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13 pilotes d'air algérie empêchés de se rendre au Maroc

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  • 13 pilotes d'air algérie empêchés de se rendre au Maroc

    Ouverture du dossier de l’augmentation des salaires sous la pression
    13 pilotes d’Air Algérie empêchés de se rendre au Maroc

    La compagnie Air Algérie a empêché quelques pilotes de partir au Maroc pour passer un test de la compagnie « Oman Airways » le 14 Février.
    Le conseil d’administration d’Air Algérie s’est réuni, hier, pour étudier le dossier de la révision des salaires afin d’arrêter l’hémorragie des pilotes.
    Le vice-président du syndicat des pilotes autonomes, M. Abdelkarim Sekouane a affirmé que les 13 pilotes ont été interdits de bénéficier des billets d’avion pour le Maroc, en dépit du règlement intérieur qui accorde à ces derniers le droit de bénéficier gratuitement de ces billets vers n’importe quelle destination. De ce fait, ces pilotes ont acheté ces billets avec leur propre argent. Il est prévu que ces pilotes passent un examen technique à Casablanca au Maroc avant de rejoindre la compagnie « Oman Airways ».
    Le représentant du syndicat des pilotes autonomes a déclaré, dans le même cadre, que l’administration d’Air Algérie a refusé des préavis de démission déposés par ces pilotes, déposés une semaine après la démission de trois autres pilotes. L’administration a exigé de ces pilotes des préavis de six mois.
    Il a indiqué que cette condition est une infraction aux clauses de la convention collective, signée entre le partenaire social et l’administration, et que la démission devrait être précédée d’un préavis de deux mois uniquement, a-t-il ajouté.
    Les pilotes ont justifié leur démission par l’absence de confiance entre les employés et l’administration. Ils l’ont également justifiée par les promesses de l’administration d’augmenter les salaires des pilotes, qui remontent à six mois, mais qui n’ont pas été respectées.
    Ils ont déclaré que les conditions de travail ne se sont pas améliorées, et que la pression à cause des heures supplémentaires et le non respect des normes internationales concernant les heures de travail du pilote.



    el khabar.

  • #2
    13 pilotes d’Air Algérie empêchés de se rendre au Maroc

    La compagnie Air Algérie a empêché quelques pilotes de partir au Maroc pour passer un test de la compagnie « Oman Airways » le 14 Février. Le conseil d’administration d’Air Algérie s’est réuni, hier, pour étudier le dossier de la révision des salaires afin d’arrêter l’hémorragie des pilotes.

    Le vice-président du syndicat des pilotes autonomes, M. Abdelkarim Sekouane a affirmé que les 13 pilotes ont été interdits de bénéficier des billets d’avion pour le Maroc, en dépit du règlement intérieur qui accorde à ces derniers le droit de bénéficier gratuitement de ces billets vers n’importe quelle destination.

    De ce fait, ces pilotes ont acheté ces billets avec leur propre argent. Il est prévu que ces pilotes passent un examen technique à Casablanca au Maroc avant de rejoindre la compagnie « Oman Airways ».

    Le représentant du syndicat des pilotes autonomes a déclaré, dans le même cadre, que l’administration d’Air Algérie a refusé des préavis de démission déposés par ces pilotes, déposés une semaine après la démission de trois autres pilotes. L’administration a exigé de ces pilotes des préavis de six mois.

    Il a indiqué que cette condition est une infraction aux clauses de la convention collective, signée entre le partenaire social et l’administration, et que la démission devrait être précédée d’un préavis de deux mois uniquement, a-t-il ajouté.

    Les pilotes ont justifié leur démission par l’absence de confiance entre les employés et l’administration. Ils l’ont également justifiée par les promesses de l’administration d’augmenter les salaires des pilotes, qui remontent à six mois, mais qui n’ont pas été respectées. Ils ont déclaré que les conditions de travail ne se sont pas améliorées, et que la pression à cause des heures supplémentaires et le non respect des normes internationales concernant les heures de travail du pilote.

    El Annabi
    Par C. Mohammed/ Rubrique Traduction - El Khabar
    A todo cerdo le llega su San Martín.

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    • #3
      L’administration a exigé de ces pilotes des préavis de six mois.

      Il a indiqué que cette condition est une infraction aux clauses de la convention collective, signée entre le partenaire social et l’administration, et que la démission devrait être précédée d’un préavis de deux mois uniquement, a-t-il ajouté.


      ..................................

      Au lieu d'aligner leur salaire sur celui des pilotes des autres pays pour les retenir, l'administration fait dans l'exigence débile.

      6 mois! C'est vite passé et apres ?

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      • #4
        L'administration d'Air Algérie est plus dans la répression que dans la négotiation. Ce n'est surement pas en modifiant les règles à postériori qu'elle retiendra ses cadres et pilotes.

        La guerre des talents existe bel et bien et l'Algérie le subit au quotidien de plein fouet au lieu de chercher à mettre en place une politique RH attractive : rémunération, formation, environnement de travail, gestion des carrières...

        Dans quelques années, il faudra aller chercher ailleurs les compétences algériennes si elles acceptent de revenir au pays car d'içi là il sera peut être déjà trop tard...

