encore un autre poeme de la même amie, que je partage avec vous,
Amour… douceur…et peur.
Dans mon coeur ton abris toi le ciel de ma vie
Je prie dieu de ne pas t'oublier et te sentir toujours à coté
Mon ardeur et toi sont cote à cote entres les fleures et la brise d’air
Ma flamme grandi jour en jour avec la lever de ton âme
Ne regarde pas le visage souriant dont le feu atteint le volcan
La douleur ne se distingue pas sur mon visage mais dans le creux de mes yeux
N’oublie pas qu’un jour on a fait le serment de ne rien oublier
D’être comme les anges au milieux de notre univers
Même si l’écart survient sache que tu vivras en moi et je t’aimerais comme en c dit un jour d’hivers
Que le sang ne coulera que lorsque on ira là où nos âmes s’enlacent vers le bout du chemin
Je ris je pleur je ne sais quoi faire de ce cœur qui vénère et exècre
Suis-je folle suis-je dans le monde des fous
Je ne sens rien, rien, je ne sais ce qui ce passe dans mon être
Pourtant je suis comblée d’amour d’amitié et de passion
Mais que ce passe t’il oh vie veinerait qui me tue en douceur
Aider moi je me sent étranglée, rejetée j’ai besoin d’air pure pour égarée mes peines
Je prie dieu de ne pas t'oublier et te sentir toujours à coté
Mon ardeur et toi sont cote à cote entres les fleures et la brise d’air
Ma flamme grandi jour en jour avec la lever de ton âme
Ne regarde pas le visage souriant dont le feu atteint le volcan
La douleur ne se distingue pas sur mon visage mais dans le creux de mes yeux
N’oublie pas qu’un jour on a fait le serment de ne rien oublier
D’être comme les anges au milieux de notre univers
Même si l’écart survient sache que tu vivras en moi et je t’aimerais comme en c dit un jour d’hivers
Que le sang ne coulera que lorsque on ira là où nos âmes s’enlacent vers le bout du chemin
Je ris je pleur je ne sais quoi faire de ce cœur qui vénère et exècre
Suis-je folle suis-je dans le monde des fous
Je ne sens rien, rien, je ne sais ce qui ce passe dans mon être
Pourtant je suis comblée d’amour d’amitié et de passion
Mais que ce passe t’il oh vie veinerait qui me tue en douceur
Aider moi je me sent étranglée, rejetée j’ai besoin d’air pure pour égarée mes peines
ma cherié t'es entouré d'amour et de douceur, alorsya plus de place a la peur
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