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Le Conseil de sécurité des Nations unies a été réuni en urgence dimanche après-midi pour examiner la situation au Tchad, où des troupes rebelles sont entrées dans la capitale N'Djamena. Dans un communiqué, le secrétaire général de l'organisation Ban Ki-moon s'est dit "profondément alarmé" par la situation au Tchad.
Alors que certains des combattants semblent venir du Soudan voisin, Ban Ki-moon "appelle tous les pays de la région à respecter l'inviolabilité des frontières internationales et à prévenir toute incursion lancée à partir de leur territoire".
L'armée tchadienne accuse les troupes soudanaises d'être intervenues à Adré, près de la frontière entre les deux pays, et la France a accusé le Soudan de fournir "un soutien logistique incontestable" à la rébellion au Tchad pour "liquider" le régime d'Idriss Déby.
Un porte-parole des rebelles, Ousmane Hissein, du Mouvement démocratique pour la justice au Tchad (MDJT), accusait de son côté le président Déby de faire venir "des mercenaires centrafricains et soudanais" pour l'aider.
source : AP
Alors que certains des combattants semblent venir du Soudan voisin, Ban Ki-moon "appelle tous les pays de la région à respecter l'inviolabilité des frontières internationales et à prévenir toute incursion lancée à partir de leur territoire".
L'armée tchadienne accuse les troupes soudanaises d'être intervenues à Adré, près de la frontière entre les deux pays, et la France a accusé le Soudan de fournir "un soutien logistique incontestable" à la rébellion au Tchad pour "liquider" le régime d'Idriss Déby.
Un porte-parole des rebelles, Ousmane Hissein, du Mouvement démocratique pour la justice au Tchad (MDJT), accusait de son côté le président Déby de faire venir "des mercenaires centrafricains et soudanais" pour l'aider.
source : AP