L'ambassade des Etats-Unis, à Alger, met en garde ses ressortissants contre des risques très élevés de terrorisme. Après les attentats du 11 décembre dans la capitale algérienne, les services de sécurité sont sur les dents. Mercredi dernier, c'est le Royaume-Uni qui avait mis en garde ses ressortissants.
Cette incursion américaine dans la sphère de la prévention anti-terroriste en territoire algérien n’a pas suscité de réaction des autorités, du moins jusqu’à présent. Par contre, quelques observateurs sont intrigués par la précision de cette alerte qui fait des restaurants, des boîtes de nuit ou des églises, des lieux à hauts risques. Il est vrai qu’ils ne sont pas protégés par des blocs de béton, comme plusieurs autres bâtiments publics.
En tout cas, l'alerte américaine n’a pas été appréciée par ceux qui jugent que Washington semble en savoir énormément sur l’activité terroriste en Algérie. On se rappelle qu’au lendemain des premiers attentats-suicides, le 11 avril 2007, cette ambassade avait lancé une mise en garde publique similaire contre de nouveaux attentats terroristes à Alger. Le chargé d’affaires américain avait alors été convoqué au ministère des Affaires étrangères pour s’en expliquer.
Aujourd’hui, on se demande à quoi rime cette récidive américaine, d’autant que depuis les attentats du 11 décembre dernier, le dispositif de sécurité préventive a été considérablement renforcé autour des principaux édifices publics et des principales ambassades. Ce nouvel avertissement américain a en tout cas contribué à accentuer l’inquiétude des Algérois.
RFI
Cette incursion américaine dans la sphère de la prévention anti-terroriste en territoire algérien n’a pas suscité de réaction des autorités, du moins jusqu’à présent. Par contre, quelques observateurs sont intrigués par la précision de cette alerte qui fait des restaurants, des boîtes de nuit ou des églises, des lieux à hauts risques. Il est vrai qu’ils ne sont pas protégés par des blocs de béton, comme plusieurs autres bâtiments publics.
En tout cas, l'alerte américaine n’a pas été appréciée par ceux qui jugent que Washington semble en savoir énormément sur l’activité terroriste en Algérie. On se rappelle qu’au lendemain des premiers attentats-suicides, le 11 avril 2007, cette ambassade avait lancé une mise en garde publique similaire contre de nouveaux attentats terroristes à Alger. Le chargé d’affaires américain avait alors été convoqué au ministère des Affaires étrangères pour s’en expliquer.
Aujourd’hui, on se demande à quoi rime cette récidive américaine, d’autant que depuis les attentats du 11 décembre dernier, le dispositif de sécurité préventive a été considérablement renforcé autour des principaux édifices publics et des principales ambassades. Ce nouvel avertissement américain a en tout cas contribué à accentuer l’inquiétude des Algérois.
RFI
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