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Les autorités de la wilaya de Boumerdès, parmi lesquelles l’on notait la présence, le jour de l’attentat, du P/APW, du procureur général de la cour de Boumerdès, du commandant du secteur militaire, du commandant du groupement de la Gendarmerie de Boumerdès et d’autres responsables sur les lieux, ont opté pour la transparence sur les conséquences de l’attaque de mardi dernier contre la BMPJ de Thénia. De leur côté, les responsables de la daïra et de la commune se sont mobilisés dès les premiers instants du drame pour aider les familles sinistrées.
Les autorités de la wilaya n’ont pas hésité à communiquer les faits marquants découlant de ce nouveau drame. Sitôt arrêté, le bilan des victimes a été communiqué aux journalistes. Par ailleurs, un certain nombre de décisions, avec effet immédiat ont été prises par le wali de Boumerdès qui a effectué une première visite, vers 7 heures 30 du matin sur les lieux pour s’enquérir de la situation. A sa seconde venue vers 10 heures, M. Bédrici Ali a ordonné la constitution d’une cellule de crise au niveau de la daïra de Thénia.
L’ordre a été également donné de reloger les 16 familles sinistrées avant la fin de la journée dans des habitations neuves à Ouled Moussa. De même qu’une commission d’évaluation des dégâts a été créée. Concernant la prise en charge de la reconstruction des édi- fices endommagés, M. Bédrici nous a déclaré que les propriétaires privés seront aidés pour faire face aux dépenses de reconstruction, par contre la réhabilitation des bâtisses officielles, notamment la poste et le siège de la BMPJ, les travaux seront lancés très prochainement et les dépenses seront imputées sur le budget de l’Etat.
De même que le premier responsable de la wilaya avait promis de solliciter le ministère de la Solidarité nationale en vue de demander une aide en faveur des commerçants qui ont subi des dégâts. Il y a lieu de signaler la disponibilité du corps médical et paramédical, de l’hôpital de Thénia, qui se sont fortement mobilisés pour la prise en charge médicale et psychologique des blessés et de leurs proches. Quant aux postiers, en dépit de l’état de leur institution, ils ont tout de même rejoint leurs postes de travail respectifs à 8 heures du matin en vue de récupérer les documents de travail avant que les agents communaux n’évacuent les ruines.
Abachi L. (Le Soir d'Algérie)
Les autorités de la wilaya n’ont pas hésité à communiquer les faits marquants découlant de ce nouveau drame. Sitôt arrêté, le bilan des victimes a été communiqué aux journalistes. Par ailleurs, un certain nombre de décisions, avec effet immédiat ont été prises par le wali de Boumerdès qui a effectué une première visite, vers 7 heures 30 du matin sur les lieux pour s’enquérir de la situation. A sa seconde venue vers 10 heures, M. Bédrici Ali a ordonné la constitution d’une cellule de crise au niveau de la daïra de Thénia.
L’ordre a été également donné de reloger les 16 familles sinistrées avant la fin de la journée dans des habitations neuves à Ouled Moussa. De même qu’une commission d’évaluation des dégâts a été créée. Concernant la prise en charge de la reconstruction des édi- fices endommagés, M. Bédrici nous a déclaré que les propriétaires privés seront aidés pour faire face aux dépenses de reconstruction, par contre la réhabilitation des bâtisses officielles, notamment la poste et le siège de la BMPJ, les travaux seront lancés très prochainement et les dépenses seront imputées sur le budget de l’Etat.
De même que le premier responsable de la wilaya avait promis de solliciter le ministère de la Solidarité nationale en vue de demander une aide en faveur des commerçants qui ont subi des dégâts. Il y a lieu de signaler la disponibilité du corps médical et paramédical, de l’hôpital de Thénia, qui se sont fortement mobilisés pour la prise en charge médicale et psychologique des blessés et de leurs proches. Quant aux postiers, en dépit de l’état de leur institution, ils ont tout de même rejoint leurs postes de travail respectifs à 8 heures du matin en vue de récupérer les documents de travail avant que les agents communaux n’évacuent les ruines.
Abachi L. (Le Soir d'Algérie)