J'ai pensé qu'il fallait bien prendre la température du point de vue des partisans du statut-quo politique en algérie, en voici une traduction pleine de contardictions.
L’appel de la raison et du cœur
Les Algériens ont vu juste, lorsqu’en 1999, ils avaient fait appel au Président Bouteflika pour affronter — c’est le mot — les difficultés que le pays connaissait et apporter les solutions que l’on attendait. Personne, en 1999, ne se faisait pratiquement la moindre illusion sur les chances que nous avions de rétablir la sécurité dans tout le pays, normaliser la situation de trouble qui sévissait depuis non pas l’ère du terrorisme mais bien avant et d’engager le pays dans la voie de la concorde et de la réconciliation nationale. Bouteflika a fait des propositions dans ce sens aux Algériens qui ont marché avec lui, mais, il faut le reconnaître, encore sceptiques sur l’avenir, tant la déception de tous était grande et les moyens manquaient. Plus que les moyens, l’Algérie avait besoin de droiture et de sérieux, de volonté politique réelle et d’un homme capable d’être à la hauteur des défis. Elle l’a trouvé en Abdelaziz Bouteflika et ne s’est donc pas trompée sur son choix.
Durant le premier mandat, les citoyens ont commencé à reprendre espoir et à se dire qu’ils avaient enfin le Président que la situation exigeait. Au plan interne, la confiance a été rétablie. Toutes les promesses faites ont été respectées. Une série de réformes a été engagée avec succès et les phénomènes d’antan, la mauvaise gestion, la corruption à grande échelle et le népotisme ont reculé. A l’approche de la fin du premier mandat, les résultats obtenus sont indéniables. Les habitudes des Algériens ont changé dans le meilleur sens, la stabilité politique et la sécurité sont retrouvées, la vie économique bouge, le font social, très tendu durant deux décennies, se détendait enfin et l’Algérie retrouvait sa place sur la scène internationale. Aussi, les citoyens ont commencé à se mobiliser pour inviter le Président Bouteflika à se présenter à un second mandat. Partis politiques, le FLN en tête, associations civiles et simples citoyens à travers le territoire national s’organisaient et pressaient le Président de se porter candidat aux élections du 8 avril 2004. Les résultats de ce scrutin sont historiques. Rien à redire et personne n’a eu rien à redire, en dehors de ceux qui auraient aimé faire l’impasse sur la volonté populaire. La volonté de l’Algérie profonde qui sait attendre, qui sait choisir et qui ne se trompe pas. De l’étranger, les messages de soutien sont à la mesure de la confiance accordée au Président Bouteflika. L’ancien président français Jacques Chirac s’est déplacé, en personne à Alger, pour féliciter le Président Bouteflika qui se trouvait face à un autre défi majeur : relancer la croissance et s’attaquer aux problèmes de désendettement, de chômage, de la pauvreté et de consolider les réformes engagées. Un plan ambitieux, jamais lancé par un pays de la taille de l’Algérie, est mis en œuvre : plus de 50 milliards de dollars pour la période 2005-2009. Le pays est entré dans la phase des grands chantiers : un million de logements à réaliser, une autoroute de 1.200 km, des chemins de fer, des barrages, etc..
Une nouvelle fois, les citoyens sont devant leurs responsabilité. Ils veulent que le Président poursuive sa mission. C’est trop risqué de changer une équipe qui gagne. C’est la loi dans le sport, comme en politique. Les Algériens sont, une fois de plus, devant une situation qui leur commande de ne pas faire dans le risque. On sait ce qu’il nous en coûte. Pour cela, partis politiques, associations et citoyens se mobilisent pour le même objectif qu’en 2004 : convaincre le Président Bouteflika de poursuivre sa mission. Il faut donc que la Constitution soit amendée pour que tout soit fait dans la légalité et le respect de la volonté populaire. C’est le vœu des citoyens, de la classe politique la plus large, des associations civiles, en fait de l’Algérie profonde tout entière, celle qui a travaillé dur, celle qui paie les impôts et sait mourir face au terrorisme et pour la démocratie.
