· Les opportunités d’affaires avec Renault-Nissan également au programme
· Premiers coups de pioche pour la construction de l’usine dans les prochains mois
Tout le monde veut sa part du gâteau. Le port de TangerMed et la future usine de Renault-Nissan, à Melloussa, aiguisent l’appétit de nombreux opérateurs . Après les Catalans, c’est au tour des industriels de Bilbao d’être à la recherche d’opportunités d’affaires à réaliser avec le constructeur automobile et l’enceinte portuaire. Ainsi, une délégation d’opérateurs économiques basques est actuellement en mission de prospection à Tanger pour s’enquérir des potentialités offertes par ces grands chantiers. Les entrepreneurs basques regroupés sous la bannière de l’Acicae, (cluster des industries de l’automobile du pays basque) ont visité, le 20 février, les installations du port de TangerMed ainsi que la zone franche aéroportuaire (TFZ). Les Espagnols ont eu également des entretiens avec divers responsables d’administrations locales, comme la Douane et le Centre régional de l’investissement. Des consultations sont également prévues avec la direction de Renault-Nissan.
Selon l’Acicae, ce type de rencontres s’intègre dans le cadre de la politique d’internationalisation lancée depuis peu par cette association. Il s’agit d’ouvrir aux industriels basques les portes des marchés émergents comme le Maroc. A noter que l’Acicae représente les plus gros industriels du pays basque espagnol. Elle regroupe près de 300 entreprises de diverses tailles employant directement plus de 40.000 personnes avec une facturation annuelle de 9,6 milliards d’euros.
Rappelons que Renault-Nissan devrait donner, au cours des prochains mois, les premiers coups de pioche de son unité industrielle de montage automobile à Melloussa.
Le groupe industriel, via un investissement de près de 600 millions d’euros, fabriquera des véhicules de la marque Dacia pour les marchés des pays à économie émergente. Une production de 200.000 véhicules/an est annoncée pour le démarrage de l’unité. L’usine s’étendra sur 300 hectares et devra créer près de 6.000 emplois directs et 30.000 indirects.
Déjà en 2007, les industriels catalans sous-traitants de l’usine de Nissan à Barcelone avaient entamé des actions auprès de leurs autorités en vue de leur ouvrir le marché de la sous-traitance automobile.
leconomiste
· Premiers coups de pioche pour la construction de l’usine dans les prochains mois
Tout le monde veut sa part du gâteau. Le port de TangerMed et la future usine de Renault-Nissan, à Melloussa, aiguisent l’appétit de nombreux opérateurs . Après les Catalans, c’est au tour des industriels de Bilbao d’être à la recherche d’opportunités d’affaires à réaliser avec le constructeur automobile et l’enceinte portuaire. Ainsi, une délégation d’opérateurs économiques basques est actuellement en mission de prospection à Tanger pour s’enquérir des potentialités offertes par ces grands chantiers. Les entrepreneurs basques regroupés sous la bannière de l’Acicae, (cluster des industries de l’automobile du pays basque) ont visité, le 20 février, les installations du port de TangerMed ainsi que la zone franche aéroportuaire (TFZ). Les Espagnols ont eu également des entretiens avec divers responsables d’administrations locales, comme la Douane et le Centre régional de l’investissement. Des consultations sont également prévues avec la direction de Renault-Nissan.
Selon l’Acicae, ce type de rencontres s’intègre dans le cadre de la politique d’internationalisation lancée depuis peu par cette association. Il s’agit d’ouvrir aux industriels basques les portes des marchés émergents comme le Maroc. A noter que l’Acicae représente les plus gros industriels du pays basque espagnol. Elle regroupe près de 300 entreprises de diverses tailles employant directement plus de 40.000 personnes avec une facturation annuelle de 9,6 milliards d’euros.
Rappelons que Renault-Nissan devrait donner, au cours des prochains mois, les premiers coups de pioche de son unité industrielle de montage automobile à Melloussa.
Le groupe industriel, via un investissement de près de 600 millions d’euros, fabriquera des véhicules de la marque Dacia pour les marchés des pays à économie émergente. Une production de 200.000 véhicules/an est annoncée pour le démarrage de l’unité. L’usine s’étendra sur 300 hectares et devra créer près de 6.000 emplois directs et 30.000 indirects.
Déjà en 2007, les industriels catalans sous-traitants de l’usine de Nissan à Barcelone avaient entamé des actions auprès de leurs autorités en vue de leur ouvrir le marché de la sous-traitance automobile.
leconomiste
Commentaire