        A bon entendeur

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        • #5
          algerie

          slt air algerie et tous les autres elites devrait avoir un contrat dument signe leurs interdisant tout depart pendant x annees sinon pas de formation ni contrat, l etat forme des elites en tous genre a coup de millions de dollars et ensuite cai les autres pays qui en profite , faudra que l etat fasse quelque chose

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          • #6
            ils sont pans en greve normalement ? c'est bien la preuve qu'il y a des problemes dans la societe nationale, faut revaloriser les salaires ça c'est sur !

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            • #7
              Air Algérie: cet avion sans pilote
              13 Février 2008 - Page : 24
              Lu 320 fois

              Le personnel d’Air Algérie est abasourdi: il n’arrive pas à comprendre pourquoi la compagnie est restée plus de six mois sans que l’on désigne un directeur général pour succéder à feu Tayeb Benouis. Des noms de potentiels candidats avaient pourtant circulé durant quelques semaines, sans que l’on parvienne pour autant à sortir du chapeau le nom de l’heureux élu.
              Il est vrai que Benouis cassait avec l’habituel profil que l’on avait jusque-là du «patron» algérien. C’était un boss qui, en plus du charisme, charriait d’autres qualités, tant humaines que professionnelles. Il avait la réputation d’être un pilote chevronné. L’un des meilleurs que l’Algérie post-indépendance a eu la chance de former. En plus du sens de la rigueur qu’on lui connaissait, c’était quelqu’un qui avait de l’épaisseur et un savoir-faire consommé qui lui permettaient de déjouer tous les «traquenards» des vieux loups de l’aviation civile internationale. Il ne badinait pas avec la gestion de l’entreprise. Il savait dire non. Et il n’hésitait pas, pour ce faire, à croiser le fer avec des personnalités qui avaient la réputation sulfureuse de «flinguer» les gens qui osaient leur dire non. Le pavillon national ne peut pas être crédible s’il était incarné physiquement par un couard ou un zélateur patenté, comme seule l’Algérie sait malheureusement quelquefois en produire. Benouis le pilote avait, avec brio, redonné de la vigueur et du panache à Air Algérie. Il avait tellement survolé de zones de turbulences, de tempêtes syndicales, et encaissé de coups bas et de trahisons de ses proches et des «autres», qu’il avait fini par ne plus compter les cicatrices que la vie lui a infligées. Il avait une intelligence au laser.
              Avouons, quand même, qu’il est toujours difficile de trouver un digne successeur à un homme de cette trempe. Ce qui explique certainement le long retard mis pour nommer à ce poste prestigieux -c’en est un- son remplaçant. Mais en attendant qu’une telle décision soit prise par les autorités concernées, les Algériens n’en finissent pas de s’interroger sur les conséquences qu’un tel retard pourrait engendrer sur le fonctionnement même de la compagnie aérienne, tant du point de vue sécuritaire pour ses passagers qu’en matière de gestion.
              Les premiers couacs apparaissent déjà. Ce sont les agents d’Air Algérie qui ont peur pour l’avenir de leur sigle. Et ils ont raison de le défendre quand ils se plaignent que des intérimaires ont déjà commencé à prendre la mauvaise habitude de se comporter comme les vrais héritiers de cette entreprise publique. On gère à l’instinct? Et ne voilà-t-il pas que le système, tant honni de coterie, s’est déjà réinstallé dans les moeurs de la compagnie. Les premiers signes de dégradation dans le fonctionnement sont perceptibles jusque dans la qualité du service d’accueil des passagers qui préfèrent, par commodité ou par sécurité, réserver chez les concurrents. On fuit Air Algérie. «On est revenu à la misère des longues attentes dans les aéroports internationaux et de la litanie des retards qui nous rappellent de mauvais jours.»
              Il faut en finir avec la tyrannie du statu quo à Air Algérie si l’on veut épargner à cette entreprise de service public de vivre avec les affres de l’immobilisme. Et pourquoi ne pas le dire clairement, de l’affairisme.
              La vieille politique du «ôte-toi de là que je m’y mette» a provoqué un vrai désastre dans la marche de nos institutions. Le temps est venu, comme on le dit, de remettre la clé dans le moteur. Lundi, à l’ouverture des Assises nationales sur le tourisme, des participants étrangers se plaignaient des difficultés rencontrées à joindre Alger par avion. Ce qui s’appelle mettre le doigt sur une vérité qui n’est pas rose, quand on a la prétention, sinon l’ambition de vouloir publiquement accueillir au moins 20 millions de touristes en 2025!
              En ce mois de février 2008, il ne s’agit pas seulement de désigner vite un vrai patron à la tête d’Air Algérie, mais aussi d’initier un audit sur la gestion interne depuis quelques mois de cette compagnie par l’IGF. Attendre encore ou agir autrement, c’est commettre une encoche à la tradition républicaine. Et nul n’est à l’abri d’un «crash», quel qu’il soit.

