Dernièrement le Maroc a été indexé de non apte à en terme de développement humain, en enseignement et en ce qui concerne la liberté de la presse.
Etant ma connaissance profonde du terrain vu ma présence et activité associative je propose cet article qui au delà de l'analyse est un essai de participer dans l'esquisse de propositions constructivistes et positives.
Difficile heritage
La démocratie du prestige sous l'égide de l'autocratie à coloration de représentativité féodale a fini par présenter la gouvernance marocaine comme incapable d'adaptation aux nouvelles exigences du modernisme et inapte aux changements qu'il faut pour justifier la bonne raison d'être de l'état en tant qu'institution du peuple au service du peuple.
A considérer les rapports visant le Maroc (développement humain+ enseignement + la presse) il faut dire que le conceptuel même de l'état dans la situation actuelle ne répond pas aux critères de l'universalité du sens à savoir et les pouvoirs de l'état et la constitution et les institutions...
Pourtant celui dont dépend l'orientation de ces pouvoirs c'est-à-dire le Roi Mohammed VI n'avait pas manqué de bonne volonté ! Mais voilà que paradoxalement la forme protocolaire semble reprendre davantage de force en affichage plus que ce qu'elle l'était au début de son accession au trône. C'est alors que l'identité monarchique s'est plutôt féodalisée que popularisée malgré le penchant affectif Royal manifesté par ses activités humaines et ses déplacements marathoniennes et l'ouverture de certaines presse sur la vie privée de la famille royale. Chose qui laisse penser !
L'état marocain dans sa version actuelle de représentant de certaines classes dominantes doit donc se remettre en question en amont et en aval en terme de la raison et de la cause même, puisque il y a une question problématique qui touche le fond du conceptuel étatique même en lui faisant davantage de défaut. Aussi faut-il le rappeler L'administration des choses et la direction des opérations de production lui font un autre défaut en plus de celui qui est sacré étant l'unanimité de son caractère lors des temps difficiles: le Sahara. A cela s'ajoute tous les mécanismes du fonctionnement de l'état qui sont instrumentalisés pour faire pression sur le citoyen.
C'est un héritage dont la machine qui a favorisé le retour protocolaire en force comme précité fait de son mieux pour le maintenir tout en s'accrochant au statut quo par un habile manœuvrage usant et abusant de la personne royale elle-même. Une machine qui mâche, rumine et crache la vie et le bien être de la nation !?
L'état Marocain demeure alors personnifiant du concept de « l'état c'est le mal » qui n'est plus historiquement nécessairement valable depuis l'année 1990 à considérer moralement le changement de l'orientation de la Gauche socialiste et l'année 1997 vu le gouvernement de l'alternance qui hélas contractuellement a été victime de lestage gratuit. Faute d'un certain avortement qui s'est répercutée dans la conscience militante et de tous ceux actifs en générale sans parti pris comme chose d'ingratitude. C'est un état d'esprit qui s'ajoute à la liste de ce qui fait défaut à ladite gouvernance dont le vectoriel le plus marquant qui conditionne encore les actions exécutives et les actions du suivie est bel et bien l'habituel qui revient à l'ère Basriste.
A mon sens les élections 2007 en sont les conséquences directes. En vérité c'est plus de 70°/° qui se sont délaissés de la scène politique. C'est donc repenser l'existence de l'état !
Il s'en suit alors que l'on ne doit pas parler de la gloire de la monarchie et du trône car il n' y a pas de raison pour qu'il soit un droit surtout que les Marocains ne veulent plus de mal entendu avec la famille Royale depuis au moins l'ère de la réconciliation qui a été précédé par la volonté de feu Hassan II d'architecturer l'alternance. Donc il faut renouveler le contrat social qui devrait être réviser normalement lors du gouvernement de l'alternance en vue d'une éventuelle restitution de l'apport relationel monarchie-peuple avec appui de réforme constitutionnelle dans le sens d'une certaine remise à jour institutionnelle.
Ceci est vrai du fait que récidivement la guerre en tant qu'acte politique qui n'est pas forcement militaire c'est à dire le combat, la lutte, la révolution ou tout simplement les manifestations d'un peuple ou d'une communauté voir d'une nation devraient surgir d'une certaine situation politique telle celle que vit le Maroc mais le citoyen marocain plonge dans l'embarras du choix il est comme anesthésié sur certains cas pourtant le motif politique est réel !!! Chose de plus qui par elle normalement il ne devrait y avoir aucune raison pour le développement de la politique plutôt soucieuse du sécuritaire très étouffante comme au Sahara.
Dans ce sens et pour éviter la langue de bois on peut nous référés au juriste et sociologue Maurice Duverger dans son « introduction à la politique » pour nous en passer de l'attitude politique réduite à la lutte au combat en vu du pouvoir et nous en tenir à celle qui fait de la politique un acte qui vise à faire régner l'ordre et la justice. Là encore la fin qui devrait être fixer c'est bien celle d'un gouvernement harmonieux de la cité. À considérer cette dernière il faut avouer qu'il n' y que davantage de cumul qui fait défaut à ladite gouvernance marocaine.
