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Nos deux chanteuses-interprètes kabyles Siham et Djidji ont émergé malgré leur handicap visuel.
Elles regardent et jugent pour nous tout ce qui échappe à nos observations. Elles le font avec un souci précis du sens des mots.
Elles contemplent de l’intérieur notre monde mouvant et nous aident à travers des paroles pensantes, libres, sans frontières allant seulement vers des horizons qui, d’aventure, nous ferment l’espace.
Leur gestuelle augmente toute l’ardeur de leur présence sur scène car débarrassées du complexe et du formalisme redoutables.
Les textes de leurs chansons respectives brisent la carapace des légalistes qui enferment et enserrent les initiatives dans un noir que seules Siham et Djidji savent rendre clair et étincellent.
Deux colombes aux voix merveilleuses volent gracieusement sur le ciel de la chanson kabyle s’en allant d’une chanson à l’autre, d’un vers à l’autre mobilisant ainsi l’attention et l’écoute sur des thématiques qui ont marqués, qui marquent encore notre société laquelle peine quelque peu à franchir certaines contraintes inutiles.
Elles veulent écourter le temps du gâchis sur une générosité à double noms : Djidji et Siham. Elles crient leur rage de vivre à cent pour cent tout comme Edith Piaf dont elles partagent déjà, et par delà son art, une part de leur racines kabyles*.
Elles ne sont pas des stars éphémères mais des stars véritables qui chantent, enchantent et envoûtent l’ambiance sociale kabyle. Elles suivent en accumulation les traces de deux divas de la chanson kabyle Hnifa et Nouara lesquels ont prêté, chacune en son temps, leur voix à nos mères qui ont traversées les sentiers échevelés qui mènent sur les évolutions lentes, certes, mais incontestables.
Sur scène, elle sont tout simplement majestueuses et cette aisance dans l’ensemble de leurs mouvements multiplie encore plus le triomphe de leurs spectacles. Merci Siham et Djidji d’exister dans et pour la chanson kabyle.
- La depeche de Kabylie
Elles regardent et jugent pour nous tout ce qui échappe à nos observations. Elles le font avec un souci précis du sens des mots.
Elles contemplent de l’intérieur notre monde mouvant et nous aident à travers des paroles pensantes, libres, sans frontières allant seulement vers des horizons qui, d’aventure, nous ferment l’espace.
Leur gestuelle augmente toute l’ardeur de leur présence sur scène car débarrassées du complexe et du formalisme redoutables.
Les textes de leurs chansons respectives brisent la carapace des légalistes qui enferment et enserrent les initiatives dans un noir que seules Siham et Djidji savent rendre clair et étincellent.
Deux colombes aux voix merveilleuses volent gracieusement sur le ciel de la chanson kabyle s’en allant d’une chanson à l’autre, d’un vers à l’autre mobilisant ainsi l’attention et l’écoute sur des thématiques qui ont marqués, qui marquent encore notre société laquelle peine quelque peu à franchir certaines contraintes inutiles.
Elles veulent écourter le temps du gâchis sur une générosité à double noms : Djidji et Siham. Elles crient leur rage de vivre à cent pour cent tout comme Edith Piaf dont elles partagent déjà, et par delà son art, une part de leur racines kabyles*.
Elles ne sont pas des stars éphémères mais des stars véritables qui chantent, enchantent et envoûtent l’ambiance sociale kabyle. Elles suivent en accumulation les traces de deux divas de la chanson kabyle Hnifa et Nouara lesquels ont prêté, chacune en son temps, leur voix à nos mères qui ont traversées les sentiers échevelés qui mènent sur les évolutions lentes, certes, mais incontestables.
Sur scène, elle sont tout simplement majestueuses et cette aisance dans l’ensemble de leurs mouvements multiplie encore plus le triomphe de leurs spectacles. Merci Siham et Djidji d’exister dans et pour la chanson kabyle.
- La depeche de Kabylie