              Ahmed FATTANI

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              • #8
                slt air algerie et tous les autres elites devrait avoir un contrat dument signe leurs interdisant tout depart pendant x annees sinon pas de formation ni contrat, l etat forme des elites en tous genre a coup de millions de dollars et ensuite cai les autres pays qui en profite , faudra que l etat fasse quelque chose
                Tout a fait d'accord. Quand on prend une formation de plusieurs dizaines de milliers de dollars, c’est un engagement qu’on prend. Si on veut rompre cet engagement, on doit non seulement rembourser la formation a Air Algérie (université, ministère..) mais aussi négocier l’autorisation de notre départ. Sinon, cela serait tout simplement du vol.

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                • #9
                  algerie

                  slt oui les futur pilotes savait avant de signer leurs contrats les salaires des pilotes chez ah , ils ne peuvent pas prendre en comparaison les salaires des occidentaux cai certain sinon cai la porte ouverte a tout, ils ont ete formes dans les meilleurs ecoles d elite de l aviation civil comme les medecins ingenieurs et autres pour servir leurs pays si ils ont signes ils assument et leurs travail et leurs salaires , ont peut pas donner a un pilote ah l equivalent de en gros 7ou8 mille euros qui represnterais un salaire colossal en algerie a savoir 700000 dinars, ils ai vrai aussi que certains d entre eux manque cruellement de repos ,faut aussi que l etat fait un geste envers euw pour une augmentation sinon cai un puit sans fond, formation,depart et ont recommence ont forme ils partent et rebelotte donc au lieu de laisser ce gaspilliage une augmentation seras inferieur a paye une formation a un seul pilote
                  Dernière modification par langar, 13 février 2008, 09h34.

                  Commentaire


                  • #10
                    Il est illegal du point de vue du droit du travail (dans les pays qui se respectent) de faire signer a une recrue un contrat qui l'oblige a rester en poste, la loi demande un preavis, pas plus. un salarie peut resilier son contrat quand il veut comme l'entreprise peut resilier son contrat avec le salarie quand elle veut sous certaines conditions. Si des elites sont formees, il faut les payer comme des elites, c'est tres simple, ce n'est pas en leur devaluant les salaires qu'on va les garder ou qu'ils vont faire un bon travail d'ailleurs.

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                    • #11
                      Si des elites sont formees, il faut les payer comme des elites,
                      As tu une idée sur le salaire des pilotes d'Air Algérie ?

                      Commentaire


                      • #12
                        As tu une idée sur le salaire des pilotes d'Air Algérie ?

                        Jawzia

                        ..................................

                        Le fait qu'ils veulent "se casser" prouve qu'ils sont sous payés comparativement à des pays moins pourvus en pétrodollars.

                        Si seulement l'état algérien avait les caisses vides.

                        Certes l'état forme ces pilotes mais ces derniers disposent de potentialités qui les prédestinent à cette formation très difficile .

                        Comme ils courent pas les rues, ils faut tout faire pour les retenir.

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                        • #13
                          moha

                          3 anes, 4 moutons, et 12 chèvres auquels le passage de la frontière a été interdit font la grève!!! c'est grave non!!!!!

                          Mais sérieusement 13 pilotes ont été interdit de rentrer au maroc, qu'est ce que ça veut dire:
                          Sont ils diplomates??? Ont ils été maltraités??? NON alors pourquoi parler d'un cas particulier


                          ps: il faut arrêter cette guerre incéssante entre ces 2 peuples FRERES

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                          • #14
                            Il est illegal du point de vue du droit du travail (dans les pays qui se respectent) de faire signer a une recrue un contrat qui l'oblige a rester en poste,
                            Dans certains pays qui se respectent, le fils du berger a tres peu de chance sinon aucune de devenir pilote de ligne, . Professeur ou medcins. le fils du berger deveint en general berger.
                            Dans les pays plus developpe que ces pays qui se respectent. Comme le Canada, les USA... ni Air Canada, ni American Air lines ne payent pas des dizaines de milliers de dollars pour former leurs pilotes ou leurs cadres, le pilote, ou le cadre vient avec ses dipolmes ou avec ses licences de pilotages avec au preables une ensembe d'heures de vol. donc "comparaison n'est pas raison".

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                            • #15
                              Le fait qu'ils veulent "se casser" prouve qu'ils sont sous payés comparativement à des pays moins pourvus en pétrodollars.
                              Primo, les pays non dotés de petrodollars sont cités pour nous aiguiller sur une "piste vaseuse". N'y succombons pas.


                              Pour ce qui est de se casser, pris comme critère, tu n'as pas idée du nombre de français qui se sont cassés en Irlande, en grande bretagne.... En allemagne, ils sont 300.000. C'est pas parce qu'ils sont sous payés en France, c'est juste qu'ils sont mieux payés en Allemagne, en Irlande et en angleterre. La différence est subtile mais de taille.

                              Concentrons nous donc sur l'essentiel, le salaire des pilotes. Dire et affirmer qu'il ne sont pas payés comme une élite suppose la connaissance de leur revenu. Je réitère donc, à l'adresse de l'auteur de l'affirmation ;

                              As tu une idée de niveau de revenu de ces pilotes ?
                              Dernière modification par jawzia, 13 février 2008, 16h33.

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