Algérie : Aigle Azur sur les traces de Khalifa ?
Par rafik tayeb le 27/01/2008 à 10:01
Incidents techniques à répétition sur ses avions, des témoignages de voyageurs mécontents de plus en plus nombreux, une qualité des prestations à bord des avions en chute libre…Depuis quelques semaines, la compagnie française Aigle Azur traverse une zone de turbulences. En moins d’un mois, plusieurs plaintes ont été déposées en France par des voyageurs mécontents : une femme enceinte malmenée à l’aéroport d’Orly, un passager refoulé de l’aéroport d’Alger pour 10 minutes de retard et, la semaine dernière à Oran, une Française a été "insultée" par un responsable de l’escale locale de la compagnie. A chaque fois, les responsables de la compagnie promettent une « enquête ». Mais le résultat est toujours le même : aucune sanction ne tombe.
Interrogé par « ******************** » sur ces incidents, Aigle Azur s’est refusée à tout commentaire. « Je ne suis pas au courant », s’est contentée d’indiquer la porte-parole de la compagnie. Quat aux incidents techniques sur les avions, la compagnie les juge « normaux ». En réalité, les responsables d’Aigle Azur semblent dépassés par les événements.
Rachetée en 2001 par le groupe Gofast de l’homme d’affaires algérien Arezki Idjerouidène –qui venait de vendre son ancienne compagnie Antinéa au groupe Khalifa-, Aigle Azur traverse une crise de croissance. Autre soucis : la majorité des responsables de la compagnie en Algérie sont d’anciens cadres de Khalifa Airways qui ont gardé les réflexes acquis au sein de leur ancienne entreprise.
Par rafik tayeb le 27/01/2008 à 10:01
Incidents techniques à répétition sur ses avions, des témoignages de voyageurs mécontents de plus en plus nombreux, une qualité des prestations à bord des avions en chute libre…Depuis quelques semaines, la compagnie française Aigle Azur traverse une zone de turbulences. En moins d’un mois, plusieurs plaintes ont été déposées en France par des voyageurs mécontents : une femme enceinte malmenée à l’aéroport d’Orly, un passager refoulé de l’aéroport d’Alger pour 10 minutes de retard et, la semaine dernière à Oran, une Française a été "insultée" par un responsable de l’escale locale de la compagnie. A chaque fois, les responsables de la compagnie promettent une « enquête ». Mais le résultat est toujours le même : aucune sanction ne tombe.
Interrogé par « ******************** » sur ces incidents, Aigle Azur s’est refusée à tout commentaire. « Je ne suis pas au courant », s’est contentée d’indiquer la porte-parole de la compagnie. Quat aux incidents techniques sur les avions, la compagnie les juge « normaux ». En réalité, les responsables d’Aigle Azur semblent dépassés par les événements.
Rachetée en 2001 par le groupe Gofast de l’homme d’affaires algérien Arezki Idjerouidène –qui venait de vendre son ancienne compagnie Antinéa au groupe Khalifa-, Aigle Azur traverse une crise de croissance. Autre soucis : la majorité des responsables de la compagnie en Algérie sont d’anciens cadres de Khalifa Airways qui ont gardé les réflexes acquis au sein de leur ancienne entreprise.
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