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en termes de richesse par habitant
Le chef du gouvernement espagnol estime que son pays a déjà dépassé l'Italie et qu'il pourrait faire de même avec la France en termes de richesse par habitant dans les quatre ans à venir. Un optimisme à tous crins à l'approche des législatives du 9 mars.
S'il gagne les élections du 9 mars, le chef du gouvernement socialiste espagnol José Luis Rodriguez Zapatero souhaite que l'Espagne dépasse la France en termes de richesse par habitant, assure-t-il dans une interview publiée ce lundi par El Mundo. "Je propose aux Espagnols l'objectif de dépasser la France en revenu par habitant" au cours de la prochaine législature de quatre ans, déclare-t-il.
La semaine dernière, le candidat socialiste avait déjà assuré qu'après avoir "dépassé l'Italie" sous son premier mandat, la France était le prochain "horizon" de l'Espagne. "Nous voulons nous situer aux côtés de la Finlande et du Danemark, avec un revenu par habitant élevé et les meilleures indicateurs sociaux possibles", avait-il affirmé lors d'un forum économique. José Luis Zapatero qui, comme son adversaire Mariano Rajoy, a placé l'économie au coeur de sa campagne pour les législatives, adopte un ton volontairement rassurant malgré les récents signes de ralentissement de l'économie espagnole, avec une inflation élevée et une augmentation du nombre de chômeurs au mois de décembre.
A la question de savoir si une crise économique se profile pour l'Espagne dans les années venir, le chef du gouvernement répond: "absolument pas. C'est une erreur. Du pur catastrophisme". "La croissance se situe à plus de 3%. Et même si demain elle se situe à 3 ou 2,8%, ce qui est une bonne croissance, nous allons continuer à créer de l'emploi tout en ayant un excédent budgétaire".
"Si cela est une crise, que se passerait-il si la croissance était de 1,5%, avec des destructions d'emplois et un déficit de 3% comme la plupart des pays avec lesquels nous sommes en compétition?", poursuit-il. Selon le chef du gouvernement, "en 2008, l'économie va croître clairement moins qu'en 2007 mais en 2009, nous aurons déjà les fondements pour croître à un rythme supérieur à celui de 2008".
Le chef du gouvernement espagnol estime que son pays a déjà dépassé l'Italie et qu'il pourrait faire de même avec la France en termes de richesse par habitant dans les quatre ans à venir. Un optimisme à tous crins à l'approche des législatives du 9 mars.
S'il gagne les élections du 9 mars, le chef du gouvernement socialiste espagnol José Luis Rodriguez Zapatero souhaite que l'Espagne dépasse la France en termes de richesse par habitant, assure-t-il dans une interview publiée ce lundi par El Mundo. "Je propose aux Espagnols l'objectif de dépasser la France en revenu par habitant" au cours de la prochaine législature de quatre ans, déclare-t-il.
La semaine dernière, le candidat socialiste avait déjà assuré qu'après avoir "dépassé l'Italie" sous son premier mandat, la France était le prochain "horizon" de l'Espagne. "Nous voulons nous situer aux côtés de la Finlande et du Danemark, avec un revenu par habitant élevé et les meilleures indicateurs sociaux possibles", avait-il affirmé lors d'un forum économique. José Luis Zapatero qui, comme son adversaire Mariano Rajoy, a placé l'économie au coeur de sa campagne pour les législatives, adopte un ton volontairement rassurant malgré les récents signes de ralentissement de l'économie espagnole, avec une inflation élevée et une augmentation du nombre de chômeurs au mois de décembre.
A la question de savoir si une crise économique se profile pour l'Espagne dans les années venir, le chef du gouvernement répond: "absolument pas. C'est une erreur. Du pur catastrophisme". "La croissance se situe à plus de 3%. Et même si demain elle se situe à 3 ou 2,8%, ce qui est une bonne croissance, nous allons continuer à créer de l'emploi tout en ayant un excédent budgétaire".
"Si cela est une crise, que se passerait-il si la croissance était de 1,5%, avec des destructions d'emplois et un déficit de 3% comme la plupart des pays avec lesquels nous sommes en compétition?", poursuit-il. Selon le chef du gouvernement, "en 2008, l'économie va croître clairement moins qu'en 2007 mais en 2009, nous aurons déjà les fondements pour croître à un rythme supérieur à celui de 2008".