C’était un jour comme les autres
Et pourtant tout à été différent
Massinissa Guermah
Tu te souviens tu étais serein
Et devant même, ton prof de sport
Les hommes de la mort t’ont enlevé
Avec deux autres jeunes lycéens
Roué de coups martyrisés
Tu es mort ce 18 avril 2001
Massinissa toi jeune lycéen
Dans l’enceinte de la gendarmerie
A Ath Douala , ça ne s’oublie pas
On a pris ta vie
Juste comme ça par mépris
De ce printemps qui semblait déjà si noir
Si rouge de sang des innocents
Et puis comme si même mort tu dérangeais
On t’a traité de voyou, de voleur
Toi Massinissa Guermah lycéen
Il cherchait déjà a te salir
A t’enterrer loin de sa vie
Comme si déjà il sentait
Qu’avec ta mort un autre voie s’ouvrait
Sais tu que ta mort nous a permis
De nous unir et de nous rassembler ?
On a crié plus jamais ça
Ulac smah ulac.
On veut une vraie démocratie
Etre entendu et puis compris
On avait dit non à la hogra
A ces coups bas.
On voulait tant de liberté
Pour tout le pays et puis nos vies,
Juste être toujours libre de parler
La langue que notre mère nous a enseigné
On voulait tant et tant de choses
Il y a eu encore tant de morts
Leur sang me hante encore
Leurs chants résonnent en moi
Souvent j’ai froid rien que d’y penser
Dans cette terre des oliviers
Ton sang est en nous mélangé
Comment oublier ce mépris
Tout ce crachat lancé sur toi
Tu n’étais qu’un enfant Massinissa
Je m’en souviens. Un lycéen
Il y a 4 ans aujourd’hui
Que la grande marche pacifique
Sur Alger s’est accomplis
Dans le sang et la mort
Elle s’est achevée
Faute d’avoir voulus dialoguer
Par tout ces bien trop hauts placés
C’est tellement plus facile de tirer
morjane
14/04/05
Et pourtant tout à été différent
Massinissa Guermah
Tu te souviens tu étais serein
Et devant même, ton prof de sport
Les hommes de la mort t’ont enlevé
Avec deux autres jeunes lycéens
Roué de coups martyrisés
Tu es mort ce 18 avril 2001
Massinissa toi jeune lycéen
Dans l’enceinte de la gendarmerie
A Ath Douala , ça ne s’oublie pas
On a pris ta vie
Juste comme ça par mépris
De ce printemps qui semblait déjà si noir
Si rouge de sang des innocents
Et puis comme si même mort tu dérangeais
On t’a traité de voyou, de voleur
Toi Massinissa Guermah lycéen
Il cherchait déjà a te salir
A t’enterrer loin de sa vie
Comme si déjà il sentait
Qu’avec ta mort un autre voie s’ouvrait
Sais tu que ta mort nous a permis
De nous unir et de nous rassembler ?
On a crié plus jamais ça
Ulac smah ulac.
On veut une vraie démocratie
Etre entendu et puis compris
On avait dit non à la hogra
A ces coups bas.
On voulait tant de liberté
Pour tout le pays et puis nos vies,
Juste être toujours libre de parler
La langue que notre mère nous a enseigné
On voulait tant et tant de choses
Il y a eu encore tant de morts
Leur sang me hante encore
Leurs chants résonnent en moi
Souvent j’ai froid rien que d’y penser
Dans cette terre des oliviers
Ton sang est en nous mélangé
Comment oublier ce mépris
Tout ce crachat lancé sur toi
Tu n’étais qu’un enfant Massinissa
Je m’en souviens. Un lycéen
Il y a 4 ans aujourd’hui
Que la grande marche pacifique
Sur Alger s’est accomplis
Dans le sang et la mort
Elle s’est achevée
Faute d’avoir voulus dialoguer
Par tout ces bien trop hauts placés
C’est tellement plus facile de tirer
morjane
14/04/05
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