en marge des negociations sur l'accession de l'algérie à l'OMC:
(...)Des changements qui ont fait dire au chef de la délégation algérienne devant les pays négociateurs que « l’Algérie a gagné en stabilité, visibilité et transparence juridique depuis qu’elle a entamé ses négociations ». Il n’empêche que de lourds dossiers restent encore sur la table des négociations. A l’instar de l’ouverture du champ audiovisuel, la réintroduction de l’importation des véhicules usagés dits de moins de trois ans, les subventions accordées par le Fonds spécial de promotion des exportations (FSPE), les prix de l’énergie, la libéralisation du secteur des services, la propriété intellectuelle ainsi que le fonctionnement et le financement des entreprises publiques économiques (EPE), notamment celles assujetties à la privatisation. Le premier responsable du commerce a laissé entendre que le retour sur l’interdiction d’importer des véhicules usagés était « inéluctable ». En marge de la conférence de presse, une source ministérielle nous a affirmé que « l’Algérie a entamé la réflexion pour proposer un dispositif d’importation des véhicules d’occasion qui prémunirait l’économie nationale des dérives observées par le passé ». Outre l’exigence de n’autoriser que les véhicules répondant aux caractéristiques techniques requises par la législation algérienne, il s’agit également de faire bénéficier le Trésor public d’une manne fiscale qui lui a toujours échappé, ajoute encore notre source.
-elwatan-
(...)Des changements qui ont fait dire au chef de la délégation algérienne devant les pays négociateurs que « l’Algérie a gagné en stabilité, visibilité et transparence juridique depuis qu’elle a entamé ses négociations ». Il n’empêche que de lourds dossiers restent encore sur la table des négociations. A l’instar de l’ouverture du champ audiovisuel, la réintroduction de l’importation des véhicules usagés dits de moins de trois ans, les subventions accordées par le Fonds spécial de promotion des exportations (FSPE), les prix de l’énergie, la libéralisation du secteur des services, la propriété intellectuelle ainsi que le fonctionnement et le financement des entreprises publiques économiques (EPE), notamment celles assujetties à la privatisation. Le premier responsable du commerce a laissé entendre que le retour sur l’interdiction d’importer des véhicules usagés était « inéluctable ». En marge de la conférence de presse, une source ministérielle nous a affirmé que « l’Algérie a entamé la réflexion pour proposer un dispositif d’importation des véhicules d’occasion qui prémunirait l’économie nationale des dérives observées par le passé ». Outre l’exigence de n’autoriser que les véhicules répondant aux caractéristiques techniques requises par la législation algérienne, il s’agit également de faire bénéficier le Trésor public d’une manne fiscale qui lui a toujours échappé, ajoute encore notre source.
-elwatan-
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