Pérégrinations
Je voudrai consulter les nobles esprits,
Demander l’avis des êtres les plus sages,
Pourquoi toute cette haine et ce mépris,
Qui cavalent sans retenue, sans ambages,
On défigure les plaisirs et toutes les féeries,
On s’habille de ridicule, caressant l’outrage.
Je voudrai voyager dans l’âme humaine,
Le temps d’une exploration et d’un repérage,
Savoir les raisons de cette méchanceté pérenne,
L’évacuer de nos coeurs et de notre entourage,
Lui dire que cette attitude est plutôt vaine,
Elle favorise la méchanceté et les commérages.
Da ma hauteur, je descendrai sur une belle plaine,
Ou atterrirai de mon ciel, sur un beau rivage.
Je dégusterai la beauté et la bonté comme Verlaine,
Et leur apprendrai mon amour et mes hommages.
Je sèmerai l’indulgence et mettrai le mal en quarantaine,
Je sonnerai la trêve, le temps de freiner les ravages.
Je réussirai à capter ce doux rayon de soleil,
Il est doré, lumineux, il offre une belle image.
Il me réveillerait de mon profond sommeil,
Il m’inciterait à aller dans une belle plage.
Une plage d’un sable couleur vermeille,
Qui envelopperait de douceur mes sensations en rage.
J’apprivoiserai alors un brin de lumière ?
Pour faire de lui mon plus précieux héritage.
Une lumière pertinente, non saisonnière,
Qui circulerai en moi sans être son otage.
Elle m’apprendrait le sens de la liberté légendaire,
Qui doit m’accompagner dans mon pèlerinage.
Je m’abreuverai de son éclat pour me soumettre,
A son charme qui me séduirait sans faute, ni ratage.
Il éclairerait toute ma vie et tout mon être,
Il l’envelopperait avec un nouvel habillage.
Les folies douces, je pourrai les lui permettre,
Je ne risquerai pas de couver dans un sarcophage.
Ainsi, je naviguerai, sereinement, de rive en rive,
En toute liberté, sans offense et sans ballottage.
Je délivrerai toutes les âmes abusées et captives,
Pour les déposer délicatement sur un beau rivage.
Je leur ferai adorer cette forme d’existence permissive,
Pour enfin leur inculquer le sens d’un sain bavardage.
Point d’inquiétude, je ne perds pas la tête,
C’est juste une vérité, une sorte de tatouage.
Je me sens envahi de joie comme en fête,
Car c’est l’histoire à raconter tels les vieux adages.
Je ne vous révèlerai pas ses auteurs et son entête,
Il vous suffit de savoir que ça sera la plus belle page.
Kamal, le 07.11.2007.
Je voudrai consulter les nobles esprits,
Demander l’avis des êtres les plus sages,
Pourquoi toute cette haine et ce mépris,
Qui cavalent sans retenue, sans ambages,
On défigure les plaisirs et toutes les féeries,
On s’habille de ridicule, caressant l’outrage.
Je voudrai voyager dans l’âme humaine,
Le temps d’une exploration et d’un repérage,
Savoir les raisons de cette méchanceté pérenne,
L’évacuer de nos coeurs et de notre entourage,
Lui dire que cette attitude est plutôt vaine,
Elle favorise la méchanceté et les commérages.
Da ma hauteur, je descendrai sur une belle plaine,
Ou atterrirai de mon ciel, sur un beau rivage.
Je dégusterai la beauté et la bonté comme Verlaine,
Et leur apprendrai mon amour et mes hommages.
Je sèmerai l’indulgence et mettrai le mal en quarantaine,
Je sonnerai la trêve, le temps de freiner les ravages.
Je réussirai à capter ce doux rayon de soleil,
Il est doré, lumineux, il offre une belle image.
Il me réveillerait de mon profond sommeil,
Il m’inciterait à aller dans une belle plage.
Une plage d’un sable couleur vermeille,
Qui envelopperait de douceur mes sensations en rage.
J’apprivoiserai alors un brin de lumière ?
Pour faire de lui mon plus précieux héritage.
Une lumière pertinente, non saisonnière,
Qui circulerai en moi sans être son otage.
Elle m’apprendrait le sens de la liberté légendaire,
Qui doit m’accompagner dans mon pèlerinage.
Je m’abreuverai de son éclat pour me soumettre,
A son charme qui me séduirait sans faute, ni ratage.
Il éclairerait toute ma vie et tout mon être,
Il l’envelopperait avec un nouvel habillage.
Les folies douces, je pourrai les lui permettre,
Je ne risquerai pas de couver dans un sarcophage.
Ainsi, je naviguerai, sereinement, de rive en rive,
En toute liberté, sans offense et sans ballottage.
Je délivrerai toutes les âmes abusées et captives,
Pour les déposer délicatement sur un beau rivage.
Je leur ferai adorer cette forme d’existence permissive,
Pour enfin leur inculquer le sens d’un sain bavardage.
Point d’inquiétude, je ne perds pas la tête,
C’est juste une vérité, une sorte de tatouage.
Je me sens envahi de joie comme en fête,
Car c’est l’histoire à raconter tels les vieux adages.
Je ne vous révèlerai pas ses auteurs et son entête,
Il vous suffit de savoir que ça sera la plus belle page.
Kamal, le 07.11.2007.
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