A Suivre....
Etant ma connaissance profonde du terrain vu ma présence et activité associative je propose cet article qui au delà de l'analyse est un essai de participer dans l'esquisse de propositions constructivistes et positives.
Difficile heritage
La démocratie du prestige sous l'égide de l'autocratie à coloration de représentativité féodale a fini par présenter la gouvernance marocaine comme incapable d'adaptation aux nouvelles exigences du modernisme et inapte aux changements qu'il faut pour justifier la bonne raison d'être de l'état en tant qu'institution du peuple au service du peuple.
A considérer les rapports visant le Maroc (développement humain+ enseignement + la presse) il faut dire que le conceptuel même de l'état dans la situation actuelle ne répond pas aux critères de l'universalité du sens à savoir et les pouvoirs de l'état et la constitution et les institutions...
Pourtant celui dont dépend l'orientation de ces pouvoirs c'est-à-dire le Roi Mohammed VI n'avait pas manqué de bonne volonté ! Mais voilà que paradoxalement la forme protocolaire semble reprendre davantage de force en affichage plus que ce qu'elle l'était au début de son accession au trône. C'est alors que l'identité monarchique s'est plutôt féodalisée que popularisée malgré le penchant affectif Royal manifesté par ses activités humaines et ses déplacements marathoniennes et l'ouverture de certaines presse sur la vie privée de la famille royale. Chose qui laisse penser !
L'état marocain dans sa version actuelle de représentant de certaines classes dominantes doit donc se remettre en question en amont et en aval en terme de la raison et de la cause même, puisque il y a une question problématique qui touche le fond du conceptuel étatique même en lui faisant davantage de défaut. Aussi faut-il le rappeler L'administration des choses et la direction des opérations de production lui font un autre défaut en plus de celui qui est sacré étant l'unanimité de son caractère lors des temps difficiles: le Sahara. A cela s'ajoute tous les mécanismes du fonctionnement de l'état qui sont instrumentalisés pour faire pression sur le citoyen.
C'est un héritage dont la machine qui a favorisé le retour protocolaire en force comme précité fait de son mieux pour le maintenir tout en s'accrochant au statut quo par un habile manœuvrage usant et abusant de la personne royale elle-même. Une machine qui mâche, rumine et crache la vie et le bien être de la nation !?
L'état Marocain demeure alors personnifiant du concept de « l'état c'est le mal » qui n'est plus historiquement nécessairement valable depuis l'année 1990 à considérer moralement le changement de l'orientation de la Gauche socialiste et l'année 1997 vu le gouvernement de l'alternance qui hélas contractuellement a été victime de lestage gratuit. Faute d'un certain avortement qui s'est répercutée dans la conscience militante et de tous ceux actifs en générale sans parti pris comme chose d'ingratitude. C'est un état d'esprit qui s'ajoute à la liste de ce qui fait défaut à ladite gouvernance dont le vectoriel le plus marquant qui conditionne encore les actions exécutives et les actions du suivie est bel et bien l'habituel qui revient à l'ère Basriste.
A mon sens les élections 2007 en sont les conséquences directes. En vérité c'est plus de 70°/° qui se sont délaissés de la scène politique. C'est donc repenser l'existence de l'état !
Il s'en suit alors que l'on ne doit pas parler de la gloire de la monarchie et du trône car il n' y a pas de raison pour qu'il soit un droit surtout que les Marocains ne veulent plus de mal entendu avec la famille Royale depuis au moins l'ère de la réconciliation qui a été précédé par la volonté de feu Hassan II d'architecturer l'alternance. Donc il faut renouveler le contrat social qui devrait être réviser normalement lors du gouvernement de l'alternance en vue d'une éventuelle restitution de l'apport relationel monarchie-peuple avec appui de réforme constitutionnelle dans le sens d'une certaine remise à jour institutionnelle.
Ceci est vrai du fait que récidivement la guerre en tant qu'acte politique qui n'est pas forcement militaire c'est à dire le combat, la lutte, la révolution ou tout simplement les manifestations d'un peuple ou d'une communauté voir d'une nation devraient surgir d'une certaine situation politique telle celle que vit le Maroc mais le citoyen marocain plonge dans l'embarras du choix il est comme anesthésié sur certains cas pourtant le motif politique est réel !!! Chose de plus qui par elle normalement il ne devrait y avoir aucune raison pour le développement de la politique plutôt soucieuse du sécuritaire très étouffante comme au Sahara.
Dans ce sens et pour éviter la langue de bois on peut nous référés au juriste et sociologue Maurice Duverger dans son « introduction à la politique » pour nous en passer de l'attitude politique réduite à la lutte au combat en vu du pouvoir et nous en tenir à celle qui fait de la politique un acte qui vise à faire régner l'ordre et la justice. Là encore la fin qui devrait être fixer c'est bien celle d'un gouvernement harmonieux de la cité. À considérer cette dernière il faut avouer qu'il n' y que davantage de cumul qui fait défaut à ladite gouvernance marocaine.
A Suivre....
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