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Perspectives de développement en Algérie

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  • Perspectives de développement en Algérie

    Les bons points de la Banque mondiale

    L’économie nationale ne cesse de faire preuve de bons signes ces cinq dernières années. En effet, si l'on se réfère au dernier rapport de la Banque mondiale, sur les perspectives de développement à travers les différentes régions du monde, en 2007 l'Algérie a continué d'afficher de bons indicateurs économiques.

    Le PIB (produit intérieur brut) a atteint 135 milliards de dollars, ce qui est en hausse de près de 32 milliards de dollars par rapport à l'année d'avant (2006).

    Le revenu par habitant en Algérie durant la période s'étalant entre 2002 et 2007 a plus que doublé, selon les mêmes références, et ce, en passant de 1 170 dollars à 3 968 dollars en 2007.

    Le taux de croissance réel du PIB durant l'année qui vient de s'achever, à savoir 2007, a été de 4,6%, alors qu'en 2001, ce taux n'a pas dépassé le seuil des 2,1%.

    L'inflation, quant à elle, s'est stabilisée à 4,4% en 2007, ce dernier indice a été enregistré malgré la flambée des prix des produits de première nécessité à travers plusieurs places mondiales. En effet, les mêmes statistiques ont fait état d'une hausse des prix à la consommation qui était de 4,2% en 2001, alors qu'en 2002 elle a été de 1,4% seulement.

    La dette publique extérieure de l'Algérie n'est plus que de 4.5 milliards de dollars, contre 18.1 milliards de dollars en 2002. Ce niveau d'endettement reste insignifiant au regard du niveau des réserves de change, lesquelles ont atteint 110 milliards de dollars à fin 2007. Dopées par la flambée des prix du pétrole, ces réserves ont également évolué d'une façon spectaculaire entre 2002 (23.1 milliards de dollars) et 2007 (110 milliards de dollars), ajoutent les mêmes sources.

    Les exportations d'hydrocarbures qui, rappelle-t-on, constituent presque 98% des recettes en devises du pays sont passées de 18.7 milliards de dollars en 2002 à 59 milliards de dollars en 2007, ce qui a été qualifié d'un record historique. En volume, l'Algérie a exporté en 2007 un peu plus de 60 milliards de m3 de gaz et un peu plus de 90 000 barils de pétrole brut. Toutefois, il est utile de préciser que l'exportation du gaz n'a pas beaucoup changé depuis le début des années 2000, mais les exportations de pétrole ont quasiment triplé entre 2000 et 2007.

    En effet, l'Algérie s'est tracé comme objectif l'exportation de pas moins de deux millions de barils par jour et 85 milliards de m3 de gaz en 2010, à la concrétisation de ses projets de partenariat dans le domaine gazier avec l'Espagne et l'Italie dans le continent européen.

    En tout cas, la Banque mondiale relève "de bonnes performances macroéconomique enregistrées par l'Algérie en 2007", tout en soulignant que le programme quinquennal des investissements publics lancé par l'Algérie en 2005 "va permettre notamment aux secteurs de l'habitat, des transports et de l'agriculture de créer et de promouvoir l'emploi dans ces activités et dans les secteurs connexes".

    La BM cite le cas de l'Algérie, pays à revenu intermédiaire, où elle souligne que les revenus tirés des hydrocarbures se sont légèrement accrus. ''Ce qui a entraîné une légère hausse de l'excèdent du compte courant algérien'', précise-t-elle. L'institution de Bretton Woods souligne également que le taux de croissance hors-hydrocarbures de l'Algérie a atteint de bonnes performances, en s'établissant à un niveau de l'ordre de 6 % en 2007.

    Abordant les investissements directs étrangers (IDE), la BM constate que "l'accélération des flux (des IDE) observée en Algérie et dans d'autres pays exportateurs de pétrole s'accompagne d'une rapide croissance de la demande intérieure".

    M. Amani (Le Maghreb)

  • #2
    super il faut continuer comme ca.

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