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"L'Algérie a communiqué les résultats de son enquête à l'ONU "

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  • "L'Algérie a communiqué les résultats de son enquête à l'ONU "

    Belkhadem réitère le rejet de la décision des Nations unies

    Le chef du gouvernement , M.Abdelaziz Belkhadem, a réitéré la position de l'Algérie par rapport à la décision " unilatérale " de l'ONU de créer une commission d'enquête sur l'attentat qui a visé le siège du Pnud à Hydra, Alger.


    Dans une déclaration à la presse, en marge de 3e Forum économique sur l'Algérie, tenu hier à Alger, M.Belkhadem a indiqué qu'" on ne sait pas pourquoi l'ONU a décidé unilatéralement de constituer une commission d'enquête sur l'attentat du 11 décembre ", avant d'ajouter que l'Algérie a fait son enquête et a communiqué ses résultats à l'ONU. Il a affirmé que " les attentats ont été revendiqués, ce qui fait que les auteurs sont connus " .

    Il a également souligné qu'il a dit au secrétaire de l'ONU, lors de leur rencontre à Madrid en Espagne, que cette mesure " ne peut être accueillie favorablement car l'Algérie fait son devoir au sujet de cette question " ; " cette décision n'est pas la bienvenue ".Dans le même cadre, il a souligné que si c'est une question de sécuriser ses institutions " l'ONU est libre de le faire ".

    Le porte-parole du secrétaire général de l'ONU avait indiqué que la composition de ce groupe indépendant comprenant des "experts internationaux extérieurs à l'ONU et son mandat, sera annoncée prochainement " et qu'elle attendait la "pleine coopération des autorités algériennes ".

    Pour sa part, le ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur et des Collectivité locales, Yazid Zerhouni, a souligné jeudi dernier, que les responsables de l'ONU se comportent " en fausse vierge effarouchée ". " Que va apporter de plus cette commission par rapport au travail déjà fait par les autorités algériennes ? A-t-elle une baguette magique qui nous permettra d'aller faire sortir les auteurs de ces attentats du maquis ? ", s'est demandé M. Zerhouni dans une déclaration faite en marge des travaux de l'APN.

    Il avait ajouté : " Pourquoi ceux qui parlent de commission indépendante n'ont pas avancé leur solution magique lorsque l'Algérie combattait seule le terrorisme ? ", M. Zerhouni a rappelé que les institutions de l'ONU dans le monde " ont été ciblées par le terrorisme " et que des attaques ont eu lieu dans d'autres régions du monde, dont les Etats-Unis, pour souligner " qu'aucun pays n'est à l'abri de la menace terroriste ".

    L. I.
    “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

  • #2
    L ONU ne cesse d étonner ??? à soutenu Bush pour l Irak ..??
    La nouvelle année 2008 à débuté par une ironie socratique , evenement facheux caractérisé par une moquerie glaciale .. Cet ONU où , elle était dans les années " torrents de sang "....
    OUI complice par son silence , complice en soutenant les zombies , complice de voir des milliers massacrés , assasinés , violés ..des bébés fracassés contre le mur ......L horreurs inémaginable ..(j ai les larmes aux yeux ce que j ai vécu ..)
    complice par son silence laissant les buveurs de sangs exterminer des innocents ..
    ? elle etait cette donneur de leçons ,
    OUI , elle soutenait indirectement les pays aidant les terroristes financement ,armement et materiellement ...
    lorsque l Algerie avait besoin de soutient tout le monde , rien vue ni entendu uniquement les réjouissances quand l Algerie sera à genoux ,
    non et non pas besoin de suspicion de l ONU et de quiconque pour diviser le peuple algerien , BASTA !!
    Mr Ban kimoon , vous avez un boulot qui est conforme et faite le pour l humanité qui est exigé et attendu de vous , maintenant à l instant méme les enfants malades qui meurent dans les hopitaux à Gaza sans électricité ( israel ?? ) , alors là L ONU soutient israel .
    .L Irak ou les enfants et les milliers d irakiens innocents meurent sous le bombardement des americains , Alors là l ONU sourient les americains .
    .Là vous faite Mr Ban Kimoon votre boulot convenablement et de macher en arriere forcée jusqu à decribiliser cette institution international pour la paix et la sécurité internationales et pour promouvoir les droits de l'homme dans le monde ...

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    • #3
      L ONU ne cesse d étonner ??? à soutenu Bush pour l Irak ..??

      ..............................

      C'est toujours la faute aux autres comme si les dirigeants algeriens sont des enfants de choeur.

      Aucun effort pour faire une autocritique.

      Il y a eu , je crois,17 fonctionnaires de l'ONU qui ont été tués et il est normal que cet organisme exige une enquete independante si les explications qui lui sont fournies ne les convaincs pas.

      C'est, en tout cas , une mauvaise image qui est donnée de l'Algerie à l'exterieur.

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      • #4
        Pour revenir à cette affaire, tant qu'on n'a pas lu ce fameux rapport, on se perd en conjectures.

