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Après plusieurs mois de négociations difficiles, le gouvernement algérien et Emaar viennent de parvenir à un accord. Il concerne une partie des projets initialement prévus par le géant émirati en Algérie. Selon nos informations, le gouvernement, via le ministère des Participations, a décidé d’attribuer au groupe Emaar un terrain de 400 hectares pour la construction du futur complexe immobilier et touristique du Colonel Abbès dans la banlieue ouest d’Alger.
L’accord entres les deux parties devrait être signé dans les tous prochains jours. Il définira également les modalités de participation du gouvernement au projet. Montant de la transaction : 1 dinar symbolique. Emaar a en effet mis en avant le fait qu’il apportait plusieurs milliards de dollars d’investissements. Selon Hamid Temmar, le ministre des Participations, le groupe émarati va en effet investir plus de 5 milliards de dollars en Algérie.
Ce montant reste très éloigné des 25 milliards annoncés en juillet 2007 par Emaar et confirmés à l’époque par le gouvernement algérien. Et pour cause : comme nous l’avons révélé le 7 décembre, le groupe émirati a du geler tous ses autres projets initialement prévus en Algérie. Le gouvernement peine en effet à proposer des terrains sur la baie d’Alger. Les négociations avec les propriétaires de certaines parties qui intéresseraient Emaar sont en effet difficiles. Et le projet de la future mosquée d’Alger va occuper une surface importante, rendant les ambitions d’Emaar difficiles à concrétiser.
ali idir (TSA)
L’accord entres les deux parties devrait être signé dans les tous prochains jours. Il définira également les modalités de participation du gouvernement au projet. Montant de la transaction : 1 dinar symbolique. Emaar a en effet mis en avant le fait qu’il apportait plusieurs milliards de dollars d’investissements. Selon Hamid Temmar, le ministre des Participations, le groupe émarati va en effet investir plus de 5 milliards de dollars en Algérie.
Ce montant reste très éloigné des 25 milliards annoncés en juillet 2007 par Emaar et confirmés à l’époque par le gouvernement algérien. Et pour cause : comme nous l’avons révélé le 7 décembre, le groupe émirati a du geler tous ses autres projets initialement prévus en Algérie. Le gouvernement peine en effet à proposer des terrains sur la baie d’Alger. Les négociations avec les propriétaires de certaines parties qui intéresseraient Emaar sont en effet difficiles. Et le projet de la future mosquée d’Alger va occuper une surface importante, rendant les ambitions d’Emaar difficiles à concrétiser.
ali idir (TSA)
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