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Bientôt Abkhazie et Ossetie du sud vont s'enflammer

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  • Bientôt Abkhazie et Ossetie du sud vont s'enflammer

    Hop là , kossovo par ci...........hop Ossetie du sud par là


    je crois que ça va barder sous le nez des recentes bases americaines de cooperation avec la Republique de Georgie

    Je suis quasiment persuadé que les Abkhazes , belle region
    côtiere de Georgie pleine de Russes , qui rêvent nuit et jour de faire une frontiere en beton armée avec la Georgie et rentrer dans la federation de Russie ...........ainsi que l'Ossetie du Sud , region secessionniste de Georgie qui veut se rattacher à sa soeur du nord ayant statut de republique de la Fedération de Russie , l'Ossetie du Nord et ainsi entrer elle aussi dans la federation de Russie.........vont s'exciter comme des fous ..surtout les ossetes du sud..et provoquer la Georgie ....et Poutine va entrer en Georgie pour soi disant proteger ..et finir le decoupage de la georgie
    Dernière modification par Sioux foughali, 09 mai 2008, 12h44.

  • #2
    il y aura d'abord cessession du Kosovo lui même

    Kosovo du nord et kosovo du sud
    .
    .
    ''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
    Napoléon III

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    • #3
      http://www.eurosduvillage.com/?page=...&id_forum=1196




      L'Abkhazie et l'Ossétie du Sud réclament leur reconnaissance
      17/02/2008 19:26


      L'Abkhazie et l'Ossétie du Sud, deux régions séparatistes pro-russes de Géorgie, ont annoncé dimanche dès la proclamation d'indépendance du Kosovo qu'elles allaient demander à la Russie et à l'ONU de reconnaître leur indépendance.



      "La situation au Kosovo constitue un précédent. On ne peut parler d'un cas unique. L'Abkhazie s'adressera prochainement au Parlement de Russie et au Conseil de sécurité de l'Onu pour leur demander de reconnaître son indépendance", a déclaré son "président", Sergueï Bagapch, cité par l'agence russe Interfax. "Il y a plus de fondements politiques et juridiques pour une reconnaissance de l'Ossétie du Sud et de l'Abkhazie qu'au Kosovo", a également déclaré le "président" de l'Ossétie du Sud, Edouard Kokoïty, cité par Interfax. "Ce que le Kosovo fait aujourd'hui s'est déjà produit en Abkhazie et en Ossétie du Sud il y a dix-sept ans", a-t-il affirmé en annonçant qu'il entreprendrait la même démarche que l'Abkhazie pour obtenir sa reconnaissance par Moscou et le reste de la CEI (Communauté des Etats indépendants, les pays de l'ex-URSS, sauf les Etats baltes). Ces régions ont proclamé unilatéralement leur indépendance au lendemain de la chute de l'Union soviétique (en 1990 pour l'Ossétie du Sud, en 1992 pour l'Abkhazie) et l'ont défendue lors de conflits armés avec les forces géorgiennes. De facto indépendantes, elle sont soutenues par Moscou qui a attribué des passeports russes à nombre de leurs habitants mais qui, comme le reste de la communauté internationale, ne les reconnaît pas. Le président russe Vladimir Poutine a qualifié jeudi d'"immoral et illégal" tout soutien à une indépendance "unilatérale" du Kosovo mais a assuré que la Russie ne riposterait pas en prenant la décision "idiote" de reconnaître l'Ossétie du Sud et l'Abkhazie. (CYA)

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      • #4
        Moscou et Abkhazie

        Liberation
        DéCRYPTAGE
        Moscou envoie l’armée pour garder l’Abkhazie dans son giron
        HÉLÈNE DESPIC-POPOVIC
        QUOTIDIEN : samedi 3 mai 2008

        Alors que le ton monte entre Moscou et Tbilissi (Géorgie), la Russie a annoncé cette semaine le déploiement de centaines de soldats supplémentaires en Abkhazie, la petite république séparatiste de Géorgie qui rêve de suivre l’exemple du Kosovo et obtenir son indépendance. 2 000 soldats russes sont déjà stationnés dans cette région depuis les accords de paix qui ont mis fin, en 1994, à deux ans de conflit entre Russes et Géorgiens. Cette force d’interposition qui dispose d’un mandat de l’ONU peut compter jusqu’à 3 000 hommes.

