Lundi 21 janvier 2008
Turbulences en vue
Le tribunal suprême espagnol devra rendre incessamment sa sentence
concernant la délivrance par l'Espagne du passeport apatride à
tous les sahraouis nés sous drapeau espagnol au sahara
c'est-à-dire avant 1975.
Selon la convention de New York du 28 septembre, le terme apatride s'applique à
toute personne qu'aucun État ne considère comme son ressortissant
par application de sa législation ce qui n'est pas le cas des
sahraouis marocains.
C'est sur que si la sentence du tribunal suprême est positive,
elle créera une véritable zizanie aux camps de Tindouf en
Algérie puisque tout les séquestrés peuvent quitter
l'Algérie librement. Au Maroc c'est une autre paire de manche.
Le gouvernement espagnol a voulu dernièrement recenser le nombre
de sahraouis encore vivants, nés sous l'occupation espagnol du sahara
marocain a demandé à l'Algérie et au dit "Front Polisario" de
l'autoriser à procéder à ce recensement se qu'ils ont
refusé.
Côté marocain, c'est le centre culturel espagnol à
Laâyoune "La Casa de Espana" à qui la tâche a été
demandée d'où le débordement de personnes qui se sont rués
vers ce centre culturel croyant que la nationalité espagnole allait
leur être délivrée…. Alors qu'il ne s'agissait que d'une
opération de recensement.
Turbulences en vue
Le tribunal suprême espagnol devra rendre incessamment sa sentence
concernant la délivrance par l'Espagne du passeport apatride à
tous les sahraouis nés sous drapeau espagnol au sahara
c'est-à-dire avant 1975.
Selon la convention de New York du 28 septembre, le terme apatride s'applique à
toute personne qu'aucun État ne considère comme son ressortissant
par application de sa législation ce qui n'est pas le cas des
sahraouis marocains.
C'est sur que si la sentence du tribunal suprême est positive,
elle créera une véritable zizanie aux camps de Tindouf en
Algérie puisque tout les séquestrés peuvent quitter
l'Algérie librement. Au Maroc c'est une autre paire de manche.
Le gouvernement espagnol a voulu dernièrement recenser le nombre
de sahraouis encore vivants, nés sous l'occupation espagnol du sahara
marocain a demandé à l'Algérie et au dit "Front Polisario" de
l'autoriser à procéder à ce recensement se qu'ils ont
refusé.
Côté marocain, c'est le centre culturel espagnol à
Laâyoune "La Casa de Espana" à qui la tâche a été
demandée d'où le débordement de personnes qui se sont rués
vers ce centre culturel croyant que la nationalité espagnole allait
leur être délivrée…. Alors qu'il ne s'agissait que d'une
opération de recensement.
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