Tweet
Actuellement quinze grands projets d’investissement étrangers dans le secteur du tourisme sont finalisés et d’autres sont encore à l’étude, apprend-on auprès du ministère de l’Aménagement du territoire, de l’Environnement et du Tourisme. Par ailleurs, les autorités algériennes sont de plus en plus sollicitées par de grands investisseurs pour la plupart originaires des pays du Golfe qui ambitionnent de réaliser des mégacomplexes touristiques.
F.-Zohra B. - Alger (Le Soir) - Des maquettes hautes en couleurs et des écrans géants de télévision vantaient hier les qualités des projets touristiques haut standing qui devront s’implanter notamment tout au long de la côte algéroise.
Ils sont sept investisseurs, pour la plupart émiratis à avoir eu le privilège d’exposer leurs méga projets en marge des assises nationales et internationales du tourisme organisées pour deux jours au Palais des nations. Emaar, El Qudra, Emiral, Emirati international investment compagny (EIIC), S.I.A.H.A, autant de compagnies qui ont choisi d’investir tous azimuts dans des sites et grands complexes touristiques avec une multitude d’hôtels 5 étoiles, des marinas, tours, restaurants panoramiques et autres commodités et service haut de gamme.
Toutefois, une partie de ces projets attendent encore le feu vert leur permettant de passer à l’étape de la réalisation. Pour M. El Ouardi, directeur du développement et de l’investissement touristique au ministère de l’Aménagement du territoire, de l’environnement et du tourisme, les principales exigences des autorités sont l’excellence et la qualité. «Nous sommes en profondes discussions avec les exposants de projets en marge des assises, nous localisons actuellement ces projets dans les zones qui devront les accueillir. Il reste par ailleurs à finaliser le profil des infrastructures à réaliser et à veiller à ce qu’elles répondent aux normes touristiques notamment pour ce qui est de la qualité et du volet architectural. L’aspect administratif, le business plan ainsi que l’étude d’impact sur l’environnement doivent aussi être mis au point», explique M. El Ouardi. Pour ce responsable, une étape importante a été franchie pour ce qui est de la validation des dossiers présentés par ceux qu’on appelle les «gros investisseurs ».
Les projets présentés lors des assises ne sont en fait qu’un petit échantillon de l’ensemble des grands projets qui seront présentés au grand public au moment opportun, commente notre interlocuteur. «Nous avons invité les entreprises exposantes parce que nous estimons qu’un tourisme d’excellence doit passer par des projets consistants», explique M. El Ouardi qui évoquera aussi les petits et moyens projets initiés par des investisseurs nationaux. Ils sont près de 130 répertoriés et selon notre interlocuteur, des facilitations sont prévues pour ces investisseurs.
Toutefois, l’ambition de réaliser de grands projets touristiques n’est pas l’apanage des groupements internationaux, puisque des Algériens ont eux aussi souhaité investir dans ce créneau, déclare M. EL Ouardi. Ce dernier notera néanmoins que ce sont en général les grandes villes et leurs alentours qui sont ciblés par les investisseurs. «Nous refusons cette concentration et de ce fait, nous tentons d’expliquer aux investisseurs que d’autres espaces sur le territoire national peuvent aussi être porteurs », précise le responsable du ministère de l’Aménagement du territoire, de l’environnement et du tourisme.
F.-Z. B. (Le Soir d'Algérie)
F.-Zohra B. - Alger (Le Soir) - Des maquettes hautes en couleurs et des écrans géants de télévision vantaient hier les qualités des projets touristiques haut standing qui devront s’implanter notamment tout au long de la côte algéroise.
Ils sont sept investisseurs, pour la plupart émiratis à avoir eu le privilège d’exposer leurs méga projets en marge des assises nationales et internationales du tourisme organisées pour deux jours au Palais des nations. Emaar, El Qudra, Emiral, Emirati international investment compagny (EIIC), S.I.A.H.A, autant de compagnies qui ont choisi d’investir tous azimuts dans des sites et grands complexes touristiques avec une multitude d’hôtels 5 étoiles, des marinas, tours, restaurants panoramiques et autres commodités et service haut de gamme.
Toutefois, une partie de ces projets attendent encore le feu vert leur permettant de passer à l’étape de la réalisation. Pour M. El Ouardi, directeur du développement et de l’investissement touristique au ministère de l’Aménagement du territoire, de l’environnement et du tourisme, les principales exigences des autorités sont l’excellence et la qualité. «Nous sommes en profondes discussions avec les exposants de projets en marge des assises, nous localisons actuellement ces projets dans les zones qui devront les accueillir. Il reste par ailleurs à finaliser le profil des infrastructures à réaliser et à veiller à ce qu’elles répondent aux normes touristiques notamment pour ce qui est de la qualité et du volet architectural. L’aspect administratif, le business plan ainsi que l’étude d’impact sur l’environnement doivent aussi être mis au point», explique M. El Ouardi. Pour ce responsable, une étape importante a été franchie pour ce qui est de la validation des dossiers présentés par ceux qu’on appelle les «gros investisseurs ».
Les projets présentés lors des assises ne sont en fait qu’un petit échantillon de l’ensemble des grands projets qui seront présentés au grand public au moment opportun, commente notre interlocuteur. «Nous avons invité les entreprises exposantes parce que nous estimons qu’un tourisme d’excellence doit passer par des projets consistants», explique M. El Ouardi qui évoquera aussi les petits et moyens projets initiés par des investisseurs nationaux. Ils sont près de 130 répertoriés et selon notre interlocuteur, des facilitations sont prévues pour ces investisseurs.
Toutefois, l’ambition de réaliser de grands projets touristiques n’est pas l’apanage des groupements internationaux, puisque des Algériens ont eux aussi souhaité investir dans ce créneau, déclare M. EL Ouardi. Ce dernier notera néanmoins que ce sont en général les grandes villes et leurs alentours qui sont ciblés par les investisseurs. «Nous refusons cette concentration et de ce fait, nous tentons d’expliquer aux investisseurs que d’autres espaces sur le territoire national peuvent aussi être porteurs », précise le responsable du ministère de l’Aménagement du territoire, de l’environnement et du tourisme.
F.-Z. B. (Le Soir d'Algérie)