        Quel est l’enjeu de cette crise ?

        L’enjeu, c’est bien sûr l’Abkhazie (ainsi que l’Ossétie du Sud, la seconde république autoproclamée de Géorgie, elle aussi adossée à la Russie), mais également l’extension de l’Otan à proximité des frontières de la Russie. Deux facteurs ont contribué, ces derniers mois, à un renouveau des tensions. D’une part, l’indépendance unilatérale du Kosovo, en février, qui a donné des ailes à l’Abkhazie et fourni à Moscou un bon prétexte pour proclamer, un mois après, le resserrement de ses liens avec les régions séparatistes de Géorgie. D’autre part le sommet de l’Otan à Bucarest où les Etats membres ont adopté, en avril, une attitude ambiguë sur le dossier de l’adhésion de la Géorgie (et de l’Ukraine). Pour satisfaire l’Allemagne et la France - qui ne veulent pas froisser la Russie -, l’Otan n’a pas donné le statut de candidat à ces deux pays. Pour contenter les Etats-Unis, l’Organisation a cependant promis de réexaminer le dossier en décembre. Le raidissement de Moscou est une tentative de dissuader l’Occident de poursuivre ce rapprochement avec la Géorgie, présentée comme un pays instable.

        Une guerre est-elle possible ?

        Les deux parties disent ne pas la vouloir. Mais ce ne serait pas la première fois que des différends, qui ont commencé par une surenchère de rodomontades, ne dégénèrent dans la violence. Depuis la révolution des Roses qui a porté son équipe au pouvoir en 2003, le président Mikhaïl Saakachvili a fait de l’entrée de son pays dans l’Otan sa priorité. Entamée peu après les attentats du 11 septembre 2001, dans le cadre de la lutte antiterroriste, la coopération de l’armée géorgienne avec les Etats-Unis s’est encore développée. Ses officiers sont entraînés par des spécialistes américains et son arsenal s’est enrichi d’armes plus modernes, comme on a pu le voir le mois dernier lorsqu’un drone géorgien a été abattu au-dessus de l'Abkhazie. Depuis cet incident, Moscou accuse Tbilissi d’amasser des soldats à proximité de l’ancienne ligne de cessez-le-feu entre Abkhazes et Géorgiens. Dans le même temps, à trois semaines de législatives incertaines, le pouvoir géorgien ne répugne pas à faire vibrer la fibre nationaliste.

        Quelle réponse de la part de la communauté internationale ?

        Après que Moscou a déclaré qu’elle intensifiait sa coopération avec l’Abkhazie et l’Ossétie du Sud - une annonce symbolique puisque cette collaboration est déjà intense -, les Nations unies, l’Otan et l’Union européenne ont rappelé leur attachement à la souveraineté et à l’intégrité territoriale de la Géorgie. Mais la Russie n’est pas la Serbie et l’Otan ne lui fera pas la guerre si la situation s’aggravait. L’Otan risquerait de se diviser encore plus entre partisans de l’intégration rapide (dont les ex-satellites d’Europe de l’Est qui sont favorables à la fermeté dans les rapports avec Moscou) et les prudentes démocraties ouest-européennes. La crise montre qu’il faut d’urgence se pencher sur des conflits gelés depuis une quinzaine d’années, vraisemblablement avec de nouveaux négociateurs.

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        • #5
          Russie-Géorgie: la "menace d'une guerre demeure"
          LEXPRESS.fr
          Le président géorgien a déclaré jeudi que la "menace" d'une guerre avec la Russie à propos de l'Abkhazie demeurait, cette république séparatiste affirmant avoir abattu un nouveau drone géorgien, selon les agences russes.


          Dossier
          La Géorgie à l'ombre du grand-frère russe
          e président géorgien Mikheïl Saakachvili a déclaré jeudi que la "menace" d'une guerre avec la Russie à propos de l'Abkhazie demeurait.

          "Il y a quelques jours, nous en étions proches", a répondu Saakachvili à la presse russe, qui l'interrogeait sur le risque d'une guerre entre la Russie et la Géorgie, au cours d'un déplacement à Batoumi, ville de l'ouest de la Géorgie. "Et cette menace demeure", a-t-il ajouté, tout en assurant que la Géorgie "ne voulait pas la guerre".


