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Le bureau d’Alger de l’Institut italien pour le commerce extérieur, dans le dernier numéro de sa revue Cresscendo, fait le point sur les relations économiques entre les deux pays. D’emblée, son directeur, M. Samuel Porsia, évoque dans l’éditorial le grand intérêt des entreprises italiennes pour la privatisation en Algérie. Ce responsable relève la confiance dans le made in Italy reflété par le montant des contrats attribués à des entreprises italiennes : 4 milliards d’euros. La revue comporte également un entretien accordé par Réda Hamiani, président du Forum des chefs d’entreprise. Ce dernier constate que le partenariat algéro-italien est en deçà des attentes et aux possibilités objectives existantes. Il mériterait “d’être porté à un niveau plus important via notamment l’amélioration de l’image de l’Algérie en Italie, la multiplication des visites des chefs d’entreprise dans chacun des pays. Le FCE milite, a-t-il ajouté, pour la multiplication des partenariats entre les entreprises algériennes et étrangères.
La raison est simple et trouve sa justification à travers ce rapprochement d’entreprises dans la recherche d’une mise à niveau générale des sociétés locales fragilisées et amoindries par l’ouverture commerciale de ces dernières années qui leur a imposé une concurrence redoutable, alors qu’elles étaient à peine sorties d’une période doublement affectée par le programme d’ajustement structurel et des affres de la période trouble qui l’a suivi. Ce partenariat doit obéir à une logique gagnant/gagnant”. À noter que l’Italie reste le second partenaire commercial de l’Algérie après les États-Unis. Il demeure le second client du pays avec 8,9 milliards de dollars d’exportations en 2007. Il reste également son second fournisseur avec 2,368 milliards de dollars d’importations de produits italiens l’année dernière. L’Algérie est le premier fournisseur en gaz de l’Italie. Avec le Galsi, les ventes de gaz à ce pays vont être portées de 26 milliards de m3/an actuellement à 40 milliards de m3/an en 2012.
Source : Liberté
La raison est simple et trouve sa justification à travers ce rapprochement d’entreprises dans la recherche d’une mise à niveau générale des sociétés locales fragilisées et amoindries par l’ouverture commerciale de ces dernières années qui leur a imposé une concurrence redoutable, alors qu’elles étaient à peine sorties d’une période doublement affectée par le programme d’ajustement structurel et des affres de la période trouble qui l’a suivi. Ce partenariat doit obéir à une logique gagnant/gagnant”. À noter que l’Italie reste le second partenaire commercial de l’Algérie après les États-Unis. Il demeure le second client du pays avec 8,9 milliards de dollars d’exportations en 2007. Il reste également son second fournisseur avec 2,368 milliards de dollars d’importations de produits italiens l’année dernière. L’Algérie est le premier fournisseur en gaz de l’Italie. Avec le Galsi, les ventes de gaz à ce pays vont être portées de 26 milliards de m3/an actuellement à 40 milliards de m3/an en 2012.
Source : Liberté