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        • #5
          Cette histoire de commission d'enquete Onusienne a fait couler beaucoup d'encre. A mon avis, il y a deux aspects dans cette affaire : Le fond et la forme.

          Dans le fond, il est tout à fait légitime, par crainte par suspiscion ou tout autres considérations, que l'ONU veuille mener une enquete.

          Dans la forme et un peu dans le fond, la première des actions aurait été d'informer le représentant Algerien auprès de l'ONU. Athaaf Imen.

          Ban Ki Moon ne l'a pas fait. L'algerie l'a appris par communiqué de presse Onusien. Cette précaution diplomatique (celle d'avertir ou de convoquer le représentant algerien auprès de l'ONU) aurait évité le bras de fer. D'autant que (comme souligné par Bachi), l'ONU n'a pas compétence à mener enquete sur un territoire souverrain (Preuve les péripéties diplomatiques pour l'institution de la commisssion d'enquete dans le cadre de l'assassinat de Hariri).

          L'ONU n'ayant pas compétence (juridique s'entend) à mener enquete sur le territoire algerien, la coopération avec les autorités algeriennes est donc indispensable. La décision unilatérale de Ban Ki Moon peut donc facilement être entravée par l'Algerie.

          Sur la forme donc, ce fut une bourde Ban Ki Moon-ienne.
          Dernière modification par jawzia, 21 janvier 2008, 16h20.

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          • #6
            Algerie2008

            OUI , elle soutenait indirectement les pays aidant les terroristes financement ,armement et materiellement ...
            lorsque l Algerie avait besoin de soutient tout le monde , rien vue ni entendu uniquement les réjouissances quand l Algerie sera à genoux ,
            non et non pas besoin de suspicion de l ONU et de quiconque pour diviser le peuple algerien , BASTA !!
            Et l'Algérie soutenait directement des terroristes très connus comme Carlos par exemple. Le gouvernement algerien n'a jamais voulu du soutien de qui que ce soit et les rapports d'Amnesty International éclaire tous ceux qui se poseraient la question de pourquoi. Aujourd'hui encore le gouvernement algérien fait obstruction à une enquête comme s'ils avaient peur que l'on decouvre quelque chose qu'ils auraient oublié de dire..... Un innocent n'a pas peur de la justice qui plus est si l'enquête est menée par l'ONU qui n'hésitera pas à divulguer les noms des commanditaires s'ils les trouvent alors qu'il n'est pas sur que l'état algerien le fasse. La preuve Belkhadem ose affirmer que les auteurs sont connus simplement parce qu'ils l'auraient revendiqués en oubliant que les noms des chefs ou plutôt de ceux qui ont interêt à mettre l'algérie dans le chaos sont toujours dans l'ombre et c'est ceux là qu'il faut débusquer.
            Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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            • #7
              Aujourd'hui encore le gouvernement algérien fait obstruction à une enquête comme s'ils avaient peur que l'on decouvre quelque chose qu'ils auraient oublié de dire
              Il ne fait pas obstruction. Il a le droit de ne pas coopérer.

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              • #8
                Jawzia

                Déjà pour les enquêtes sur les massacres ils avaient refusé de coopérer, cela n'est ni une première ni une dernière sauf que cette fois en plus ils ont le culot de le dire.
                Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                • #9
                  Déjà pour les enquêtes sur les massacres ils avaient refusé de coopérer,
                  Avaient-ils obligation de le faire ?

                  Même une perquisition dans ton domicile Zwina, sur lequel tu n'as qu'une souveraineté limité, est conditionné par plusieurs préalables.

                  ONU, gouvernements ou ONG devraient faire preuve d'un peu plus de tacts et surtout d'humilité dans leur approches envers "les tiers-mondistes".

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                  • #10
                    Jawzia

                    Quant tu n'as rien à te reprocher tu laisses faire car cela ne peut que demontrer qui sont les vrais coupables mais la façon de faire du gouvernement ne laisse vraiment rien présager de bon et laisse même augurer le pire.....
                    Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                    • #11
                      Quant tu n'as rien à te reprocher tu laisses faire
                      Naif. Tu te laisseras faire souvent alors, dans un monde qui affectionne (très sélectivement) le " Droit d'ingérence".

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                      • #12
                        zwina

                        La preuve Belkhadem ose affirmer que les auteurs sont connus simplement parce qu'ils l'auraient revendiqués en oubliant que les noms des chefs ou plutôt de ceux qui ont interêt à mettre l'algérie dans le chaos sont toujours dans l'ombre et c'est ceux là qu'il faut débusquer.
                        Politiquement l Algerie ne veut pas se précipiter pour dénoncer pour qu il n y est pas un faux effet boomerang ..
                        le moment n est pas opportun , il faut des preuves encore convaincantes car cette question est délicate , les commenditaires de l extérieure ...
                        ps : pour zwina ?
                        L algerien n a jamais été un kamikaze à méditer ....