          Drones géorgiens?
          Cette déclaration intervient alors que l'Abkhazie, une république séparatiste pro-russe, affirme avoir abattu un nouveau drone géorgien survolant son territoire, selon le "ministère" abkhaze de la Défense cité par l'agence russe Interfax.


          La Géorgie, de son côté, a démenti jeudi qu'un de ses drones ait été à nouveau abattu au-dessus de ce territoire, a déclaré à l'AFP Chota Outiachvili, porte-parole du ministère géorgien de l'Intérieur.


          Ce n'est pas la première fois que l'Abkhazie accuse la Géorgie de survoler son territoire avec des drones dont Tbilissi nie l'existence. La Géorgie a d'ailleurs demandé à l'ONU d'enquêter sur l'utilisation de systèmes de défense anti-aérienne dans cette région séparatiste.


          L'Abkhazie, une bande de terre qui borde le Mer noire, a proclamé son indépendance unilatéralement au début des années 1990 et l'a défendue par les armes contre les forces géorgiennes. Jusqu'ici, aucun pays n'a reconnu son indépendance, mais le président russe Vladimir Poutine a récemment ordonné à son gouvernement de "coopérer" avec les autorités d'Abkhazie et d'Ossétie du Sud, notamment dans le domaine économique, provoquant l'inquiétude de Tbilissi et de l'Occident.
          Dernière modification par Sioux foughali, 09 mai 2008, 12h48.

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          • #6
            Bagapch : l’indépendance de l’Abkhazie dans la foulée du Kosovo
            vendredi 9 mai 2008

            L’Abkhazie, république séparatiste située en territoire géorgien, deviendra un Etat indépendant, estime le président abkhaze Sergueï Bagapch.

            "Nous voulons un Etat de droit, indépendant et démocratique. Si le Kosovo a obtenu l’indépendance, l’Abkhazie peut aussi l’obtenir", a-t-il confié au quotidien espagnol El País.

            "Nous ne voulons pas que Moscou nous reconnaisse en dépit des Etats-Unis, pour se venger de la reconnaissance du Kosovo. Nous souhaitons l’indépendance car c’est notre droit. Nous l’avons méritée", a poursuivi le président de cette ancienne république soviétique, rabaissée en 1921 par Staline au rang de province autonome et par la suite victime de la politique d’assimilation culturelle géorgienne.

            "Nous avons été un Etat indépendant. Si nous obtenons la reconnaissance, nous serons un pays démilitarisé, et avec les garanties des grandes puissances, il n’y aura ici ni armes ni unités militaires", a-t-il déclaré, laissant entendre à la communauté internationale que dans le cas contraire, le pays serait contraint de se placer sous la protection militaire de la Russie, qu’il préfère à la domination géorgienne.

            Selon M. Bagapch, la Russie est intéressée par le débouché sur la mer qu’offre l’Abkhazie et ses 240 km de côtes.

            "C’est pourquoi la Géorgie doit y réfléchir à deux fois et reconnaître l’Abkhazie en tant qu’Etat neutre et démilitarisé", a-t-il poursuivi.

            M. Bagapch considère la Géorgie comme "un Etat agressif que l’Europe a armé jusqu’aux dents, ce qui est très mauvais. La Grèce, l’Ukraine, la Turquie et les instructeurs turcs et américains ont armé Tbilissi. Et quand on arme la Géorgie, il faut penser à ceux sur qui elle va tirer, en l’occurrence sur nous".

            "Les soldats russes de maintien de la paix ne partiront pas d’Abkhazie. On trouvera une formule afin que les bases soient maintenues jusqu’à ce que la situation avec la Géorgie se normalise", a-t-il indiqué.

            "Si les Etats-Unis ont des intérêts nationaux et géopolitiques au Kirghizstan, pourquoi la Russie n’en aurait-elle pas en Abkhazie, avec laquelle elle a une frontière commune, a proximité de Sotchi ? Et Moscou ne veut pas de soldats de l’OTAN à 15 km de Sotchi", a-t-il poursuivi.

            © RIA Novosti

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            • #7
              voila vieille europe ce qui arrive quand on souleve
              le couvercle de la boite de pandore
              The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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              • #8
                y'a déjà des actes franchement hostiles, un second drône a été abattu par les russes, ça risque de s'enflammer à chaque instant, et apparement la russie ne fait pas peur à la georgie

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