El moujahid fi Sabil Bouteflika
Les Algériens ont vu juste, lorsqu’en 1999, ils avaient fait appel au Président Bouteflika pour affronter — c’est le mot — les difficultés que le pays connaissait et apporter les solutions que l’on attendait. Personne, en 1999, ne se faisait pratiquement la moindre illusion sur les chances que nous avions de rétablir la sécurité dans tout le pays, normaliser la situation de trouble qui sévissait depuis non pas l’ère du terrorisme mais bien avant et d’engager le pays dans la voie de la concorde et de la réconciliation nationale. Bouteflika a fait des propositions dans ce sens aux Algériens qui ont marché avec lui, mais, il faut le reconnaître, encore sceptiques sur l’avenir, tant la déception de tous était grande et les moyens manquaient. Plus que les moyens, l’Algérie avait besoin de droiture et de sérieux, de volonté politique réelle et d’un homme capable d’être à la hauteur des défis. Elle l’a trouvé en Abdelaziz Bouteflika et ne s’est donc pas trompée sur son choix.
Durant le premier mandat, les citoyens ont commencé à reprendre espoir et à se dire qu’ils avaient enfin le Président que la situation exigeait. Au plan interne, la confiance a été rétablie. Toutes les promesses faites ont été respectées. Une série de réformes a été engagée avec succès et les phénomènes d’antan, la mauvaise gestion, la corruption à grande échelle et le népotisme ont reculé. A l’approche de la fin du premier mandat, les résultats obtenus sont indéniables. Les habitudes des Algériens ont changé dans le meilleur sens, la stabilité politique et la sécurité sont retrouvées, la vie économique bouge, le font social, très tendu durant deux décennies, se détendait enfin et l’Algérie retrouvait sa place sur la scène internationale. Aussi, les citoyens ont commencé à se mobiliser pour inviter le Président Bouteflika à se présenter à un second mandat. Partis politiques, le FLN en tête, associations civiles et simples citoyens à travers le territoire national s’organisaient et pressaient le Président de se porter candidat aux élections du 8 avril 2004. Les résultats de ce scrutin sont historiques. Rien à redire et personne n’a eu rien à redire, en dehors de ceux qui auraient aimé faire l’impasse sur la volonté populaire. La volonté de l’Algérie profonde qui sait attendre, qui sait choisir et qui ne se trompe pas. De l’étranger, les messages de soutien sont à la mesure de la confiance accordée au Président Bouteflika. L’ancien président français Jacques Chirac s’est déplacé, en personne à Alger, pour féliciter le Président Bouteflika qui se trouvait face à un autre défi majeur : relancer la croissance et s’attaquer aux problèmes de désendettement, de chômage, de la pauvreté et de consolider les réformes engagées. Un plan ambitieux, jamais lancé par un pays de la taille de l’Algérie, est mis en œuvre : plus de 50 milliards de dollars pour la période 2005-2009. Le pays est entré dans la phase des grands chantiers : un million de logements à réaliser, une autoroute de 1.200 km, des chemins de fer, des barrages, etc..
Une nouvelle fois, les citoyens sont devant leurs responsabilité. Ils veulent que le Président poursuive sa mission. C’est trop risqué de changer une équipe qui gagne. C’est la loi dans le sport, comme en politique. Les Algériens sont, une fois de plus, devant une situation qui leur commande de ne pas faire dans le risque. On sait ce qu’il nous en coûte. Pour cela, partis politiques, associations et citoyens se mobilisent pour le même objectif qu’en 2004 : convaincre le Président Bouteflika de poursuivre sa mission. Il faut donc que la Constitution soit amendée pour que tout soit fait dans la légalité et le respect de la volonté populaire. C’est le vœu des citoyens, de la classe politique la plus large, des associations civiles, en fait de l’Algérie profonde tout entière, celle qui a travaillé dur, celle qui paie les impôts et sait mourir face au terrorisme et pour la démocratie.
El moujahid fi Sabil Bouteflika
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