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Énergie solaire-L’avenir énergétique de l’Algérie
Difficile d’oublier que le pays bénéficie d’un ensoleillement annuel qui varie entre 1800 et 3000 heures par an. Et malgré l’insistance de l’astre à offrir ses rayons, le pétrole reste encore le chouchou des consommateurs d’énergie.
Les choix politiques tablent encore sur cette énergie fossile dont les meilleurs prévisionnistes annoncent la mort imminente. Les pronostics ne sont pas meilleurs s’agissant des réserves d’uranium nécessaires au fonctionnement des centrales nucléaires et qui ne devraient survivre aux énergies fossiles qu’une dizaine, voire vingt ans de plus. La situation, pas encore critique, Quelle attitude doit développer l’Algérie ? Quel choix doit-elle adopter en vue de rentabiliser au mieux son potentiel énergétique ? Car l’Algérie dispose de nombreux atouts que peu de pays au monde cumulent en matière d’énergie solaire. En effet, les stations solaires nécessitent de l’ensoleillement, un vaste espace proportionnel aux besoins énergétiques et de la technologie. Cette dernière peut s’exporter mais pas les autres. Or, l’Algérie dispose de l’ensoleillement, de l’espace et de la technologie. La technologie algérienne a été valorisée par Andevret dépendant du ministère de la Recherche scientifique, seul organisme habilité à émettre un jugement scientifique sur une nouveauté technologique. Cette nouveauté technologique algérienne permet d’accroître la puissance de sortie des modules en la multipliant par un coefficient supérieur à 4 et grâce à des panneaux qui suivent le soleil, l’énergie obtenue est 6 fois supérieure à celle obtenue avec la méthode classique des panneaux fixes, orientés Nord-Sud.
Zineb A. Maichi(El watane)
Difficile d’oublier que le pays bénéficie d’un ensoleillement annuel qui varie entre 1800 et 3000 heures par an. Et malgré l’insistance de l’astre à offrir ses rayons, le pétrole reste encore le chouchou des consommateurs d’énergie.
Les choix politiques tablent encore sur cette énergie fossile dont les meilleurs prévisionnistes annoncent la mort imminente. Les pronostics ne sont pas meilleurs s’agissant des réserves d’uranium nécessaires au fonctionnement des centrales nucléaires et qui ne devraient survivre aux énergies fossiles qu’une dizaine, voire vingt ans de plus. La situation, pas encore critique, Quelle attitude doit développer l’Algérie ? Quel choix doit-elle adopter en vue de rentabiliser au mieux son potentiel énergétique ? Car l’Algérie dispose de nombreux atouts que peu de pays au monde cumulent en matière d’énergie solaire. En effet, les stations solaires nécessitent de l’ensoleillement, un vaste espace proportionnel aux besoins énergétiques et de la technologie. Cette dernière peut s’exporter mais pas les autres. Or, l’Algérie dispose de l’ensoleillement, de l’espace et de la technologie. La technologie algérienne a été valorisée par Andevret dépendant du ministère de la Recherche scientifique, seul organisme habilité à émettre un jugement scientifique sur une nouveauté technologique. Cette nouveauté technologique algérienne permet d’accroître la puissance de sortie des modules en la multipliant par un coefficient supérieur à 4 et grâce à des panneaux qui suivent le soleil, l’énergie obtenue est 6 fois supérieure à celle obtenue avec la méthode classique des panneaux fixes, orientés Nord-Sud.
Zineb A. Maichi(El watane)
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