, au Congo-Brazzaville et au Gabon. Le charbon, lui, se trouve à 90% en Afrique du Sud, et ses voisins se partagent les reliquats. Quant au nucléaire, il est exclusivement produit en Afrique du Sud.

                Mais seule une infime partie des ressources est utilisée. Selon l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), 7% des capacités hydrauliques et moins de 1% des capacités géothermiques sont exploitées. D'autres ressources, comme le gaz, sont en partie gaspillées, faute d'infrastructure de bonne qualité. Et les pertes d'électricité lors du transport s'élèveraient jusqu'à 40% dans certains pays (Nigeria, Congo), contre 9,2% en moyenne dans le monde.

                Potentiel d’énergies renouvelables


                Le potentiel hydroélectrique se situe surtout en Afrique centrale et en Afrique de l'Est, en République Démocratique du Congo (grâce au fleuve Congo), en Ethiopie, au Cameroun et au Mozambique. Mais seuls quelques pays l'exploitent de manière significative : le Mozambique, la Zambie, le Nigeria, le Zimbabwe et le Ghana produisent ensemble près de 40 000 gigawattheures chaque année.

                Inexploité, également, le potentiel éolien du continent. Ainsi que la géothermie (utilisation de la chaleur du sous-sol) : selon l'OCDE, le potentiel géothermique de la vallée du Rift, à l'Est de l'Afrique, serait de l'ordre de 6,5 gigawatts. Mais seul le Kenya possède trois centrales électriques géothermiques, totalisant 158 mégawatts.

                Quant au soleil, omniprésent en Afrique, il est peu mis en valeur : moins de 0,1 % de l'électricité vendue en Afrique provient de centrales solaires. Mais ce chiffre ne prend pas en compte les panneaux photovoltaïques non reliés au réseau, qui permettent à des sites isolés de bénéficier d'un peu d'électricité.

                Ruralité et pauvreté


                Malheureusement, la situation n'évolue que lentement. L'électrification des zones rurales, où vivent la majorité des Africains, est plus coûteuse qu'en ville. Et même si le taux d'électrification croît légèrement, le nombre de personnes non raccordées augmente également, du fait de la croissance de la population. « En Afrique subsaharienne, la population sans électricité augmentera régulièrement jusqu'en 2025, en lien avec le nombre de personnes vivant avec moins de 2 dollars par jour, prévoit l'AIE. Puis ce nombre se stabilisera, essentiellement à cause des migrations vers les villes, où l'accès à l'électricité sera plus facile. » Si aucun programme d'envergure n'est lancé, la moitié de la population de l'Afrique subsaharienne ne sera toujours par raccordé en 2025, soit 650 millions de personnes.

                Reherche investisseurs

                La pauvreté, qui est l'une des causes principales du manque d'infrastructures électriques, n'explique pas tout. La volonté politique compte aussi énormément. Ainsi, la Chine, qui a lancé dès le milieu des années 80 un programme d'électrification, compte aujourd'hui 98% de personnes raccordées au réseau. Un taux non atteint même par les pays les plus riches du continent africain, comme l'Afrique du Sud.

                « L'Afrique manque surtout d'investissements, estime Sang Yoon, analyste à l'AIE. Il faudrait investir plus de 200 milliards de dollars d'ici à 2030 pour atteindre un taux d'électrification de 56%. Le problème reste le financement. » Pas d'argent, pas d'électricité, donc pas de développement : c'est un cercle vicieux qu'il faut casser.

                Cécile Michaut


                Retrouvez dès le 26 juin à la Cité des sciences notre expo-dossier : « Quand l'Afrique s'éveillera… ».


                Source.
                “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

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                • #9
                  jamais, c'est un problème de gènes on est pu rien :22:

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                  • #10
                    hors mi l'Algérie, je doute fort que ça arrivera

                    ben comme réponse

                    Envoyé par fellag
                    Quand les autres peuples touchent le fond, ils remontent ; nous, les Algériens, quand on en arrive là, on creuse

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                    • #11
                      citation:

                      "
                      jamais, c'est un problème de gènes on est pu rien :22: "

                      t'es serieux? on vas t'accusé de euginisme mon ami..... moi au contraire je pense qu'on n'y arrivera un jour, il suffit juste d'adopté une bonne politique de gouvernence...

                      - investir dans le domaine de l'education et de la recherche scientifique, quitte a utilisé les pétro-dollar pour payé des profésseur etrangé afin qu'il viènne ici.
                      - investir dans les grand projet, ce que semble faire bouteflika ( 1 million de logement, autoroute est-ouest, métro d'alger......).

                      et surtout, que l'algérien arrete de critiqué et qu'on se mette au travaille

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                      • #12
                        Le destin de l'Afrique est partagé avec tous les autres peuplades exploitées du Monde. L'Afrique avancera quand elle prendera conscience de cette horrible chose qu'est le productivisme acharné des peuples du Sud.
                        Un jour, liberté naîtra, volonté existera, conscience on aura, et enfin, la paix sera...

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                        • #13
                          citation:

                          "
                          jamais, c'est un problème de gènes on est pu rien :22: "

                          t'es serieux? on vas t'accusé de euginisme mon ami..... moi au contraire je pense qu'on n'y arrivera un jour, il suffit juste d'adopté une bonne politique de gouvernence...

                          - investir dans le domaine de l'education et de la recherche scientifique, quitte a utilisé les pétro-dollar pour payé des profésseur etrangé afin qu'il viènne ici.
                          - investir dans les grand projet, ce que semble faire bouteflika ( 1 million de logement, autoroute est-ouest, métro d'alger......).

                          et surtout, que l'algérien arrete de critiqué et qu'on se mette au travaille
                          Saha kho, il faut, il suffit, normalement, si........... Tu vois et sa dur depuis des siècles, comment tu explique qu'il n'est y a jamais eu de grandes civilisations(local non importé) en Afrique ?

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                          • #14
                            comment tu explique qu'il n'est y a jamais eu de grandes civilisations(local non importé) en Afrique ?
                            Si t'es pas renseigné, ce n'est pas une raison pour dire des salades. Les empires du Ghana, du Mali, de Songhoï, le Royaume Mandingue ? Les structures architécturales laissées par ES SHAHELI ?
                            Un jour, liberté naîtra, volonté existera, conscience on aura, et enfin, la paix sera...

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                            • #15
                              Les empires du Ghana, du Mali, de Songhoï, le Royaume Mandingue ? Les structures architécturales laissées par ES SHAHELI ?
                              Celle construites avec de l'argile oui c'est vrai!

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