Les surliquidités sous lesquelles croulent les banques publiques sont en phase de trouver un placement dans un secteur sur, rentable et avec un partenaire de premier choix. En effet, sollicitées par Sonatrach, plusieurs banques publiques ont décidé de mettre la main à la poche pour financer les 11 projets de pétrochimie que compte réaliser la société nationale des hydrocarbures.
Selon des sources proches de Sonatrach, les montants récoltés auprès des banques devraient atteindre 12 milliards de dollars sur les 20 milliards prévus pour financer la totalité des projets pétrochimiques de la compagnie. Ces projets seront réalisés avec des partenaires étrangers (51% pour Sonatrach et 49% pour les étrangers) qui apporteraient le solde.
Sonatrach a déjà conclu trois accords avec des partenaires étrangers. Le premier porte sur la réalisation d’un complexe de production de méthanol dans la zone industriel d’Arzew près d’Oran avec un consortium de sociétés internationales (Quraîn du Koweît, Lurgi de l’Allemagne, PPSL de la Trinidad, Mitsui du Japon et Sotraco d’algérie) pour 1 milliard de dollars. Total a raflé le second contrat de 3 milliards de dollars portant sur la réalisation dans la même zone d’un complexe de vapocraquage d’éthane. Le troisième contrat, d’un montant de 1,46 milliard de dollars, a été conclu avec l’égyptien Orascom. IL concerne la réalisation d’un complexe d’ammoniac à Arzew.
Selon nos sources, la Banque extérieure d’Algérie (BEA) - qui est la banque de Sonatrach- et la Caisse nationale d’épargne et de prévoyance (CNEP) ont déjà finalisé les dossiers de financement d’une part importante des projets de Sonatrach. La Cnep, l’une des banques les plus « riches » du pays, serait sur le point de lui accorder une première tranche de 70 milliards de dinars (700 millions d’euros).
Ce recours aux crédits des banques publiques permet, selon les observateurs, d’éviter à Sonatrach de solliciter des financements extérieurs plus coûteux. Cette méthode est également bénéfique pour les banques algériennes : elle leur permet de fructifier et de mieux placer leur argent.
ghania amriout (TSA)
Selon des sources proches de Sonatrach, les montants récoltés auprès des banques devraient atteindre 12 milliards de dollars sur les 20 milliards prévus pour financer la totalité des projets pétrochimiques de la compagnie. Ces projets seront réalisés avec des partenaires étrangers (51% pour Sonatrach et 49% pour les étrangers) qui apporteraient le solde.
Sonatrach a déjà conclu trois accords avec des partenaires étrangers. Le premier porte sur la réalisation d’un complexe de production de méthanol dans la zone industriel d’Arzew près d’Oran avec un consortium de sociétés internationales (Quraîn du Koweît, Lurgi de l’Allemagne, PPSL de la Trinidad, Mitsui du Japon et Sotraco d’algérie) pour 1 milliard de dollars. Total a raflé le second contrat de 3 milliards de dollars portant sur la réalisation dans la même zone d’un complexe de vapocraquage d’éthane. Le troisième contrat, d’un montant de 1,46 milliard de dollars, a été conclu avec l’égyptien Orascom. IL concerne la réalisation d’un complexe d’ammoniac à Arzew.
Selon nos sources, la Banque extérieure d’Algérie (BEA) - qui est la banque de Sonatrach- et la Caisse nationale d’épargne et de prévoyance (CNEP) ont déjà finalisé les dossiers de financement d’une part importante des projets de Sonatrach. La Cnep, l’une des banques les plus « riches » du pays, serait sur le point de lui accorder une première tranche de 70 milliards de dinars (700 millions d’euros).
Ce recours aux crédits des banques publiques permet, selon les observateurs, d’éviter à Sonatrach de solliciter des financements extérieurs plus coûteux. Cette méthode est également bénéfique pour les banques algériennes : elle leur permet de fructifier et de mieux placer leur argent.
ghania amriout (TSA)
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