Sous une pluie brûlante
A voir le noir d’une lumière
Je disparais au clair de tes yeux
A voir l’éclair d’une ombre
Je fond entre tes seins mes vœux
Brûle dans les flammes de ce poème
Qui parle de toi et ta chambre
Assez toi sur mes genoux
Accoutume moi de ta chaire
Enveloppe moi de tes airs
Cette chanson des plaisirs
Qui s’envolent au remous
Et je reste sans voix
Ta beauté est tuante
Incise l’œil au regard
A faire pleurer le vantard
Que suis-je entre les pages
De ton carnet d’adresses
Seulement, une date, un rendez-vous
Dans le café d’une rue ou le restaurant
Et l’hôtel le plus loue
Ou bien tu ma mis entre tes lèvres
Comme toute croqueuse d’hommes
Toute traqueuse de trône
Je tiens mon manteau, le froid m’entour
Et sur le rebondissement des éclats de vers
Je revois les signes de tes honneurs
Balbutié..
Femme perdu je t’aime à mourir
Si tu a le cœur aime a souffrire
Sous les flammes bases d’un poème
A voir le noir d’une lumière
Je disparais au clair de tes yeux
A voir l’éclair d’une ombre
Je fond entre tes seins mes vœux
Brûle dans les flammes de ce poème
Qui parle de toi et ta chambre
Assez toi sur mes genoux
Accoutume moi de ta chaire
Enveloppe moi de tes airs
Cette chanson des plaisirs
Qui s’envolent au remous
Et je reste sans voix
Ta beauté est tuante
Incise l’œil au regard
A faire pleurer le vantard
Que suis-je entre les pages
De ton carnet d’adresses
Seulement, une date, un rendez-vous
Dans le café d’une rue ou le restaurant
Et l’hôtel le plus loue
Ou bien tu ma mis entre tes lèvres
Comme toute croqueuse d’hommes
Toute traqueuse de trône
Je tiens mon manteau, le froid m’entour
Et sur le rebondissement des éclats de vers
Je revois les signes de tes honneurs
Balbutié..
Femme perdu je t’aime à mourir
Si tu a le cœur aime a souffrire
Sous les flammes bases d’un poème
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