bonjour et bonne journée a tous..
Le jours se lève !
Le jour se lève ! Qu’elle en sera ma raison
Qu’elle en sera la conclusion
Il achève mon rêve, Qu’il en fera de mon nom
Qu’il en fera de mes vœux
Je me lève, au travers de la fenêtre
Je contemple le ciel, et ses dernières étoiles
Je me lave, au travers le miroir
Je me regarde sur les déboires
Ce n’est qu’un soupire
Comme à l’accoutume
Trop de souvenirs se rappelles
Comme les âges de cette terre
Ce n’est qu’un reflet, de l’enclume
Trop faites de faits et de pensées
Mais aujourd’hui change, j’ai la joie dans le cœur
J’ai le courage au fond de la gorge
Je veux faire face à ce jour
Faire mes épreuves en soleil
Et réclamer mon droit au bonheur
Je veux partager une joie
Avec ceux que j’aime, de ceux qui m’aime
Sortire de l’ombre et réchauffé mes os
Au soleil tendre… sans soucis
Mon corps se dégèle des nuits glaciales
De l’abîme des pensées pétrifiantes
Mon cœur s’ouvre les portes de l’amour
Et s’en va courant les champs des plaines
De mes ancêtres vaillants,
Je les vois l’un près de l’autre fières
De mes volontés vaillantes…
Qu’elle en sera la raison
Peut être n’est ce qu’une bonne volonté
Peut être éclot-elle que d’un cœur révolté
Postr@
Le jours se lève !
Le jour se lève ! Qu’elle en sera ma raison
Qu’elle en sera la conclusion
Il achève mon rêve, Qu’il en fera de mon nom
Qu’il en fera de mes vœux
Je me lève, au travers de la fenêtre
Je contemple le ciel, et ses dernières étoiles
Je me lave, au travers le miroir
Je me regarde sur les déboires
Ce n’est qu’un soupire
Comme à l’accoutume
Trop de souvenirs se rappelles
Comme les âges de cette terre
Ce n’est qu’un reflet, de l’enclume
Trop faites de faits et de pensées
Mais aujourd’hui change, j’ai la joie dans le cœur
J’ai le courage au fond de la gorge
Je veux faire face à ce jour
Faire mes épreuves en soleil
Et réclamer mon droit au bonheur
Je veux partager une joie
Avec ceux que j’aime, de ceux qui m’aime
Sortire de l’ombre et réchauffé mes os
Au soleil tendre… sans soucis
Mon corps se dégèle des nuits glaciales
De l’abîme des pensées pétrifiantes
Mon cœur s’ouvre les portes de l’amour
Et s’en va courant les champs des plaines
De mes ancêtres vaillants,
Je les vois l’un près de l’autre fières
De mes volontés vaillantes…
Qu’elle en sera la raison
Peut être n’est ce qu’une bonne volonté
Peut être éclot-elle que d’un cœur révolté
Postr@
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