Propos recueillis par Adama Wade
Mostafa Belkhayate, trader vedette, gère aujourd’hui un fonds dédié à l’or, avec un actif valorisé à 1 ,2 milliard de dollars. Dans un entretien au journal Les Afriques, il livre ses pronostics quant aux conséquences de la crise financière actuelle. Décoiffant...
Morceaux choisis :
« L’or a pour objectif 1450 dollars US avant décembre prochain. Et cassera 2000 USD en 2009 ! Un mouvement qui sera indépendant de la conjoncture américaine, contrairement à ce que pourraient penser certains analystes. Il va monter avec force car il va quitter sa dimension de matière première pour la dimension devise ».
« Le pétrole se dirige vers 150 USd le baril sur les 2 prochaines années. Il faut oublier les niveaux de 60 USd on ne les reverra plus jamais».
« La solution que je préconise est simple : étudier sérieusement la problématique de créer une devise africaine, non pas basée sur une autre devise étrangère, mais sur un panier de matières premières typiquement africaines, comme l'or, le pétrole, le café, le cacao, le coton.
Je suis convaincu que la solution du développement africain passe par cette véritable indépendance monétaire ».
Mostafa Belkhayate, trader vedette, gère aujourd’hui un fonds dédié à l’or, avec un actif valorisé à 1 ,2 milliard de dollars. Dans un entretien au journal Les Afriques, il livre ses pronostics quant aux conséquences de la crise financière actuelle. Décoiffant...
Morceaux choisis :
« L’or a pour objectif 1450 dollars US avant décembre prochain. Et cassera 2000 USD en 2009 ! Un mouvement qui sera indépendant de la conjoncture américaine, contrairement à ce que pourraient penser certains analystes. Il va monter avec force car il va quitter sa dimension de matière première pour la dimension devise ».
« Le pétrole se dirige vers 150 USd le baril sur les 2 prochaines années. Il faut oublier les niveaux de 60 USd on ne les reverra plus jamais».
« La solution que je préconise est simple : étudier sérieusement la problématique de créer une devise africaine, non pas basée sur une autre devise étrangère, mais sur un panier de matières premières typiquement africaines, comme l'or, le pétrole, le café, le cacao, le coton.
Je suis convaincu que la solution du développement africain passe par cette véritable indépendance monétaire ».
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