C’est finalement le bureau d’étude «Kiefef Ste Krebs Und» qui réalisera le projet de la Grande Mosquée. Le choix de Bouteflika s’est porté sur le groupement germano- tunisien qui a fait une offre financière de 500 millions d’euros. L’annonce a été faite par le ministre des Affaires religieuses qui estime que la procédure n’est entachée d’aucune irrégularité puisque, dit-il, le cahier des charges stipule que le maître d’œuvre, en l’occurrence le chef de l’Etat, avait la possibilité de choisir en personne le bureau d’étude.
Nawal Imès- Alger (Le Soir)- le ministre, qui était jeudi l’invité de la Chaîne II, a ainsi mis fin au suspense qui entourait la réalisation du projet qui a fait couler beaucoup d’encre, ce qui visiblement n’est pas du goût de Goulamallah. «Les journalistes on écrit n’importe quoi à ce sujet.
Certains ont estimé le coût à 3 milliards de dollars. Ça reste leur estimation. Nous on se réfère à l’offre faite par le bureau d’étude retenu qui va d’ailleurs être négociée», a-t-il déclaré, ajoutant que les propositions d’ordre architectural faites par ce groupement ne seront pas appliquées à la lettre. «Ce n’est pas la maquette proposée qui sera réalisée. Des modifications vont être apportées», affirme le ministre qui espère voir les travaux démarrer en 2008.
Le bureau d'étude lauréat du concours d'architecture du mégaprojet de la Grande Mosquée d'Alger a été selctionné parmi quatre autres, à savoir le français «AS architecture studio», le francoanglais «ATSP/Atkins», l'allemand «Ipro Plan» et l'iranien «Genidar Sarl».
L’invité de la radio a également abordé un autre sujet d’actualité, à savoir la gestion du fonds de la Zakat. Visiblement satisfait de la «récolte» de 2006 qui tourne autour de 50 milliards de centimes, il pense que le cru 2007 sera plus important. Ghoulamallah espère transformer ce fonds en véritable entreprise économique via un office qui sera semblable à celui du hadj ou celui des biens Wakf qui vont bientôt voir le jour.
La proposition a été faite par son département et attend l’aval du chef du gouvernement. Concernant la saison du hadj, le ministre, qui reconnaît certaines défaillances des personnes censées prendre en charge des hadjis sur place, prévoit une amélioration de la situation avec la mise sur pied de l’office du hadj. Il considère néanmoins que la commission nationale chargée jusque-là de l’opération est visiblement au-dessus de tout soupçon puisque son rapport financier a été approuvé mais il ajoutera quand même : «Je me demande qui a approuvé les comptes de la commission nationale du hadj. Est-ce que c’est des fonctionnaires ou des commissaires dûment assermentés ?» Pour ne pas changer de sujet, il dira qu’aucune mission de l’IGF ne s’est intéressée récemment à la comptabilité de son département ministériel. Il a en outre annoncé la finalisation prochaine du statut de l’imam dans le cadre de la révision du statut de la Fonction publique, ce qui, à ses dires, réhabilitera l’imam.
N. I. (Le Soir d'Algérie)
Nawal Imès- Alger (Le Soir)- le ministre, qui était jeudi l’invité de la Chaîne II, a ainsi mis fin au suspense qui entourait la réalisation du projet qui a fait couler beaucoup d’encre, ce qui visiblement n’est pas du goût de Goulamallah. «Les journalistes on écrit n’importe quoi à ce sujet.
Certains ont estimé le coût à 3 milliards de dollars. Ça reste leur estimation. Nous on se réfère à l’offre faite par le bureau d’étude retenu qui va d’ailleurs être négociée», a-t-il déclaré, ajoutant que les propositions d’ordre architectural faites par ce groupement ne seront pas appliquées à la lettre. «Ce n’est pas la maquette proposée qui sera réalisée. Des modifications vont être apportées», affirme le ministre qui espère voir les travaux démarrer en 2008.
Le bureau d'étude lauréat du concours d'architecture du mégaprojet de la Grande Mosquée d'Alger a été selctionné parmi quatre autres, à savoir le français «AS architecture studio», le francoanglais «ATSP/Atkins», l'allemand «Ipro Plan» et l'iranien «Genidar Sarl».
L’invité de la radio a également abordé un autre sujet d’actualité, à savoir la gestion du fonds de la Zakat. Visiblement satisfait de la «récolte» de 2006 qui tourne autour de 50 milliards de centimes, il pense que le cru 2007 sera plus important. Ghoulamallah espère transformer ce fonds en véritable entreprise économique via un office qui sera semblable à celui du hadj ou celui des biens Wakf qui vont bientôt voir le jour.
La proposition a été faite par son département et attend l’aval du chef du gouvernement. Concernant la saison du hadj, le ministre, qui reconnaît certaines défaillances des personnes censées prendre en charge des hadjis sur place, prévoit une amélioration de la situation avec la mise sur pied de l’office du hadj. Il considère néanmoins que la commission nationale chargée jusque-là de l’opération est visiblement au-dessus de tout soupçon puisque son rapport financier a été approuvé mais il ajoutera quand même : «Je me demande qui a approuvé les comptes de la commission nationale du hadj. Est-ce que c’est des fonctionnaires ou des commissaires dûment assermentés ?» Pour ne pas changer de sujet, il dira qu’aucune mission de l’IGF ne s’est intéressée récemment à la comptabilité de son département ministériel. Il a en outre annoncé la finalisation prochaine du statut de l’imam dans le cadre de la révision du statut de la Fonction publique, ce qui, à ses dires, réhabilitera l’imam.
N. I. (Le Soir d'Algérie)
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