Aujourd’hui débute au Ghana la 26e édition de la Coupe d’Afrique des nations de football. Cette édition qui apparaissait comme l’une des plus incertaines au regard de la nouvelle hiérarchie en gestation dans le football africain, en attendant les éliminatoires couplées «Can-Mondial 2010», aura lieu dans les délais. La CAF interpellée par les clubs européens, gros employeurs des contingents africains, n’a pas cédé et a gardé la date initiale : c’est-à-dire du 20 janvier au 10 février. Qui des 16 formations de la crème africaine engagées dans cette joute continentale embellira sa bibliothèque avec le trophée tant convoité ? Bien malin qui trouvera la réponse avant la finale, le 10 février à 17h00, à Accra. Dans la cuvette du stade d’Accra, les Ivoiriens favoris en puissance, l’Egypte favori naturel et le Cameroun s’empoigneront pour succéder aux Pharaons.
Les autres clubs engagés (les trouble-fêtes) tenteront de montrer leur savoir-faire, essayant d’accrocher au moins un ténor à leur palmarès à défaut du titre. Les Ivoiriens, sortis fraîchement d’une crise qui a failli couler le navire, auront à cœur de démontrer que la finale jouée au bord du Nil en 2006 face au Pharaons, il y a deux années, n’est pas un coup de pouce du destin. Les jeunes de Gérard Gili essayeront de piéger une équipe du Ghana qui commence à avoir les allures d’un grand et qui, de surcroît, évolue chez elle. Toute l’Afrique a donc les yeux braqués sur le Ghana qui accueille à partir d’aujourd’hui une Coupe d’Afrique des nations (CAN 2008) dont ses «Black Stars» sont, avec la Côte d’Ivoire de Didier Drogba, les deux grands favoris au sein d’un plateau très relevé.
Pour le match inaugural, Ghana, le pays hôte, accueillera la Guinée à Accra à 17h00. Tous les grands du football africain, à l’exception de l’Algérie, se sont donné rendez-vous à Accra, Sekondi-Takoradi, Kumasi et Tamale, pour trois semaines (20 janvier-10 février) de compétition. Maintenant que nous avons été éliminés des deux CAN 2006 et 2008, il faut tirer les conclusions qui s’imposent et procéder immédiatement à écarter tous ceux qui entravent la bonne marche du football national, à l’heure où le gouvernement est disposé à entamer la mise à niveau de cette discipline en se déclarant partenaire du MJS et de la FAF pour le décollage de ce sport dans notre pays.
source : la Tribune
Les autres clubs engagés (les trouble-fêtes) tenteront de montrer leur savoir-faire, essayant d’accrocher au moins un ténor à leur palmarès à défaut du titre. Les Ivoiriens, sortis fraîchement d’une crise qui a failli couler le navire, auront à cœur de démontrer que la finale jouée au bord du Nil en 2006 face au Pharaons, il y a deux années, n’est pas un coup de pouce du destin. Les jeunes de Gérard Gili essayeront de piéger une équipe du Ghana qui commence à avoir les allures d’un grand et qui, de surcroît, évolue chez elle. Toute l’Afrique a donc les yeux braqués sur le Ghana qui accueille à partir d’aujourd’hui une Coupe d’Afrique des nations (CAN 2008) dont ses «Black Stars» sont, avec la Côte d’Ivoire de Didier Drogba, les deux grands favoris au sein d’un plateau très relevé.
Pour le match inaugural, Ghana, le pays hôte, accueillera la Guinée à Accra à 17h00. Tous les grands du football africain, à l’exception de l’Algérie, se sont donné rendez-vous à Accra, Sekondi-Takoradi, Kumasi et Tamale, pour trois semaines (20 janvier-10 février) de compétition. Maintenant que nous avons été éliminés des deux CAN 2006 et 2008, il faut tirer les conclusions qui s’imposent et procéder immédiatement à écarter tous ceux qui entravent la bonne marche du football national, à l’heure où le gouvernement est disposé à entamer la mise à niveau de cette discipline en se déclarant partenaire du MJS et de la FAF pour le décollage de ce sport dans notre pays.
source : la Tribune
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