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Challenges.fr | 04.02.2008 | 16:48 | Réagir à l'article
Le projet vise à réduire la dépendance des Européens vis-à-vis des importations de Russie.
Le président roumain Traian Basescu a assuré, lundi 4 février, que Gaz de France sera "associé" au projet de construction du gazoduc européen Nabucco.
"La Roumanie soutiendra son implication", a-t-il déclaré au cours d'une conférence de presse conjointe avec son homologue français Nicolas Sarkozy.
Le projet Nabucco prévoit la construction d'un gazoduc de 3.300 km de long pour transporter le gaz en provenance du Moyen-Orient et d'Asie vers l'Union européenne, en passant par la Turquie et le sud-est de l'Europe, afin de réduire la dépendance des Européens vis-à-vis des importations de Russie.
Décision sur la construction reportée au 1er trimestre 2008
Les cinq pays déjà associés (Turquie, Roumanie, Bulgarie, Hongrie et Autriche) sont à la recherche d'un sixième partenaire pour réaliser d'ici à 2012 ce gazoduc qui partirait de la Caspienne jusqu'à l'Autriche en passant par les Balkans.
Une décision sur la construction était attendue pour la fin 2007 mais a été reportée au premier trimestre 2008, selon le partenaire autrichien du consortium, le groupe pétrolier OMV.
Le projet présente un coût évalué à quelque 5 milliards d'euros.
Le projet vise à réduire la dépendance des Européens vis-à-vis des importations de Russie.
Le président roumain Traian Basescu a assuré, lundi 4 février, que Gaz de France sera "associé" au projet de construction du gazoduc européen Nabucco.
"La Roumanie soutiendra son implication", a-t-il déclaré au cours d'une conférence de presse conjointe avec son homologue français Nicolas Sarkozy.
Le projet Nabucco prévoit la construction d'un gazoduc de 3.300 km de long pour transporter le gaz en provenance du Moyen-Orient et d'Asie vers l'Union européenne, en passant par la Turquie et le sud-est de l'Europe, afin de réduire la dépendance des Européens vis-à-vis des importations de Russie.
Décision sur la construction reportée au 1er trimestre 2008
Les cinq pays déjà associés (Turquie, Roumanie, Bulgarie, Hongrie et Autriche) sont à la recherche d'un sixième partenaire pour réaliser d'ici à 2012 ce gazoduc qui partirait de la Caspienne jusqu'à l'Autriche en passant par les Balkans.
Une décision sur la construction était attendue pour la fin 2007 mais a été reportée au premier trimestre 2008, selon le partenaire autrichien du consortium, le groupe pétrolier OMV.
Le projet présente un coût évalué à quelque 5 milliards d'euros.