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                        • #13
                          algerie

                          slt ya quelqun derriere tous ca cai garantie , quils vont enqueter chez les juifs ou autres , et quils font les morts comme depuis 16 ans sur l algerie et tout iras bien

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                          • #14
                            Jawzia

                            Il s'agit d'une enquête pas d'une invasion et si le gouvernement souhaite la confiance du peuple, il va bien falloir leur demontrer qu'ils sont tout blanc ce dont nous sommes nombreux à douter. Il suffit de se rappeler l'affaire Khalifa pour comprendre comment la justice algerienne fonctionne et les derniers rebondissements dans cette affaire qui ont conduit à la remise en liberté par l'Angleterre de Khalifa ; cela parce que le gouvernement algerien a refusé de communiquer des pièces réclamées : anormal de la part d'un gouvernement qui n'aurait rien à se reprocher..........
                            Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                            • #15
                              Voici une lettre adressée par Amnesty Internationale à Bouteflika qui explique pourquoi l'ONU préfère mener sa propre enquête :

                              DÉCLARATION PUBLIQUE

                              Amnesty International demande au président algérien Abdelaziz Bouteflika de prendre des mesures efficaces pour mettre un terme à la torture et à la détention au secret de suspects présumés de terrorisme.

                              Dans une note envoyée au président, Amnesty International fournit des informations détaillées sur les résultats de ses recherches concernant l’arrestation et la détention de personnes soupçonnées de terrorisme au cours des quatre dernières années. Amnesty International invite les autorités algériennes à fournir des informations sur toute enquête qui aurait été menée sur les 12 cas particuliers d’allégations de détention au secret et de torture signalés à notre organisation depuis 2002.

                              Les recherches d’Amnesty International ont révélé qu’il existe toujours un risque réel de torture pour toute personne soupçonnée d’implication dans des activités terroristes. Le Département du renseignement et de la sécurité (DRS), le service de renseignement militaire algérien, joue un rôle clé dans l’arrestation et la détention de suspects de terrorisme.

                              Quand des suspects sont arrêtés et détenus par le DRS, où que ce soit, les garanties du droit international et algérien relatives à la protection des détenus sont régulièrement bafouées. Des suspects non inculpés sont maintenus systématiquement dans des lieux de détention secrets, sans aucun contact avec le monde extérieur, et des actes de torture et autres mauvais traitements sont régulièrement signalés. Les familles des personnes détenues par le DRS ne sont pas informées de leur lieu de détention.

                              Dans certains cas, des personnes restent détenues au secret par le DRS pendant des mois avant d’être traduites devant un juge. Quand elles comparaissent devant un juge pour la première fois, ces personnes ne sont généralement pas assistées d’un avocat. Si des détenus se plaignent aux autorités judiciaires d’avoir été torturées en détention par le DRS, leurs plaintes semblent régulièrement rejetées sans enquête.

                              Selon le droit algérien, les membres du DRS ont un statut militaire, mais doivent opérer sous l’autorité du procureur général quand ils arrêtent des suspects et les placent en détention. En pratique, cependant, aucune institution civile n’exerce de surveillance réelle sur les pratiques du DRS. Les procureurs ne font pas respecter les garanties du droit algérien, et ne seraient fréquemment pas informés des arrestations auxquelles procède le DRS.

                              Les suspects détenus par le DRS sont placés dans des baraquements militaires, qui ne sont pas des lieux de détention officiellement reconnus. Les procureurs ne semblent guère user de leur prérogative de visiter ces locaux pour s’assurer que les détenus sont traités dans le respect des normes édictées par le droit algérien.

                              Amnesty International demande au président algérien de restreindre les pouvoirs du DRS et d’instituer une surveillance civile efficace de toutes les détentions, afin de mettre un terme au système de détention au secret et de torture dont le DRS est responsable. Le DRS ne doit pas conserver des pouvoirs d’arrestation et de détention, qui doivent être réservés à d’autres responsables du maintien de l’ordre.

                              Amnesty International demande également au président algérien de :
                              faire respecter les garanties protégeant les détenus contre la détention au secret et la torture, telles qu’elles figurent dans le droit international et algérien, et mettre fin à la détention de suspects dans des lieux de détention non officiels ;
                              faire en sorte que toutes les allégations de torture ou autres mauvais traitements fassent l’objet d’une enquête, dans le respect des obligations internationales de l’Algérie, et que tous les responsables soient traduits en justice ;
                              transmettre au Rapporteur spécial des Nations unies sur la torture une invitation à se rendre en Algérie dans un avenir proche.

                              Pour obtenir un exemplaire du document Algeria: Torture in the "War on Terror" - A memorandum to the Algerian President (index AI : MDE 28/008/2006), voir http://web.amnesty.org/library/index/engmde280082006

                              Pour obtenir de plus amples informations, veuillez contacter le Service de presse d'Amnesty International à Londres, au +44 20 7413 5566, ou consulter le site http://www.amnesty.org
                              Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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